La Mondialisation Est Elle Un Facteur De Prospérité

Croissance et crise dans les PDEM depuis 1945 1 Les trente glorieuses (1944-1973) 1.1 1945-1950 : la "Renaissance" 1.2 1950-1973 : les moteurs de la croissance 1.3 1950-1973 : aspects de la prospérité 2 1973 : charnière économique 2.1 Origines de la crise 2.2 Les conséquences immédiates de la crise 3 L'économie mondiale depuis 1973 3.1 Un phénomène inédit : la stagflation 3.2 L'accroissement du chômage 3.3 Les réponses à la crise Conclusion Au lendemain de la

de 2008 qui a mis sur la paille bon nombre de grandes  maisons du luxe, cette renaissance laborieuse fait  désormais place à la prospérité.  • En 2014, le chiffre d’affaire du luxe à atteint les 224  milliards d’euros, soit une progression de 3% sur un an,  de quoi avoir le moral au beau fixe pour tout une  industrie. Le secteur du luxe croit trois fois plus vite que  l’économie de chaque continent sur lequel il est présent. • À quoi est dû une telle prospérité? • Essentiellement au tourisme et surtout aux touristes chinois qui à eux seuls

ont-ils interprété ces crises et influé sur les réponses politiques? Bibliographie Ndlr- L’essentiel des articles spécialisé est consultable au CDI Ouvrages généraux S.BERSTEIN, P.MILZA, Histoire du 20ème siècle, t3 de 1973 à nos jours, vers la mondialisation, Hatier, 2001 Y.CARSALADE, les grandes étapes de l’histoire économique, Ellipses, 1998 D.COHEN, Trois leçons sur la société post-industrielle, le Seuil, la République des idées, 2006 E.HOBSBAWM, l’Age des extrêmes, André Versaille éditeur, 2008

mobilisation du capital (K). L et K sont appelés les facteurs de production. Ils doivent être combinés pour produire des biens et des services. La combinaison des facteurs de production relève d’un lieu : l’entreprise. Elle peut s’exprimer par une fonction linéaire : Y = f(L,K) qui se lit : la production est fonction du travail et du capital (dans des proportions variables). Plus le facteur de production L est important, moins le facteur K l’est et inversement. Quand la fonction de production

modèle, les échanges internationaux reposent sur des différences de dotation dans les facteurs de production. Ce modèle est connu sous plusieurs noms. Il fut d'abord publié sous une forme plus littéraire par Bertil Ohlin, qui attribua la co-paternité du modèle à son directeur de thèse, Eli Heckscher en 1933. En 1941, Paul Samuelson et Wolfgang Stolper en déduisirent un théorème important sur la rémunération des facteurs, qui fut systématiquement incorporé dans la présentation du modèle, désormais connu

Introduction I-LES CONTRECOUP DE LA GLOBALISATION : 1 -Les opportunités de la mondialisation 2-Les défis de la mondialisation II-LES TECHNOLIGIES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION : 1-Le commerce électronique 2-Les nouvelles valeurs portées par Internet 3-L’émergence de méta-marchés 4-La restructuration des réseaux de distribution 5-La naissance des infomédiaires 6-L’élargissement géographique du marché 7-L’impact

poids. Les groupes humains importent plus que les individus séparés. On s’intéresse plus aux interprétations qu’aux précisions. Il faut donner plus de poids aux interprétations. Il faut percevoir les moteurs et les freins de l’économie. Traquer les facteurs de blocage. Il faut replacer les éléments chronologiques dans une dimension sociale. Il n’existe pas d’histoire économique pure ou d’histoire économique sociale sans explications économiques. En histoire économique, les dates précises importent moins

France. Si en 1931 les populations rurale et urbaine sont quasiment équivalentes, en 1975, 75% de la population est désormais urbaine. Entre 1954 et 1975, les villes françaises gagnent ainsi 13 millions d’habitants. Cette urbanisation se nourrit de facteurs à la fois exogènes, l’exode rural mais aussi la forte immigration, et endogènes, la France connaissant alors une croissance démographique importante. Le processus de métropolisation s’accentue, puisque ce sont les grandes métropoles comme Marseille

tourisme est avant tout une inscription dans la mondialisation et que par ce biais, il ne profite pas seulement aux acteurs locaux , mais à tout un réseau d’acteurs. II. La spécialisation touristique facteur de déséquilibres multiples et reflet de la complexité insulaire 1) La mondialisation ; échapper à l’isolement au risque de la dépendance. La volonté première de territorialiser l’espace insulaire se confronte à la mise en réseau comme facteur de déséquilibres multiples, accentués par une amplification

que d’autres le décrivent plutôt comme un « contre-modèle ». Mais quelle que soit la manière dont il est jugé, il s’oppose à l’uniformisation supposée des modèles organisationnels qui accompagnerait la globalisation de l’économie. En effet, la mondialisation, qui désigne tous les changements dans l’économie internationale qui tendent à créer un marché global pour le travail, les capitaux, les biens et les services, s’accompagne d’une uniformisation des modes de vie. Cette interdépendance entre les