La Morale Est Elle Nécessaire

considérée comme une fin en soi.En philosophie chrétienne, la «  summum bonum »est typiquement définie comme étant la droiture, une vie vécue en communion avec Dieu en respectant ses préceptes.Le souverain bien implique en effet l'idée d'une connexion nécessaire entre la moralité de nos actions et le bonheur. Suivant cette idée, agir moralement nous donne un certain droit au bonheur. La justice consiste alors dans le rapport proportionné de la vertu et du bonheur.Le souverain bien dans l’œuvre de KantDu

Chapitre 2 : Le bonheur Bonheur = heureux hasard = état de bien-être stable et durable lié à la satisfaction du désir. Bonheur -> désir : manque dt on a conscience -> plaisir : satisfaction du désir -> besoin diff du plaisir : nécessaire. I) Bonheur et désir 1 – Les tyrans sont les hommes les plus heureux Platon, « République II » : Gorgias : les tyrans sont les plus heureux car ils font tout ce qu’ils veulent => Mythe de l’anneau de Gygès : Gygès trouve un anneau qui est un anneau d’invisibilité

Kant A les idées « a priori » La philosophie de Kant a une perspective morale, ce n’est pas seulement une théorie de la connaissance. La question la plus importante n’est pas : Qu’est-ce qui permet à l’homme de penser, mais Comment vivre ? Parle de la religion en 1787 dans la partie Que peut-on connaître ? de la Critique de la raison pure 1 l’empirisme Les empiristes et Hume donnent une explication simpliste, en réponse à Platon, pour qui le monde des idées et différent

rapport entre elle deux. et par là même pose la question de leurs relation. Est –elle nécessaire ? Sont –elles antithétiques l’une l’autre : le désir ou la loi ? Dans les conduites individuelles et collectives, le désir ne peut pas entrer en contradiction avec d’autre instances de décision et en particulier avec la loi. Pourquoi ? car le désir est toujours singulier, subjectif alors que la loi est nécessaire et universelle, malgré ces différentes acceptions. En effet elle doit s’appliquer à

du cours de philosophie morale 1. La morale et la philosophie morale : La question centrale de cette première partie est la suivante : qu’est-ce que la morale ? Elle a pour but de mettre en évidence et d’éclaircir le concept de devoir et celui de bien. 1.1. La morale : 1.1.1. La morale est l’ensemble des devoirs que les hommes doivent remplir afin de mener une vie bonne. 1.1.2. Le bien est formellement la norme suprême à l’aune de laquelle se mesure la valeur morale des choix et des actes

Dans sa rédaction initiale, le Code civil qui ignorait la responsabilité des personnes morales, n’a consacré cette formule qu’en 1992 avec l’arrivée du Nouveau Code Pénal qui a mis fin à l’irresponsabilité de ces dernières avec l’entrée en vigueur de l’article 121-2 du Code Pénal. Une personne morale est un groupement de personnes physiques (ex : des actionnaires) qui, en tant que société, est doté d’une personnalité juridique distincte de celle de ses membres. Ces êtres abstraits furent pendant

La personnalité morale. Alors que l'existence de personne physique est indéniable et connue de tous en France, la notion de personnalité morale à désormais une place prépondérante et la question de son existence ne se pose même plus. Ainsi, dans un monde globalisé et interdépendant ,on constate que la présence des sociétés est toute aussi nécessaire que celle de l'Homme, d'où l’amalgame souvent fait entre personnalité morale et société. Cependant, bien que la personnalité morale soit destinée

des hommes. L’animal n’a pas de devoirs, ce qu’il fait est entièrement déterminé par la nature (l’instinct) → c’est une nécessité. Nécessaire : ce qui ne peut pas être autrement que ce qui est. En français, on utilise le même mot devoir pour parler de la nécessité de l’obligation. Ex : la pierre doit tomber (nécessité) : je ne dois pas mentir (obligation/morale) Il faut distingués ce que nous sommes déterminés à faire sous l’effet de la nécessité et ce que nous devons faire en ayant le pouvoir

pourrait permettre d'éloigner les souffrances qui lui sont propre ; ces manques à être, frein à l'ataraxie. Cependant, le désir ne doit pas être borné par des limites naturelles, mais des limites morales, car se libérer du désir en se soumettant aux lois naturelles renvoie l'Homme à l'état animal, primitif. La morale imposerait donc aux désirs une valeur relative, selon s'ils sont bons ou non pour l'Homme. Mais le désir par son caractère infinit est source de création, de progrés et pas seulement de contraintes

une certaine morale vis-à-vis de cet élément qui assure notre survie et sur lequel nous nous trouvons ; ne pas respecter la nature, c’est comme ne pas respecter n’être humain car elle permet à celui-ci d’exister. Cependant, le respect n’existe-t-il pas qu’envers les êtres pensants, qu’envers ceux qui peuvent avoir également du respect ? N’est-ce pas attribuer à la nature les facultés humaines que de la respecter au point de ne plus l’utiliser seulement comme un moyen ? Est-il nécessaire de respecter