La Morte Amoureuse Premier Chapitre

ses amis cachés, elle comprend donc qu’ils sont les bandits recherchés. Elle assiste à un meurtre, et de peur qu’elle dévoile la vérité, son mari l’enferme dans un cachot. Alfred de Nerval découvre par hasard Pauline enfermée, la croyant pourtant morte. Il la libère et s’enfuit avec elle en Angleterre. Plus tard, il apprend que sa sœur organise des fiançailles avec Horace. Il se rend aussitôt à Paris et défie Horace, qu’il tue en duel. Souffrante, Pauline décide de se rendre en Suisse et en Italie

relation amoureuse avec Séverine Roubaud, le femme d'un de ses collègues de travail. Au chapitre onze, les amants s'attendent à La Croix-de-Maufras, donnée à Séverine suivant la mort de Grandmorin, en pensant pouvoir tuer Roubaud, le mari de Séverine. Cependant, au lieu de Roubaud, Jacques tue Séverine. On peut dès lors se demander, en étudiant la scène suivant l'assassinat de Séverine, sur quelle mesure Jacques se montre comme un personnage tragique. Nous analyserons dans un premier temps, la

Fiche de lecture La Ballade de Lila K., de Blandine Le Callet I – Le Contexte inventé par l’auteur : • Lila K. vit dans une société des années 2100, divisée en deux régimes : intra muros et extra muros. Le premier régime intra muros prône la sécurité à son plus haut degré (caméras de surveillance omniprésentes). La ville est érigée entre des murs formant une enceinte de protection, d’où son nom intra muros. Futuriste, elle présente un mode de vie dicté par la haute technologie. Les habitants

INTRODUCTION Dans cet extrait tiré du chapitre 10 de la Bête Humaine, roman naturaliste écrit en 1890 par Emile Zola, le narrateur décrit « la mort » de la Lison, une locomotive. Cette dernière étant tant aimée par Jacques Lantier puisqu’il a pour elle des sentiments tel un homme envers une femme. Dans les lignes précédentes l’accident, Flore, amoureuse de Lantier qui l’a rejette pour Séverine, veut se venger de celle-ci se trouvant à bord de la Lison. Elle veut faire dérailler le train et y parviens

permettent de ne pas être si catégorique en prétendant que le roman est dans tout son contenu le reflet de la vie de l'écrivain. Raymond s'inspire de son expérience mais il sème le trouble et se défend d'avoir raconté la relation amoureuse qu'il a vécue dans sa jeunesse. Alice est morte en novembre 1952.Marthe meurt peu après la naissance de son fils. Il n'est pas établi que le fils d'Alice soit celui de Radiguet.Le fils de Marthe est celui du narrateur. Radiguet l'a annoncé le jour de sortie de son roman

forme fixe, très codifiée et contraignante : dans la tradition Rimes embrassées/alternances rimes féminines et masculines I La muse, allégorie d’une œuvre d’art A. Vénus Vénus par paronomase (proximité sonorité) « Vénus »/ « Vénale » Figure amoureuse, maitresse : 2 expansions du nom muse « de mon cœur » « amante des palais » Erotisme : allusion aux épaules « épaules marbrées » = allégorie de la beauté, représente l’amour, figure traditionnelle de Vénus Allusion au « palais » -> la femme est

son enfant à sa leçon de piano, un bruit venu de ville dérange la leçon, un meurtre vient de se produire dans un café, ce café va devenir un lieu central du roman. ( Le récit de ce meurtre et de son contexte se déroule sur 5 pages, les ¾ du premier chapitre ( Le récit de ce meurtre se mêle à celui de la leçon de piano puis il casse celle-ci car nous allons suivre Anne. Nous quittons la leçon pour allez dans le café. Lecture du texte + lecture de la question 4. Le plan : I- Ambiguïté

Celui-ci écrit Les Contemplations en 1856 alors qu’il était en exil. Ce recueil de poèmes se compose de deux tomes : Autrefois (1830-1843) et Aujourd’hui (1843-1856). Le poème que j’analyserai est le 21eme poème du premier livre du volume « Aurore ». Dans ce texte, il est question d’une rencontre entre le poète et une jeune inconnue dans un cadre bucolique. Mon projet consiste à montrer comment le poème rend il compte de cette rencontre en pleine nature 

Chapitre 1 et 2. Denise Baudu, héroïne principale du roman, jeune Normande de vingt ans originaire de Valognes, arrive à Paris avec ses frères Jean et Pépé, âgés de seize et cinq ans. Leur père, dont ils portent tous les trois le deuil (ils sont vêtus de noir dès leur arrivée à Paris au premier chapitre) qui tenait une teinturerie, est mort il y a un an environ de la même fièvre qui avait emporté leur mère quelques jours plus tôt. Son oncle avait écrit à Denise à cette époque qu’il pouvait y avoir

modernité. Tout d’abord, on peut remarquer que le roman commence avec la mise en valeur du Bonheur des Dames lors de l’arrivée de Denise à Paris qui occupera tout le premier chapitre, Zola a voulut montrer à travers Denise l’étonnement et la surprise de la nouveauté des grands magasins. En découvrant la suite du chapitre, l’auteur réussi à nous mettre dans la peau de Denise Baudu et à nous faire découvrir les étalages, les vitrines … Puis il faut remarquer l’immense variétés de vocabulaires