La Monstruosité

panoramique de l’expansion des usines, à l’entrée du recueil, est un adieu à l’âge d’or de la vie aux champs, et Verhaeren fait entrer en poésie tout un pan de la réalité sociale de son temps. II .) La transfiguration du réel a.) Les signes de la monstruosité Le caractère monstrueux que le titre confère à l’extension des villes est exploité par Verhaeren dès le premier quatrain dont l’hémistiche final, mis en relief par le tiret qui marque l’antagonisme inconciliable entre plaine et ville, annonce

ignorées par le lecteur. Représenter l’ordinaire: Voyage au bout de la nuit (1932) un narrateur Bardamu et l’un de ses amis, Robinson: le parcours de toute une vie, à travers toutes les désillusions de celle-ci, et la dénonciation de toutes les monstruosités sociales: la guerre, la colonisation, l’exploitation ouvrière, la pauvreté. B- Dire l’immoralité Certains auteurs revendiquent clairement l’immoralité du roman. Il s’agit bien de dire et de justifier les comportements considérés comme “immoraux”

provocateur et polémique qui culmine dans cette dernière pièce de Koltès. -relation difficile et violente de K a à sa famille et de façon générale à la société française (comme Rimbaud, son écrivain préféré) : cela éclaire la thématique de la monstruosité dans RZ. -voir cours d'introduction sur le théâtre grec et sa relation au monstre : le monstre (de « monstrare » en latin) est celui que l'on montre du doigt sur la scène de théâtre dès l'origine, car il viole une ou des lois de la polis (parricide

chapitre XV, « Plus de chance maintenant ! […] plus d’espérance ! Le pourvoi, c’est une corde qui vous tient suspendu au-dessus- de l’abîme [...] C’est comme si le couteau de la guillotine mettait six semaines à tomber » Enfin, Victor évoque la monstruosité de la guillotine et de son inventeur. En effet, on peut lire au chapitre XXXVII, « le nom de cette chose est effroyable, et je ne comprends point comment j’ai pu jusqu’à présent l’écrire et le prononcer […] le médecin de malheur qui a inventé

(Thésée et Hercule en sont des exemples). Purification de la terre, enlever le mal du monde. Conscience personnelle, se purifier soi-même et lutter. Phèdre = monstre (v701-703 ; v1445- 446) Hippolyte = monstre (Phèdre v884 ; Thésée, v1045) => Monstruosité morale, purification de la culpabilité par la mort ou l’innocence Les Dieux: Dieux et hommes : Rapport de protection et généalogique Les dieux sont actifs dans la pièce. (conception du monde grec >< chrétien) Les dieux incarnent le destin

vers le plus parfait, un magnifique alexandrin (Le jour n’est pas plus pur que le fond de mon cœur) puis c’est le tour d’Hippolyte d’avouer. Il est amoureux d’Aricie « j’aime, j’aime, il est vrai » insistance (V : 1117). Le champ lexical de la monstruosité domine dans toue la scène est surtout dans les répliques de Thésée. Enfin Hippolyte ose évoquer l’histoire de la famille de Phèdre.

rédigé : I/ La vengeance de Médée : la rhétorique de la malédiction. (Comment elle annonce qu’elle se venge, pronoms, menace Jason en publique, Erinyes…) II/ Des « crimes si légers » au « chef-d’œuvre » du mal : montrez l’évolution de la monstruosité dans le monologue. Rappels : Grande intro : amorce, présentation du texte,...

Elle est arachnide par la forme et caméléon par la coloration.Irritée, elle devient violette.Chose épouvantable,c'est mou. Ses noeuds garrottent; son contact paralyse. Elle a un aspect de scorbut et de gangrène; c 'est de la maladie arrangée en monstruosité. Consigne: Vous allez réaliser trois paragraphes de commentaire portant sur: - Un animal informe (sans forme) et hybride - Un animal en mouvement - Un animal qui dévore, un monstre

classifier ces nouvelles de “déconcertantes” car elles n’ont ni queue ni tête dès d’un point de vue “normale” et moins obsedé. C’est l’exemple du récit “En Suisse” dont les personnages (des êtres-humains) sont représentés à travers l’animalité et la monstruosité dans une ambiance inconscient et chaotique dont la plupart d’événements ont lieu pendant la nuit. Ces quarante-trois nouvelles n'ont que l’intérêt de faire rire aux lecteurs avec un humour macabre et déséquilibré, souvent érotiques et parfois antireligieuses

c’est Jean qui faisait la morale à son ami. Nous allons faire ressortir les différentes étapes de la transformation: tout d’abord, nous verrons qu’il y a un moment de tension, puis nous montrerons comment la situation progresse de la farce à la monstruosité, et nous étudierons enfin le rhinocérisme de Jean. I/ UN MOMENT DE TENSION 1- La conversation est étrange. On note une discordance entre la politesse de Bérenger et le on autoritaire de Jean : « je vous en prie » / « je vous l’interdis »