La Morale Du Coq Et Le Renard

juin 2018 2 3 SOMMAIRE INTRODUCTION PREMIÈRE PARTIE DIRE, LIRE, ÉCRIRE LES FABLES I. LIRE LES FABLES I.1. LES VERS ET LES RIMES I.1.1. « Diversité, c’est ma devise » I.1.2. La dimension graphique des Fables I.2. MORALES ET RÉCITS I.3. LA DÉSIGNATION DES PERSONNAGES, ET AUTRES DIFFICULTÉS LIÉES À LA LECTURE DES FABLES DE LA FONTAINE

prose ? Quels sont les caractères utilisés ? b. Que représentent les enluminures (illustrations) ? c. Certaines lettres sont ornées. Lesquelles ? De quelle façon ? 3. Quel a été le travail du copiste ? de l’enlumineur ? du relieur ?  Le renard : qu’évoque pour vous ce t a n imal ?  Le Roman de Re n a rt : à quel ge n re d ’ h i s to i revous at t e n d ez-vous ? D’a p rè s les enluminures du manuscrit ci-dessus, quels en sont les personnages ? 171 Repères Le Roman de Renart

Introduction : Une fable est une petite histoire avec souvent des personnages allégoriques comme par exemple des animaux qui parlent ou des personnages qui représentent une idée. Derrière cette apparence enfantine, il y a souvent une morale implicite ou explicite. La fable a aussi un but argumentatif pas toujours bien perçu par le lecteur. Nous cherchons donc à savoir si la fable est un moyen efficace d’argumenter ou non. Nous allons d’abord voir plusieurs qualités et défauts de l’argumentation

ironique II. Un apologue efficace A. Un récit allégorique B. Un récit pathétique C. La morale La fable 13 de la Fontaine intitulée « Les Loups et les Brebis » est extraite du Livre III. Il s’agit d’un apologue, genre qui existait déjà depuis l’antiquité grecque et qui portera sa forme la plus aboutie sous le fabuliste Jean de La Fontaine. En effet, il s’agit d’un court récit allégorique, livrant une leçon de morale à la fin. Par leur forme spontanément attirante, ces fables traverseront les âges. Ce

fable 2, définissez les traits de caractère dominants du Corbeau puis du Renard. Le trait de caractère essentiel du Corbeau est indiscutablement la vanité ; il se plait à faire l’important et à entendre des compliments. Conséquence de ce premier défaut, il se montre naïf jusqu’à la sottise : il faut être dépourvu de bon sens pour ne pas deviner ce qu’il va arriver à son fromage dès que le bec sera ouvert. Face à lui, le Renard affiche les traits que la tradition (depuis Le Roman de Renart) lui attribue

connaissances pour réfléchir sur un texte, mieux le comprendre, raconter de mémoire une fable lue ; citer de mémoire un court extrait caractéristique. - Découvrir la spécificité de la fable ; repérer les effets de choix formels ; - Identifier la morale, le principe ou la maxime (distinguer discours narratif et moralité) ; - Dire une fable sans erreur et de manière expressive ; - Prendre la parole devant les autres, écouter autrui, formuler et justifier un point de vue ; - Copier sans erreur un

maison natale actuellement le perron de l'entrée de la maison Maison natale Jean de La Fontaine Les Fables La Fontaine Les Jeux Enseignants Association Boutique Sté historique Ecrivains Loisirs Liens Retour au bulletin Morales des fables Jeux Le parcours Jean de La Fontaine CONTES ET OEUVRES DIVERSES DE JEAN DE LA FONTAINE .....(cliquer) Voici toutes les fables de Jean de La Fontaine... Des illustrations les accompagnent, cliquez dessus pour les agrandir, elles

Allégorique (les personnages symbolisant vices et vertus). Les vers en prose, qui vise à illustrer un précepte, une leçon, une morale. • Fable (( Fabula = récit mensonger. La morale des fables de La Fontaine peut-être explicite, ou simplement suggérée par le récit, (exemple : La Cigale et la Fourmi, Le chêne et le roseau, …). Quand elle est explicite, la morale n’est pas toujours placée à la fin de la fable : Le Loup et l’Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure : : Nous

vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire tout on long du récit, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent un renversement de situation tenues par les personnages principaux : ex du cours : les obsecque de la lionne. Historique : La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie, près de deux milles ans avant notre ère. A l’époque on racont déjà brièvement des histoires de renard flatteur, de chien maladroit, (« Le

qui est condamné. - Mais bien sûr que non ! s’exclama Loïc. Les enfants comprendront parfaitement que dans la vie il ne faut pas être égoïste. Ou encore, dans « le lièvre et la tortue », tout le monde comprend parfaitement le sens de la fable. La morale est totalement adapté à leur esprit, il ne faut pas être stupide pour comprendre qu’ici, il ne faut pas sous-estimer les plus faibles, moi je pense que c’est une bonne leçon ! - Moi je n’en suis pas si sûr… Malgré la visée pédagogique souhaitée,