La Morale Est Elle Naturelle

QUI EST NATUREL EST BON ? La nature représente tout ce qui existe et qui est considéré comme soumis à des lois : « les lois de la nature » nous dirigent (les végétaux, les minéraux, les animaux…). Cette nature par extension est donc l’essence caractéristique d’une espèce qui lui ait donné à la naissance : ce qui est inné et spontané. De plus, par définition, le bien s’oppose au mal, il a une valeur d’idéal et de désirable, il est l’emblème des valeurs humaines. Il symbolise la morale et l’utilité

violence. Le droit est essentiellement institutionnel et lié a des institutions chargées de l’administrer. Il est en quelque sorte plus explicite et plus direct que la morale, mais aussi très proche d’elle. Il est par ailleurs difficile de distinguer une norme juridique d’une norme morale. Exemple : « tu ne tueras pas » est une règle morale, tandis que « tu ne tueras pas si tu ne veux pas aller en prison » est une règle juridique. I Droit et fait On distingue la question de fait qui établit l’existence

L'homme est un être vivant qui détient, de façon totalement innée, une conscience morale, une raison qui entraîne chez lui le besoin d'une certaine légitimité, égalité et la volonté de paix dans la société dans laquelle il vit. Il a conscience des inégalités naturelles (physiques, psychologiques...) qui différencient chaque individu de sa société, c'est pour cela qu'il a besoin de justice afin de créer une certaine homogénéité entre chaque individu unique de son pays, puis, par suite, se sentir en

libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une obligation morale : 1) Obligation, contrainte ou effet de la volonté ? 2) Les critiques du devoir : INTRODUCTION : Le droit occupe dans le monde « occidental » une place de premier plan. Il est considéré comme le grand régulateur de la vie sociale

mesure ne concerne qu’une personne déterminée, ce n’est plus une règle, c’est un décret ou une sentence. Les règles morales et religieuses sont aussi générales et impersonnelles. Une règle à finalité sociale [modifier] Le but de la règle de droit est d'organiser la vie sociale : c'est pour la règle de droit que cette caractéristique est la plus prononcée. Pour la règle morale, la finalité serait plutôt celle de l'épanouissement de la conscience de l’individu, de son perfectionnement ; la règle

en accord avec les droits fondamentaux énoncés dans cette convention. Ex: en 2000 la France a été condamnée par la cour européenne des droits de l'homme c'est l'arrêt mazurek:condamnation de la France sur l'inégalité successorale entre un enfant naturel et un enfant adultérin. Le droit interne se divise en 2 branches: le droit interne public et le droit interne privé. A- LE DROIT INTERNE PUBLIC Il repose sur 2 piliers fondamentaux, le droit constitutionnel et le droit administratif.

se demander quelle partie de cours il sera possible d’exploiter. Le commentaire d’arrêt n’est en effet JAMAIS un prétexte à la dissertation. L’une des erreurs fréquemment commises est d’utiliser les mots de la décision – offre, erreur, obligation naturelle, etc… – pour reprendre les développements du cours où ces notions sont utilisées : ce n’est pas l’objet du commentaire, ni même de la dissertation. Ce découpage de cours « en forme de commentaire » n’explique rien de l’arrêt : il n’explique d’ailleurs

des règles. La règle morale et la règle juridique ont une origine différente. La règle morale provient de l’Homme. La règle de droit a une source externe : l’autorité publique, la Parlement. La règle religieuse provient de Dieu, c’est lui qui dicte les règles. La règle religieuse a donc une source externe. La coutume est une pratique suivie par le corps sociale. Ce sont les Hommes qui décident de la morale à suivre.  « Nom de famille du mari pour la femme » => morale collective. B) La finalité

et le mal. Qu'il s'agisse de morale apprise à l'école ou en famille, nous possédons en nous des sortes de garde-fous nous empêchant de mentir, de faire du mal, de nuire à autrui. Des dictons comme « tu ne tueras point », « nulle raison ne pourrait justifier le mensonge » sont souvent venus nous rappeler que le fait de contrevenir à certaines règles

(Section 2). Section 1: Les caractères généraux de la règle de droit À titre principal mais non exclusif, la règle de droit édicte un comportement aux personnes qui y sont soumises. Mais l’Homme en société est soumis a bien d’autres règles morales, religieuses, règle de savoir vivre… certes nul ne sera surpris que le caractère général et impersonnel de la règle de droit ne suffisent pas à la révéler. Mais cela est aussi vrai de deux autres caractères à priori plus symptomatique de la règle