La Mise En Scène De L Affrontement

O.E. LE THEATRE / SQ 1 : Parcours « Spectacle et comédie » ETUDE LINEAIRE N°2 : Georges FEYDEAU, La Dame de chez Maxim (1899), Extrait de l’acte I, scène 7 Dans ce vaudeville, Petypon et Mongicourt sont deux amis médecins. La veille, Mongicourt a convaincu Petypon de sortir ; or, Petypon vient de se réveiller et s’est rendu compte qu’il a ramené une danseuse du Moulin-Rouge (célèbre cabaret parisien), surnommée « la Môme ». Son épouse, le croyant malade, lui apporte du thé ; Mongicourt

guerre. Idee propagee par le commandement militaire que ca allait etre une guerre courte , il se trouve que le gouv quitte paris,que c est une guerre longue,une guerre de position. dans ce cas que devient le parlement? Il y a un retour sur la scene des 2 chambres,elles siègent en permance,et vont faire l experience de la relégation par ce que d'importants pouvoirs de police sont confiés au autorités militaire,presse confisquée,autorité politique censurées par l administration ou l armée. L armée

Texte : Adel Hakim Mise en scène : Peter Batakliev Interprété par : Paul Ahmarani Assistance à la mise en scène et régie : Magalie Dufresne  Décor, costume et accesoires : Josée Bergeron Proulx Éclairage : David-Alexandre Chabot  Environnement sonore : Dmitri Marine  Adel Hakim est orignaire du Caire et vit en France depuis les années 70. Formé entre autre auprès d’Ariane Mnouchkine, il fonde, en 1984, le théatre de la Balance où il est comédien et metteur en scène. En 1992, il est nommé

une image mettant en scène une atteinte à l’intégrité physique des individus : soit la mise en scène de coups portés, d’actes sexuels non consentis, de la maladie ou de la mort. Cette définition est communément acceptée dans nos sociétés actuelles mais chaque spectateur possède sa propre définition d’une image violente, subjective, variant en fonction de son histoire personnelle, de son éducation et de sa sensibilité. De plus, le contenu violent peut différer d’une mise en scène violente. Une image

envers le nouveau, l’inexploré, puis sur la réaction bestiale et instinctive que l’Homme adopte alors. Dès le début du texte, l’auteur érige un véritable tableau dans l’esprit du lecteur, grâce à une peinture des plus détaillées de la scène, une description précise de la nature environnante. Tournier édifie d’emblée une atmosphère angoissante ; on peut le constater avec le champ lexical omniprésent de l’anxiété et la crainte : « épineux » ; « arbres morts et pourrissants » ; « rampait » ; « effrayants » ;

nous plonge dans cette leçon de piano qui n’a absolument rien d’intéressant. Nous pouvons donc nous demander où réside le romanesque dans cette scène banale, et comment il se manifeste.// Dans un premier temps, nous verrons comment se met en place une progression dramatique, puis comment le traitement du monde extérieur donne un sens symbolique à cette scène. Autres possibilités d’introduction: Marguerite Duras fait partie des écrivains les plus connus de la littérature française de la seconde

phrases: interrogative et exclamative -Les répliques se répondent: « l.13 » « O monstre » → réaction -Variété des incises: « cria » « s'écria » + présence de sentiments dans les incises -Nombreux connecteurs d'oppositions révélateur d'un affrontement: «  Mais » « Alors » -Le fait que le dialogue soit en mouvement: les deux personnages se déplacent -Gradation : « O monstre! » → « ô le plus scélérat de tous les hommes » 3)Un dialogue qui progresse => un dialogue polémique : -polémos:

Amoureux d’Isabelle, il quitte son château, le laissant aux bons soins de Pierre, et part pour Paris. Pendant le voyage, Matamore, l’un des comédiens, meurt de froid, et le baron le remplace au pied levé, devenant le « capitaine Fracasse »,nom de scène choisi pour l’occasion. Lors d’une escale à Poitiers, la troupe fait halte dans une auberge. Le duc de Vallombreuse alors présent, qui aperçoit Isabelle, tombe lui aussi amoureux de la belle comédienne et la courtise. Le baron se montre jaloux de cet

déclenche l’intervention des Etats-Unis dans la guerre du Viêtnam en 1964. Ils se retirent en 1975 ; 1975-1985 : LA GUERRE FRAICHE Les Etats-Unis connaissent un déclin dans les années 1970. Ils manifestent, de 1975 à 1985, un étonnant retrait sur la scène internationale. Echec au Vietnam ; En Iran, le renversement du shah allié des Etats-Unis et la prise en otage de diplomates américains constituent une nouvelle humiliation pour Washington ; Les difficultés économiques liées aux chocs pétroliers

de la religion chrétienne qui régnait dans son Espagne natale. C'est un tableau assez surprenant dans l'œuvre de Picasso. Le peintre a en effet fort peu traité de thèmes religieux. Et, au-delà d'une représentation classique du Calvaire, il met en scène bien des personnages étranges. Le sacrifice devient une sorte de cérémonie initiatique ou d'exorcisme. La palette utilisée par Picasso est inhabituelle : des rouges, des jaunes, des verts crus composent un ensemble de formes entremêlées aux contrastes