La Morale Est Elle Un Obstacle à La Liberté

sentiment de libert´ semble inh´ rent a la conscience de l’homme. Il r´ sulterait ainsi du fait de poss´ der une repr´ sentation e e e e e ´ e ` intelligente de l’existence, qui a pour propri´ t´ d’analyser les causes des ev` nements et de montrer a l’homme de quelle facon la ee ¸ ` r´ alisation de certaines choses d´ pend de lui. Toutefois, a ce sentiment de libert´ s’oppose la conscience de la d´ termination, c’est-` e e e e a ` ` dire se donnent a penser tous les obstacles r´ els qui s’opposent a la r´

Kant Principe de la morale Sciences, sagesse, vérité Sentiment, expérience Bonne volonté Objet de l’éducation morale Idée du bien Indépendance et égalité (=liberté, amour de soi) La loi morale, (principe d’universalité) Origine du mal Ignorance, précipitation Comparaison (amour propre) Désirs d’exception (à la règle) Finalité de Harmonie équilibre mesure Accords avec soi même, amour de soi, bonheur Autonomie, cohérence de la volonté (caractère) Sentiment moral privilégié L’amour

bénéfique ! Cependant, pour pouvoir le réaliser il faut que tout ce qui y fait obstacle soit écarté. Tout ce qui était illégal et banni autrefois, doit être adopté et devenir légal. Les lois qui empêchent une telle vie et toutes les conceptions qui s’y opposent doivent donc être abolies. Avant toute autre chose il faut naturellement mettre en cause la Bible et, du même coup, le christianisme ! D’ailleurs le septième commandement a déjà disparu de la conscience de beaucoup. La notion d’adultère est abandonnée

comme le voudrait une représentation infantilisante de la loi. Elle est une demande qui même si elle prend la forme d'une pressante recommandation ou d'un commandement, reste un appel à une obéissance, c'est-à-dire à une écoute (audire). Elle n'est pas un obstacle qui s'interpose, elle parle en s'adressant à quelqu'un, à un sujet : elle ne parle pas de lui, elle lui parle en le resituant, en lui demandant de s'y reconnaître, de « s'y retrouver ». Car elle est littéralement une inter-diction (non pas

notoriété doit beaucoup à Karl Polanyi qui, dans son maître-livre, La grande transformation, accorde une place de choix à cet épisode de l’histoire anglaise [1]. Speenhamland y est présenté comme un moment-clé, le prélude aux bouleversements du capitalisme moderne et l’origine des problèmes sociaux de notre temps. La thèse de Polanyi est bien connue : en instaurant une sorte de minimum vital, un « droit de vivre », les magistrats [2] anglais ont fait obstacle pendant près de quarante ans à l’avènement d’un

des lois. L’homme se doit d’obéir à la loi, pour son intérêt général, mais aussi parce qu’elle permet un équilibre et un certain ordre social. Mais il faut alors se demander si l’obéissance aux lois, si les devoirs de citoyens n’empêche pas les hommes d’être heureux. Le bonheur n’est pas quelque chose de collectif, il est personnel. Ainsi, il ne réside jamais dans la même chose selon les individus. Agir au gré de ses envies et les voir toutes satisfaites correspond à un idéal de bonheur fort répandu

d’E qui donne naissance à une nouvelle entité qui est dotée d’organes propres et de la personnalité juridique internationale. Donc ce n’est pas la somme des E membres mais un nouveau sujet de droit international et donc avec de nouveaux droits et obligations issus du droit international. Cette organisation va créer son propre ordre juridique du fait de ses missions et de son fonctionnement. Organisations non gouvernementale // une ONG c’est une association d’individus qui a une mission internationale

droits de l’homme et du citoyen datant de 1789. Ce premier article confère à chaque homme une liberté de droit. Cela signifie que les hommes disposent légalement et légitimement d’une liberté qui implique les libertés d’expression, de religion, de choix ou de se déplacer. Lorsque nous avons une décision à prendre, c’est la liberté qui nous permet de faire un choix. Elle désigne la possibilité d’agir de nous-mêmes, sans être soumis à quelconque influence ou même conventions sociales. Cependant ce choix

I. LES MORALES DU DEVOIR. A. Le Stoïcisme. La morale stoïcienne part d’un constat : il y a deux sortes de choses, celles qui ne dépendent pas de nous – et ce sont elles qui sont les plus importantes en nombre : santé, fortune, chance, réussite, etc…- et celles qui dépendent de nous : nos jugements. Bref, la seule chose qui dépende de nous et sur laquelle nous ayons un pouvoir, ce sont nos jugements. Nous ne pouvons pas changer ce qui nous arrive. Bien plus, c’est un manque de discernement que

Etre libre, est-ce ne se soumettre à rien ? Introduction « Etre libre » ou agir en l’absence de règles, de contraintes, conception qui rejoint l’autre expression de l’intitulé qui renvoie à l’insoumission totale. A priori, il semble évident d’assimiler le fait d’être libre à la disparition de ce qui habituellement fait obstacle à nos désirs. Comment dans ce cas concilier liberté et présence de règles ? Mais ne se soumettre à rien, n’est-ce pas déjà s’obliger à quelque chose et plus généralement se