La Mort dans les nuages

« Les deux prêtres […] chez Mme de Nucingen » Le convoi funèbre de Goriot Le père Goriot Balzac Dans les pages précédentes, le narrateur a raconté la mort du père. Il a insisté sur la solitude de cette agonie : au retour de la soirée chez madame de Beauséant, Eugène a trouvé Goriot mourant. Christophe envoyé auprès des filles pour un secours d’argent n’obtient rien, Anastasie est en conférence avec son mari, Delphine dort. Les longues plaintes du père désignent l’objet de son mal : « Ne pas

de la guerre et de ses horreurs. I L’ASPECT SOMBRE ET MORBIDE DU POEME Cet aspect est souligné par l’emploi de mots et d’expressions faisant référence à la mort. On peut ainsi lire au vers 2 l’euphémisme « Feuille morte » qui peut traduire l’arrivée de l automne, un cycle que s’achève, la fin de la vie, la mort d un homme. Au vers 6, «  Son ombre tombe dans le vide », « L ombre » qui est l’extinction d’une âme humaine qui devient ombre. Ce soldat meurt. Au vers 12, « Le

La mémoire de rené Magritte a été peinte en 1948. Ce tableau représente un ciel azur rempli de nuages au dessus d’une mer calme; au premier plan à droite, se trouve la tête d’une femme en plâtre (ou en marbre) les paupières fermées. La moitié de son visage se trouve dans l’ombre d’un rideau rouge sombre. Sur l’autre partie de son visage se trouve au niveau de la tempe une tache de sang et qui s’étend jusqu’à sa joue. Sur la partie gauche du tableau, un grelot et une feuille sont posés sur le même

mémoire" de R. Magritte. Biographie: René François Ghislain Magritte, né le 21 novembre 1898 à Lessines en Belgique, et mort à Bruxelles le 15 août 1967, est un peintre belge surréaliste. En 1910, ses parents s'installent à Châtelet où il suit un cours de peinture. De 1916 à 1918, Magritte fréquente l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles[ Intro: Un ciel d’azur empli de nuages couvre une mer bleue et calme. Une tête de femme en marbre, les yeux clos est posée, de face, à droite du tableau, sur

sont : la crucifixion, la descente de la croix, la mise au tombeau, et les lamentations. Les représentations du Christ mort font leur apparition au XIème en Flandre et au nord de l’Europe. Par conséquent le thème est exploité depuis longtemps et des artiste comme Dürer ou van Heemskerck cherche a renouvelé le genre. 1. Une iconographie innovante Le choix de représenté le Christ mort avec sa couronne d’épine et ses stigmates est très populaire auprès des artiste du XVIème siècle. L’homme de douleurs

                                                           La mort du loup: vigny Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions, sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par des loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant

ouvertes pour recevoir les paroles de Jésus. A gauche des chandeliers et sous les pieds et les plis des vêtements de Jean, Dürer a ajouté des traits de taille horizontale qui donnent une impression solide. Cette impression est en contraste avec les nuages qui remplis une grande partie de l’image et qui donnent un effet céleste et rêveur. Dans cette vision, Jean est chargé d’écrire tout ce qu’il a vu. Saint Jean devant le Seigneur et les anciens La troisième feuille représente les chapitres 4

Saint-Cyprien, dans le sud de la France. Il s’en est échappé et est retourné en Belgique. En 1944, il est dénoncé, arrêté et interné à Auschwitz où il est mort. Il laisse de nombreuses œuvres picturales qui témoignent de ses peurs (la dénonciation, l’emprisonnement, la mort) : Le réfugié (1939), Autoportrait dans le camp (1941), Le triomphe de la mort (1944). 2) Etude de l’œuvre en vue de l’épreuve de l’Histoire des arts a) Présentation de l’œuvre Tableau conservé à Osnabrück (ville natale de l’auteur)

d’une vie entière, on ne pouvait pas voir autant d’étoiles qu’en cet instant. D’emblée, un rideau de nuages cacha le firmament de diamants. Les yeux ouverts, elle contemplait le ciel maussade. Les nuages divulguaient dans l'océan de bleu nocturne. La brume environnante se donnait en spectacle en un délicieux ballet. Le ciel était chargé par tant d'âmes. Elle voulait être un de ses doux nuages. Ses oreilles bourdonnaient tant elles reflétaient le néant de son être. Elle n'entendait plus que quelques

paraitre aussi par une comparaison « Tout simplement des nuages, Qui crèvent comme des chiens ». Il compare les nuages à des hommes, qui ont « crevé » comme des animaux que l’on emmène à l’abattoir, que l’on tue, les uns après les autres. Il utilise aussi une métaphore « Ce n’est même plus l’orage », qu’il associe au vers « Tout simplement des nuages », ici l’orage traduit la guerre avec cette pluie ne voulant plus s’arrêté, mais comme juste des nuages, qu’il traduit ici comme simplement des hommes morts