La Morale De Andromaque

littérature d’Italie. * Développer les sciences et les savoirs en tous domaines. * Repenser la religion en remontant aux sources et en étudiant directement les textes. * Mettre la personne humaine au centre des réflexions philosophiques et morales. | | | Genres principaux et formes privilégiées | * L’essai * L’épître * Le roman | | | Choix d’écriture | La citation, l’appel au lecteur, le paradoxe, la parodie. | La métaphore, l’allégorie, l’alexandrin. | L’hyperbole, l’oxymore

Jourdain Balaise Pascal: - Trois discours sur la condition des Grands - Pensées, 139 Jean Racine: - Phèdre, acte I, scène 3, vers 255 à 306 - Phèdre : acte I, scène 3 (commentaire comparé) - Étude du personnage de Phèdre - Andromaque, acte V, scène 5 - Andromaque, compte rendu de lecture sur le personnage d’Andromaque - Bérénice, acte I, scène 5 (commentaire comparé) - Bérénice, acte IV, scène 5 - Athalie - Les Plaideurs, le thème de la pièce et les intentions de Racine La période Baroque(1598-1630)

comme le voulaient les Anciens. La légitimité de la tragédie a longtemps reposé sur la "Poétique" d'Aristote: en | |suscitant la pitié et la frayeur, elle épure les passions. La catharsis garantit la grandeur du genre en lui donnant un objectif moral. | |Théophile Gautier, commentant "Bérénice", la pièce de Racine, écrit: "Bérénice, à dire vrai, n'est pas une tragédie, il n'y coule que des pleurs et point de| |sang." L'absence de mort dans cette pièce en altère-t-elle la grandeur

chœur qui commentait en chantant l’action qui se déroulait sur la scène. Auteurs principaux : Eschyle, Sophocle, Euripide...- La comédie, qui représente surtout les conflits familiaux. Auteurs principaux : Aristophane, Plaute...Le théâtre a un enjeu moral. A la fin de la pièce, le conflit est réglé, le spectateur peut tirer une leçon de la pièce qu’il vient de voir.Dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie. Il y définit la mimêsis : il faut que les personnages soient une imitation

strictes. | -caractères, désirs et sentiments humains -confrontation de l'indiviu avec les contraintes sociales, politiques et morales -l'idéal d’équilibre et d’honnêteté | Théâtre, fable portrait | -maximes et formules générales -litote (permet le respect de la bienséance) -effets de parallélisme et de symétrie | -Corneille, Le Cid (1637) -Racine, Andromaque (1667) -Molière, L'Avare (1668) -La Fontaine, Fables (1668-1693) -Malherbe, Boileau, Mme de La Fayette, La Bruyère | XVIIIè

tout réel comme « Il était une fois… » ou encore « Ils se marièrent et vécurent heureux » en laissant libre cours à l'imagination. Le conte dépassant de très loin le lectorat enfantin, l'imaginaire est malgré tout souvent associé à une volonté de morale rejoignant le genre de la fable (ex. Le petit chaperon rouge de Charles Perrault) ; le genre du conte philosophique revendique d'ailleurs une réflexion éthique ou politique qu'illustre de manière exemplaire Candide de Voltaire. Il en va de même dans

Les origines du classicisme Dès 1630, les règles d’écriture permettant de créer un chef-d’œuvre sont élaborées, elles s’appuient sur des modèles antiques (Aristote pour le genre tragique, Horace pour l’art poétique) et assignent une fonction morale à l’art. Jean CHAPELAIN (conseiller littéraire de Richelieu et membre très actif de l’Académie) est un des principaux artisans de cette doctrine. C’est en 1630 qu’il écrit la lettre des vingt-quatre heures qui prône l’imitation parfaite du réel au

Les mythes et les réécritures: La guerre de Troie I) Qu’est-ce qu’un mythe? Le sens premier du mot mythe, apparu au XIXe siècle, est un récit fabuleux, pouvant contenir une morale. Un mythe implique souvent plusieurs personnages merveilleux, tels que des dieux, des animaux chimériques ou savants, des hommes bêtes, des anges ou des démons, et l'existence d'autres mondes. Il propose une explication pour certains aspects du monde et de la société qui a forgé ou qui véhicule ces mythes : -la

On peut découper chronologiquement le siècle autour de la période classique (1660-1670). La bibliothèque française de Sorel. 1660-1670 : période des grands chefs-d’œuvre du XVIIème 1662 : Sermons sur la mort Bossuet 1667 : Andromaque de Racine 1677 : Phèdre de Racine 1674 : Art poétique de Boileau 1678 : Princesse de Clèves Mme de La Fayette Chef-d’œuvre pour eux : œuvres de l’antiquité. Sorte d’âge d’or du XVIIème : sont donc apparues comme les nouveaux classiques. 1756 : Voltaire parle

Molière est également un auteur classique, sa pièce « le malade imaginaire » respect la règle de bienséance qui permet de préserver la morale, la règle de la vraisemblance qui assure la cohérence et la règles d’unités assurent la concentration de l’attention du spectateur, cela évite de le perdre au cours de la pièce Cela ne l’empêche pas d’avoir pu acquérir un aussi grand triomphe avec