La Morale Chez Phèdre

les règles du théâtre classique. Ils diffusent ce goût auprès du public mondain des salons qu'ils fréquentent. Les canons littéraires sont définis aussi dans des ouvrages non théoriques, œuvres littéraires, ou préfaces les justifiant. Il en va ainsi chez les plus grands dramaturges : Molière, Racine et surtout Corneille qui fut mêlé à de nombreuses querelles et fit la somme de ses opinions sur l'écriture théâtrale dans Les Trois discours sur l'art dramatique. Il faut cependant remarquer que les dramaturges

mis en prison, La Fontaine s’éloigne alors de la capitale. De retour à Paris quelques années plus tard sa carrière reprend avec la publication des Contes. Il publie par la suite le premier recueil des Fables, empruntant des sujets à Esope ou encore Phèdre. Il enrichit les préceptes traditionnels de ses réflexions personnelles et de son expérience de la vie. Il est reconnu à l’Académie française. Cette fable intitulée « les deux amis » est issue du second recueil des Fables. A travers le récit d'une

des fabulistes antiques tels Esope ou Phèdre, eux-mêmes imprégnés des différents courants philosophiques. Dans cette fable, La Fontaine fait référence au stoïcisme et à l'épicurisme, courants majeurs de l'Antiquité. Cette fable met en scène 2 personnages opposés dans apologue ou en un court récit très animé et clos par une courte moralité. située dans une période de l'Antiquité imprécise, la scène explique 2 conceptions du bonheur et délivre une morale qui permet au lecteur de faire et de justifier

fidèle en amitié, prompt à défendre la cause des opprimés, Hector Malot est surnommé « Malot-la-Probité » par la journaliste Séverine. Il est l'ami de Jules Vallès qu'il soutient dans son exil londonien, lui apportant aide financière et réconfort moral. C'est grâce à lui que le manuscrit Jacques Vingtras, qui devient L'Enfant, est publié. Il meurt le 18 Juillet 1907 à Fontenay-sous-Bois et y est inhumé dans le cimetière, où il repose en compagnie de sa première épouse Anna, de son père Jean-Baptiste

(Molière, Les Femmes savantes et l'ensemble de son théâtre - La Fontaine et ses Fables - Racine, Phèdre, entre autres tragédies - Bossuet, ses Oraisons funèbres et autres Sermons - Boileau et son Art poétique - Mme de la Fayette avec La Princesse de Clèves) allient la rigueur de la composition, la précision et la clarté du style à la recherche du naturel, du vraisemblable et à la finesse de l’analyse morale et psychologique. - Simplicité et naturel dans le style. Le plus grand peut-être : La Bruyère

Fontaine (1621-1695) y fasse référence au stoïcisme et à l’épicurisme, courants majeurs de l’Antiquité. L’admiration pour l’Antiquité explique que La Fontaine trouve une part de son inspiration dans des textes de fabulistes antiques tels Esope ou Phèdre. La fontaine met en scène deux personnages opposés dans un apologue clôt par une courte moralité. Annonce des axes Etude du texte I. Le récit d’une rencontre : 1. Deux personnages de nature opposée : • « un philosophe » (vers 1)

Elle comptait 199 fables attribuées à Ésope6. C'est le recueil qu'a utilisé La Fontaine. Les fables d'Ésope furent reprises et traduites en latin par Phèdre (Ier siècle ; direct inspirateur des fabulistes du XVIIe siècle) En France, le genre de la fable trouve son apogée au XVII°siècle avec Jean de La Fontaine, qui puise sa matière et ses thèmes chez Ésope et Piplay  La tradition de la fable remonte aux temps les plus anciens, avec notamment, au III° siècle, en Inde, les fables d'un auteur légendaire

SOUS LE SIGNE DE PHEDRESOUS LE SIGNE DE PHÈDRE La Belle Madame Le Vassart et La Curée Les recherches actuelles de la théorie littéraire mettent en évidence que l'intertextualité n'est pas seulement la fonction, mais plutôt le mode d'être du texte littéraire. Cela veut dire qu'il est toujours précédé et suivi d'autres textes, qu'il se trouve dans une situation intertextuelle. Ce qui importe donc le plus, c'est le statut textuel de l'œuvre littéraire se proposant au travail interprétatif du

faire quelque chose de rien.» (Jean Racine). Les actions des protagonistes apparaissent comme les conséquences logiques de leur caractère. L’intrigue est la combinaison logique des péripéties, s’achevant sur une note malheureuse, laquelle suscite chez le public les deux sentiments de pitié et de peur. Une tragédie se compose de six éléments, qui sont respectivement la fable (ou intrigue de la pièce), les personnages, la diction, la pensée, le spectacle, et enfin la mélodie (car le spectacle tragique

sous-genre apologue),-il est bref,-il est disposé sous forme allégorique,-et il contient une morale -> didactique. · Historique et évolutionOn attribut l’origine de l’apologue à Platon. L’apologue comme le rappelle La Fontaine est un genre noble. L’apologue a une morale donc sa narration n’est pas que fantaisie et elle a donc une fonction didactique.Il remonte à Antiquité avec Esope, Phèdre (antiquité gréco-latine) mais aussi avec Pilpay poète indien auteur de nombreuses fables