La Morale Peut Elle Se Passer De La Religion

ceux-ci permettent l’échange des idées entre philosophes. Ils fréquentent également des lieux d'échanges intellectuels, et ils maîtrisent l’art de parler en société, ceux sont donc de bons narrateurs. De plus, ils possèdent de nombreuses  qualités morales. Mais, un philosophe c'est aussi un Homme de contestation et de critiques, qui a pour but d'atteindre le bonheur de tous. Les philosophes des Lumières avaient donc tous pour but d'éclairer, d'où leur nom, l'esprit humain et la pensée de leurs contemporains

09/04/13 LA RELIGION (dine) LA RELIGION (dine) La religion constitue un ensemble de croyances, une série de prescriptions pratiques et morales que les messagers de Dieu transmettent à l'homme pour le guider sur terre. Le crédit accordé à ces croyances, l'accomplissement de ces prescriptions font accéder l'homme au bonheur ici-bas et à la félicité dans l'au-delà. Autrement dit, la piété et la fidélité aux instructions de Dieu et du Prophète conditionnent notre bonheur en ce monde éphémère et

philosophique (raison)? Dieu de Foi et des Valeurs : Monothéisme = existence d'un être unique transcendant et créateur du monde (JWH, Allah, Dieu...) « Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob » JWH = « Je suis celui qui suis » cf : Genèse, Moïse. On ne peut nommer Dieu. Il n'intervient pas dans les affaires humaines. Polythéisme = existence d'êtres supérieurs immortels qui commandent aux phénomènes naturels et qui interviennent ds les affaires humaines. Dieu de Raison : « Dieu des scientifiques et

mission colonisatrice : La mission colonisatrice se justifie par les traditions religieuses et morales mais aussi par une mission d’éducation. 1) Un devoir religieux et moral : Les Conquérants espagnols ont choisi la religion et la morale pour justifier la colonisation des amérindiens. En effet, leur but est de répandre le christianisme. Pour cela ils ont fait disparaitre la religion des indigènes. Ainsi, les conquérants ont pour objectif de convertir par la force les peuples amérindiens

conduisait inévitablement au suicide, alors il n’existerait plus aucun nihiliste ! Être vraiment nihiliste, c’est donc en un sens plus profond lutter contre lui tout en le maintenant pour le rendre philosophiquement indépassable. Antérieur à toute morale, l’art est une solution concrète et effective au problème du nihilisme : il existe « entre l’art et la philosophie [...] une inégalité fondamentale d’aptitude à surmonter le nihilisme [...], d’où l’importance extrême accordée par Nietzsche au paradigme

foi semblent s’installer dans une suspicieuse rivalité et une conflictuelle mutualité depuis des millénaires. Certains mouvements extrémistes religieux utilisent des moyens violents pour arriver à leurs fins, ce qui est contradictoire puisque leur religion prône la paix. Cela est révélateur d’une opposition entre pensée rationnelle et croyance religieuse. Il convient tout de même de se demander si la raison s’oppose vraiment à la foi. Depuis les origines, raison et croyance religieuse ne s’opposent-elles

 Supposant vrai que la religion n'a qu'une fonction de cohésion sociale, il faut voir en quoi elle joue ce rôle. La croyance fonde ses principaux appuis, ses bases dont les institutions religieuses se chargent de reprendre afin de dominer au mieux l'ensemble de leur sphère d'influence. Les sources originelles dans les entités divines, aussi bien des Dieux humains que des animaux ou forces silencieuses. Les anciennes croyances éteintes en majorités reposaient sur plusieurs dieux, polythéisme,

démarche de pardon. II-Le repentir joué de Dom Juan. 1) L'éloge indirect de la religion. Champs lexical de la religion → « ciel » l.1-6, rémission l.16, « repentir » l.25, « âme » l.8, « grâces » l.12, « bonté » l.12. Thème de la justice qui est qualifiée de redoutable. L'impénitence finale est celui qui meurt sans se soucier de la religion. Dom Juan rend le ciel responsable de sa conversion. L'éloge de la religion se manifeste également par l'évocation de la passiance divine. 2) La confession

données d’une enquête menée au Maroc sur les valeurs dans le cadre du rapport du Cinquantenaire en 2005. On pourrait examiner ces changements de valeurs et ce qu’ils entraînent comme négociation à travers trois entrées à savoir la famille, la religion et la politique. Si, sociologiquement, on s’accorde à considérer que les valeurs ne sont pas immuables et changent avec les changements de la société, la particularité de l’évolution des valeurs réside dans le fait que cette évolution n’a pas le

Science et religion : lecture suivie du livre de Bertrand Russell[1] Introduction Présentation de l'auteur : Bertrand Russell (1872-1970) possède le double statut de mathématicien et de philosophe. Professeur à l'université d'Oxford, il a reçu le prix Nobel de littérature en 1950 pour l'ensemble de son oeuvre et pour son engagement humaniste. En mathématiques (ou plus précisément en logique), Bertrand Russell est l'auteur de la théorie des types et a développé l'idée, dans son livre Principia