La Morale Suppose Le Libre Arbitre Kant

Pascal. Leibniz. Diderot. Kant. Hegel. Marx. Nietzsche. Freud. Husserl. Bergson. Heidegger. Sartre. Merleau-Ponty. AUTRUI Platon. Aristote. Le stoïcisme. Pascal. Spinoza. Leibniz. Rousseau. Freud. Husserl. Heidegger. Sartre. Merleau-Ponty. BONHEUR (LE) Platon. Aristote. Épicurisme. Le stoïcisme. Le scepticisme. Saint Augustin. Montaigne. Pascal. Spinoza. Leibniz. Diderot. Kant. Schopenhauer. Hegel. CONNAISSANCE DU VIVANT (LA) Aristote. Descartes. Leibniz. Diderot. Kant. Comte. Bergson. Bachelard

théorie de la mimesis - Hegel : le beau est une création de l'esprit - De Vinci : la peinture doit imiter la nature - Kant : le jugement esthétique a une portée universelle - Bergson : L’Art est révélateur / l’artiste voit mieux que nous “la multiple splendeur du monde” (Han Suyin) - Albert Camus: servir ceux qui subissent l'histoire : assigne à l'artiste une mission morale - Kant : La nature inspire le génie “Génos” = né ainsi - Nietzsche: le génis s’acquiert par le travail et l’effort et les deux

nous est utile c'est-à-dire où elle nous conduit au bonheur. Mais est bon aussi ce qui est conforme au bien, aux normes éthiques, bref ce qui est moral Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Le sens du problème Il s'agit de savoir si pour être heureux et si pour être moral il faut admettre la règle, le précepte, de satisfaire tous ses désirs sans exception ou si, au contraire, il convient de maîtriser certains d'entre

par Saussure au 20èmes, la linguistique est la science du langage. I/ Le langage : un fait humain. La communication suppose qu’il y ait transmission d’un message entre un émetteur et un récepteur à travers un code commun. Les animaux aussi. Le langage est lié à la raison, faculté de conceptualiser et symboliser. Un signe est un élément concret

verbe falloir à deux sens en français. Il signifie "être nécessaire" ou "avoir le devoir de". Il n'y a aucune raison ici de négliger l'un des deux sens. Préférer, c'est considérer comme meilleur parce que c'est plus utile ou plus désirable ou plus moral. Le sujet nous invite donc à chercher des raisons de choisir entre ces deux contraires que sont la révolte et la résignation. Il s'agit de se poser à la fois la question de la nécessité du choix (elle renvoie d'ailleurs plus à la thématique de la

COMMENTAIRE SARTRE Homme = être libre (semblerait) : c'est ce qui le distinguerait de l'animal. Sa cse et sa morale le poussent à être responsable de ses choix ou la liberté doit être postulée si l'on veut que l'action morale ait encore un sens (KANT). Mais homme = animal + déterminé? (De part sa nature sensible) Comment serait-il alors possible de concilier ces deux aspects? N'est-on pas soit totalement libre soit totalement déterminé, ce qui rendrait impossible toute conciliation? Tel n'est

savoir lire les signes déposés par les dieux dans les entrailles des animaux, la nourriture, etc., tout ça suppose une interprétation. Le livre de la divination a pour contenu principalement le maintien respectueux des rites parce que les rites sont institués par la tradition. La question de Cicéron est de s’inscrire dans un héritage et de pouvoir à partir de là montrer que la croyance au divin suppose toujours une admiration pour l’ordre et la beauté du monde. Celui qui ne respecte pas la tradition est

fait de lui-même et de sa supériorité par rapport aux autres êtres vivants : sa conscience. L’étude de ce texte va donc nous permettre également d’étudier de plus près les théories de la conscience et de trouver des arguments dans le débat entre libre-arbitre et déterminisme, entre idéalisme et matérialisme. Cf. texte §2 : « ce sont donc des hypothèses sur la vie pulsionnelle de l’homme qui ont constitué le fondement de notre conception de la nervosité » Cf. texte §3 : « il n’est pas de domaine où

action) d’un débat qui se joue d’abord sur le plan théorique.   . Se résigner : c’est être contraint d’accepter quelque chose, parce que l’on ne pas faire autrement, ou encore « à contrecoeur ». employer ce terme à l’égard du matérialisme, c’est donc supposer, d’une part, que cette thèse semble avoir pris le pas sur ses concurrentes et , d’autre part, qu’elle représente pour nous quelque chose de décevant. Il convient donc de chercher ce qui laisserait penser que le matérialisme pourrait l’emporter sur

LE PLAISIR : INTRODUCTION Lorsqu'on pose la question du plaisir, la question de la vertu n'est jamais loin. « Qu'est-ce qu'une vie bonne ? », Philèbe. La question de la nature du plaisir apparaît comme condition de sa valeur morale. I / La nature du plaisir La définition commune du plaisir est simple mais peu profonde. Le TLF le définit comme : « un état affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante ». L'état