La Morale Peut Elle Se Passer De La Religion

personnes précisément déterminables, en cela elle est impersonnelle c’est à dire qu’elle ne peut pas viser une personne en particulier. Par exemple selon l’article 1240 du code civil, « tout fait quelconques de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer », la loi est impersonnelle, elle ne vise pas nommément une personne en particulier, la même chose peut se dégager de l’article 9 de la Constitution française qui dispose que « le président de la

s’applique que si les sujets de droit n’ont pas exprimés leur volonté particulière pour l’organisation de leur situation ; dans ce cas là, la règle supplétive supplée l’absence de volonté exprimée. Morale : ensemble de normes, de règles de conduite propres à une société donnée relevant de la règle morale et conforme au mœurs de la société. Équité : justice fondée sur l’égalité devant rendre à chacun sa propre équité. C’est un principe qui commande de traiter également des choses égales. Justice

POLITIQUE ET MORALE 1. La confusion moderne de la morale du politique Depuis le 18 e (Lumières), la définition du politique est devenue confuse, à cause du mélange avec la morale. On a pris l’habitude de considérer la politique sous les catégories morales du bien et du mal (comme les idées de droit et de justice). C’est une attitude qui passe pour digne alors qu’elle est surtout paresseuse, puisqu’elle évite l’effort de faire des distinctions. Par commodité, on place tout sous la tutelle de

en Dieu (ou en plusieurs) et qui peut donc « trahir », ou plutôt qualifier cette appartenance religieuse. La religion est un ensemble de rîtes et de pratiques d’une population ayant les mêmes croyances. Dans ce cas "attitude religieuse" il y a un regroupement de toute les regilions donc cela veut dire qu'elles ont toutes un fond communs qui à pour but de rassembler les personnes ayant les mêmes convictions face à un(des) être(s) sacré(s), Dieu(x). Mais la religion est divisée en deux, la foi et les

Peut-on se passer de Dieu pour fonder une morale? Dans cette question nous nous demandons si il est possible d'avoir des principes, de créer un ensemble de valeurs et d'exigences qui définiraient de manière universelle ce qu'est le bien, sans «  l'aide » de Dieu, sans avoir, sans croire en une religion. La création d'une morale est-elle nécessairement dépendante de Dieu? Dieu transmet aux gens à travers la religion et la foi qu'il instaure des règles morales à suivre, une conduite à adopter

Dissertation : La conscience morale est -elle une illusion? Débattre sur la conscience morale nécessite avant tout d'évoquer un phénomène relativement dont nous avons tous fait l'expérience : celui d'une petite voix qui joue le rôle d'interlocuteur intérieur, et qui se manifeste parfois pour nous sommer de faire quelque chose ou au contraire de s'abstenir de le faire. Suivant un phénomène de dédoublement, cette petite voix nous permet de distinguer le bien et le mal, d'en fixer des normes et

Introduction : La situation contemporaine vis-à-vis de la religion est aujourd’hui très critique. Comme le titre un livre récent Dieu a changé d’adresse. Les observateurs les plus lucides de notre époque l’ont bien compris, nous n’identifions plus aujourd’hui la spiritualité à une religion organisée. Nous pouvons même les opposer. Ainsi le fondamentalisme et l’intégrisme sont des attitudes que nous savons rattacher au sursaut identitaire des religions organisées. Ils ont peu à voir avec un éveil du spirituel

1 UNE SOCIETE PEUT-ELLE SE PASSER DE RELIGION ? D’emblée, une telle question nous contraint à affronter la place de la religion au sein de la société ainsi que le sens et la finalité du lien religieux. Selon l’une de ses étymologies, la religion désigne ce qui lie ou relie. Mais que lie-t-elle ainsi ? Ce lien n’est-il qu’un lien de transcendance qui relie les hommes aux dieux ou bien la religion est-elle la condition nécessaire du lien qui unit les hommes eux-mêmes ? Autrement dit, le lien

devoir est une obligation morale. Cette obligation peut revêtir un caractère absolu et se nomme alors un « impératif catégorique » (Kant). Dès lors, on voit mal comment une obligation et l’absence de contrainte pourraient être complémentaires. En effet, n’est-ce pas, dans un sens, le but du devoir que de contenir les libertés ? Dans ce cas, le devoir servirait donc à restreindre le potentiel d’innovation, de création qui pourrait nuire à la vie en société. Mais, le devoir peut être au contraire une

Depuis la nuit des temps, les religions ont sculpté le mode de vie ainsi que la façon de penser des hommes. Véritable énergie créatrice de bonnes valeurs et de vérité pour plusieurs, fléau presque conspiratif et entrave à l’épanouissement humaine pour d’autres, une question se pose : la religion est-elle la seule source de vérité pour nos vies ou existe-t-il d’autres chemins pour y parvenir ? C’est en me référant au texte de Schopenhauer que je proposerai les arguments divisant deux camps : celui