La Mort dans les nuages

quelle latitude elle est située. - La beauté? - Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. - L'or? - Je le hais comme vous haïssez Dieu. - Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? - J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! Commentaire Le texte se présente sous la forme d’un dialogue, sans que ce soit du théâtre puisque le nom des locuteurs ne nous est pas fourni, et qu’on n’a pas sur eux de réels renseignements. Ce dialogue

plus personnelles et qui vont à l’encontre de ce qui est enseigné dans ces académies. Plus tard, cela donne place au courant romantique. Caspar David Friedrich est un de ces artistes les plus reconnus, avec sa toile Voyageur contemplant une mer de nuages. Le contexte sociohistorique, les caractéristiques du mouvement artistique, la vie de cet artiste et l’analyse de son œuvre permettent d’ailleurs de mieux comprendre le romantisme et le sens des œuvres appartenant à ce courant. Au 19e siècle, après

I Goriot : les funérailles d’un pauvre :       Ces funérailles se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte d’argent.       L’abandon du père par les filles sa solitude près la mort comme dans l’agonie, sont perceptibles à travers plusieurs expressions : « Il n’y avait qu’une seul voiture de deuil… Il n’y a point de suite… deux voitures armoriées mais vides ». On remarquera l’alliance de ces deux termes, « armoriées mais vides », qui marque la noblesse

LA POESIE CHARLES BAUDELAIRE INTRODUCTION Charles Baudelaire : Après la mort de son père à l’âge de six ans, sa mère se remarie avec le général Aupick, un militaire représentant aux yeux de Baudelaire l’horreur de la discipline, de la morale bourgeoise et de la religion établies. A 18 ans, il se fait expulsé du lycée Louis Le Grand à Paris, il commence alors à avoir une vie marginale et de bohème dans le quartier latin de Paris. En 1841, son beau père décide de le faire voyager en Inde

Le Voyageur contemplant une mer de nuages (Der Wanderer über dem Nebelmeer) est un tableau de Caspar David Friedrich. Entre 1781 et 1791, les membres de sa famille décèdent un par un. En 1781, il perd sa mère et sa sœur Elisabeth. En 1787, c'est son frère Christopher qui décède. Et en 1791, sa sœur Maria. Cela va influer sur l'un des deux thèmes de sa peinture, la mort ; l'autre étant la nature et le respect de la nature. Cette toile cache une riche symbolique, comme tous les tableaux de ce

omniprésence des didascalies mais séparés par les paroles : monologues. 2) Le bilan des rapports amicaux des personnages -l'effacement d'Yvan, l'amuseur et l'avènement d'Yvan, bouc émissaire, conciliateur, représentant du pathos : Champ lexical de la mort : « cimetière (l.1) , tombe (l.2), mère (l.2)morte, chapelle (l.4) » - la confirmation de Serge comme amateur d'art et rebelle : Métaphore ironique « savon suisse à base de fiel de bœuf prescrit par Paula (l.19) » Comme si Paula était son docteur,

résultat que le sujet « cesse d’être sujet pour se transformer en objet conjoint avec le destinateur »7. La nuit serait dès lors perçue dans notre texte comme le destinateur de la /Vie/ ou celui de la /Non-Mort/. Or, seule l’identification de la nuit avec le délégué du destinateur de la /Non-Mort/, nous semble-t-il, cadre avec la phrase dans laquelle le sujet « envahi par la joie » affirme qu’à la tombée de la nuit, il s’éveille, s’anime, se sent « plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux »

disparu et l’autre à Rastignac. I Goriot ou les funérailles d’un pauvre. Les funérailles de Goriot se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte d’argent. L’abandon du père par les filles, sa solitude après la mort comme dans l’agonie, sont perceptibles à travers plusieurs expressions : « Il n’y avait qu’une seule voiture de deuil… Il n’y a point de suite… deux voitures armoriées mais vides ». On remarque l’alliance de ces deux termes, « armoriées mais vides

Giono affirme ne pas donner à la nature une place privilégiée dans Un roi sans divertissement et force est de constater que la nature n'est pas au centre du récit, on peut même remarquer que l'évocation de la nature est quasi inexistante après la mort de M.V. Néanmoins, la chronique, s'ouvre sur la description d'un hêtre, hêtre qui joue un rôle incontestable dans l'intrigue policière et qui par ailleurs incarne, au même titre que les autres arbres qui sont décrits le thème de l'esthétique de la

Le père Goriot De "Les deux prêtres" à "madame de Nucingen. " Introduction Dans les pages précédentes, le narrateur a raconté la mort du père. Il a insisté sur la solitude de cette agonie : au retour de la soirée chez madame de Beauséant, Eugène a trouvé Goriot mourant. Christophe envoyé auprès des filles pour un secours d’argent n’obtient rien, Anastasie est en conférence avec son mari, Delphine dort. Les longues plaintes du père désignent l’objet de son mal : « Ne pas les avoir, voilà l’agonie