La Mort De Tarrou

concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase. Le père Paneloux fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout esprit de charité. Tarrou, fils d'un procureur et étranger à la ville, tient dans ses carnets sa propre chronique de l’épidémie. Lui ne croit qu'en l’homme. Il fait preuve d'un courage ordinaire et se met à disposition de Rieux pour organiser le service sanitaire. Rambert

La Peste, La mort du fils du juge Othon Le XXème siècle est marqué par de nombreux événements historiques comme la seconde guerre mondiale. Camus, journaliste rédacteur en chef de Combat un journal regroupant des résistants est également un écrivain. Il relate dans ses œuvres des situations lui permettant de faire part de ses réflexions. En 1947, La Peste paraît. Dans La Peste, l’auteur nous expose le quotidien des habitants de la ville d’Oran pendant la peste. Dans l’extrait étudié, issu de la

séquence 5: La Peste, Albert Camus: CAMUS= Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi, près d'Annaba (anciennement Bône), en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne en France, est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et novelliste français. Il est aussi journaliste militant engagé dans la Résistance française et, proche des courants libertaires, dans les combats moraux de l'après-guerre. Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles

Rappelons tout d’abord, que le XXème siècle est considéré comme le siècle de la mort de Dieu, donc à la fois une époque où la question de la divinité a été de plus en plus remise en question mais aussi où elle a le plus été évoquée, principalement par rapport à l’horreur des combats que l’Europe a put traverser et qui a marqué les esprits. Albert Camus s’inscrit dans cette longue liste d’auteur agnostiques. Il est d’ailleurs profondément athée et cela se fait ressentir dans ses œuvres, cela ainsi

biographique, inachevé. Absence de culture dans la maison familiale (on ne connaît pas le sens du mot latin ; pas de journaux, pas de livres). On ne voit que la famille, pas d’entourage cultivé. Le silence de la famille (de la mère surtout). Père mort à la guerre. Mère femme de ménage. Amour immense pour cette mère, cela sera présent dans toute l’oeuvre de Camus. Présence de l’instituteur qui a aidé Camus, a repérer son intelligence et lui a ouvert les portes des études (ici, Monsieur Bernard ;

habitants. Il y a un malade intriguant qui est le concierge. Il délire a propos des rats. Le docteur Rieux s’en occupe mais il meurt dans l’ambulance pour aller à l’hôpital. Joseph Grand appel Rieux car son voisin M. Cottard a tenté de se pendre. Tarrou est chroniqueur, il décrit la ville avant, pendant et après la Peste. Il parle également des conversations qu’il perçoit. Le temps se gatte le ciel devient gris. Rieux fait le bilan avec ses collègues et compte une vingtaine de patient atteint de

Résumé partie par partie de la Peste ( Albert Camus) I) Première partie L’histoire se déroule à Oran un jour d’avril 194. Docteur Rieux voit un rat mort sur son palier. Monsieur Michel, le concierge de l’immeuble de Rieux, croit que ce sont des mauvais plaisants qui s'amusent à mettre des cadavres de rats dans son immeuble. A midi, Rieux conduit son épouse malade, pour se faire soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse déclare qu’environ six mille rats ont

Le mythe de Sisyphe où il essaie l’absurde. Début de sa notoriété. Camus est en FR, séparé de sa ♀ qui se trouve à Oran (Algérie) / 1944 → Caligula et Le Malentendu (pièces de théâtre) / 1947 → La Peste, immense succès / 1957 → prix Nobel / 1960 → mort ds accident de voiture / 34 ans + tard → publicat° posthume du Premier Homme, txt autobio commencé en 1958 et inachevé II/ Présentation du roman a) Résumé L’histoire se déroule ds 1940’. La ville d’Oran (Algérie) subit 1 épidémie de peste

un chef-d’œuvre littéraire. Tarrou, étranger à la ville, écrit sa propre chronique du fléau, et devient le collège , en quelque sorte, du docteur Rieux. Le père Paneloux voit dans l'épidémie tout ce qui suit, sauf une grâce qui permet aux hommes de faire des actes de charité. Dans la ville, avec l’arrivée de l’été les crimes se multiplient et les habitants s’habituent aux ravages de l’épidémies. A l’approche de l’automne, Rambert, rejoint le docteur Rieux et Tarrou dans leur lutter acharnée contre

de prières collectives à l’issue de laquelle le père Paneloux, un savant jésuite, prononça à la cathédrale un sermon où il fit du fléau un châtiment lancé par Dieu aux pécheurs. Ce sermon laissa désemparée la ville qui céda à un morne abattement. Tarrou, nouveau venu à Oran, y avait d’abord goûté nonchalamment les plaisirs des temps heureux tout en notant avec prédilection dans ses carnets les aspects provinciaux de la ville ou les comportements insignifiants de certains de ses habitants. L’irruption