La Morale En Tant Que Manifestation Contre Nature Nietzsche

PROBLEME 1 : La connaissance de l’homme est-elle possible ? Objectif : montrer la complexité de la nature de l’homme / Notions : conscience et inconscient, violence, mémoire, liberté INTRODUCTION Alors que SOCRATE invite résolument à faire du « connais-toi toi-même » inscrit au fronton du temple de Delphes, un principe fondamental de notre vie, le philosophe allemand NIETZSCHE (1844-1900) estime qu’il s’agit d’une expérience impossible dont l’évocation n’est que plaisanterie

(1670) 2. La culture Le langage : Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes L'art : Hegel, Esthétique I Le travail et la technique : Marx, Le Capital, Livre I, 3e section, chapitre 7, 1 La religion : Nietzsche, L'Antéchrist L'histoire : Ricœur, Histoire et vérité 3. La raison et le réel Théorie et expérience : Claude Bernard, Introduction à l'étude de la médecine expérimentale La démonstration : Pascal, De l'esprit géométrique L'interprétation : Dilthey

conscience et quelles sont les différentes conception de la composition du « moi » ? Il convient de poser tout d'abord les bases du « je » conscient vu par les classiques puis d'envisager les manifestations d'autres agents internes au « je » et enfin les situations où le « je » paraît totalement désolidarisé de la morale consciente. * N'importe quel esprit correctement conçu possède la faculté de s'interroger et de remettre en question les concepts classiques de notre société. En ce sens, René Descartes

qui recherche la sagesse Mais qu’est-ce que la sagesse ? Le sage est quelqu’un qui possède un savoir, la vérité (parfois mystique). Il témoigne d’une paix avec lui-même, il dégage de la quiétude, un calme intérieur. Il témoigne aussi de vertus morales (compassion, patience, honnêteté, etc.) qui font de lui un modèle pour les enfants. Donc 3 grands pôles : vérité, bonheur, vertu, correspondant aux différentes grandes questions que se pose l’homme au sujet de sa propre condition. => problématique

moi-naturel (celui du désir naturel) du moi-humain. Tant que la conscience en reste à la seule satisfaction de ses tendances, elle est enfermée dans le narcissisme du besoin. Elle est prisonnière du corps. Il n’y a que la conscience de l’individualité organique. Elle s’affirme certes, mais par une simple négation de son objet corrélatif. Je me pose face à l’objet, la pomme, et je la consomme et c’est ainsi que mon moi-vital se constitue. Cependant, en tant qu’être humain, je ne peux pas me contenter de

se pardonne ou s'assume. On "fait" une erreur alors que l'on "commet" une faute. L'engagement y est alors autrement important. En effet l'erreur est celle du jugement rationnel, tandis que la faute, même involontaire, me situe sur le terrain de la morale. J'ai failli, ou manqué à une règle dans une faute. C'est une transgression et pas seulement une divagation, une incohérence ou une confusion. Cependant si tout le monde peut se tromper, il y a des domaines dans lesquels, compte tenu des enjeux, les

L’imagination morale se résume-t-elle à la pitié ? Imagination : faculté de se comparer avec autrui, Rousseau Discours sur l’origine des inégalités parmi les hommes, début 2ère partie. L’imagination est toujours sensible et la pitié est une manifestation de notre sensibilité. L’imagination se nourrit de la différence, de l’extraordinaire, du non-habituel chez autrui, non du similaire, de l’ordinaire, de l’habituel. L’imagination est stimulée par un décalage. Je n’ai pas à me mettre à la place

distinction entre les deux. Le rationalisme et l’athéisme sont les causes de ce dérèglement, de cette déflagration des valeurs. L’homme atteint du nihilisme n’est pas un homme libre sans certaines valeurs. On comprend alors que Dostoïevski se pose en tant que dénonciateur du nihilisme présent dans la société Russe. Il ne se veut pas propagateur de négation ou de révolution. Posture singulière, dans un contexte historique dense, où la société russe au XIX° siècle connaît de profondes mutations idéologiques

psychologie. � Explication : selon Freud, c’est l’inconscient qui gouverne et détermine certaines actions majeures de l’homme. � Argument 2 : l’inconscient est la partie obscure de l’homme où sont condensés tous les instincts. � Explication : la manifestation de l’inconscient échappe à l’homme. � Citation : « il y a en nous à tout moment, une infilité de petites perception qui nous échappent » les nouveaux essais sur l’entendement humain, LEIBNIZ � Explication : l’homme n’est pas toujours responsable

construire la forme réelle a partir de la forme apparents, et c'est la forme réelle qui nous intéresse en tant que nous sommes tournée vers l'action. Mais la forme réelle n'est pas ce que nous voyons; elle est inférée a partir de ce que nous voyons. -Nous devons nous limiter a dire que la réalité nous envoie des signes en provenance des objets et que ce sont ces signes qui causent ces manifestations en mon esprit. -Russel admet que la table existe, mais pour ce qui est du lien qui nous unit a elle