La Morte Amoureuse Romantisme

voire même des déguisements fétichistes. Que l’on songe à ces bals masqués surréaliste où le « costume de nécrophile » était considéré comme un must. Que l’on se souvienne que Pierre Molinier se vante dans un de ses livres d’avoir violé sa sœur morte, étant resté seul avec le cadavre. La photographie dans Nadja est-elle ainsi un procédé maïeutique ou démagogique ? La photographie revendiquée comme un biais contre la sacralisation littéraire n’est-elle pas un recours fétichiste ? L’image photographique

dot de Mme Dubuc et mort subite de cette dernière de façon fort grotesque, qui souligne l’indolence et le caractère franchement indifférent de Charles : il ne voit jamais les choses venir. « [Elle est morte] tandis que Charles avait le dos tourné pour ferme le rideau de la fenêtre » « Elle est morte ! Quel étonnement ! » (discours indirect libre) Chap. 3 -Visite du père Rouault venu apporter ses condoléances (à mettre en regard avec III, 10) Se lit déjà chez cet homme le tempérament fougueux et

mais aussi parce que ces passions sont lourdement chargées du souvenir âpre et tragique, de tous ceux qui, pendant des générations, ont habité les mêmes lieux et porté le pesant fardeau des souffrances des morts. 
C’est un grand livre parce que le romantisme y débouche dans des espaces d’une immensité sereine et s’y manifeste en de vastes formes primitives et grandioses, dédaigneuses de tout ornement frivole ». Personnages principaux M Lockwood M Heathcliff Joseph Hareton Earnshaw

pense être arrivé au bout du voyage et il trouve une ville en construction par une très belle jeune femme, Didon. Elle l’invite à un banquet et lui fait raconter son histoire. Elle se prend d’émotion, de pitié pour le héros et cela crée une passion amoureuse. Il va raconter toute la fin de l’Iliade, c’est à dire la fuite de Troie. Enée va fuir avec quelques compagnons son père, sa femme et son fils. A la sortie de la ville ils ont rendez-vous dans un temple, et la jeune femme va disparaître. L’Enée

vieux poète, amer, n'y verra plus - l'ingrat - qu'a un livre immoral et raisonneur sur l'amour». Le peintre Delacroix, féru de littérature, s'est d'abord enflammé à la lecture de « ces lignes brûlantes ,,; vieilli, il détestera Jean-Jacques et le romantisme, son « sérieux pédantesque et attendri », ce roman qui fut « l'école de l'amour malade ». À dix-huit ans, Michelet a lu La Nouvelle Héloïse« avec délire », mais l'historien du dix-huitième siècle et de la Révolution en vient à haïr une œuvre où

suite du vote de la loi réhabilitant la capitaine Dreyfus en 1906, les cendres de Zola ont été transférées au Panthéon. Œuvre Zola a débuté par le recueil des Contes à Ninon (1865) et dans ses commencements littéraires il a été influencé par le romantisme. Il a publié son premier chef-d’œuvre : Thérèse Raquin où il a mis en application les principes du naturalisme. Le prologue de ce roman était un vrai manifeste du naturalisme où Zola expliquait ses intentions. Depuis 1868 il a ouvert son plan

tant que génie incompris, en tant que visionnaire au regard tourné vers l'enfer. Les œuvres phares du poète et son style Son œuvre est fascinante car elle se situe au carrefour de toutes les influences du 19e siècle: héritier du romantisme, et du Parnasse, la poésie de Baudelaire annonce le symbolisme, en mettant en place la théorie des correspondances selon laquelle des liens mystérieux existent entre le monde visible et le monde invisible et entre tous les sens (synesthésie) Du

populaire au XVIIIe siècle, en France et en Angleterre Permet l’analyse en profondeur des motivations, des erreurs, des interprétations du cœur humain Surtout des femmes qui s’expriment dans ce genre. La femme se prête idéalement à l’analyse amoureuse et à l’aveu, mais aussi parce que ce moyen lui permet de faire entendre sa voix et ses exigences dans une société appelée à évoluer. ex:. Samuel Richardson, Pamela, or Virtue Rewarded (1740) Deux genres: - monophonique ou monodique: Une

se situe dans cette partie de “Spleen et idéal” qui est dominée par le thème de la femme sensuelle, Baudelaire traita un sujet familier à la poésie du XVIe siècle, qui rappelle Ronsard, mais avec le dessein d’être plus brutal, de pousser jusqu’au romantisme le plus macabre. L’évocation est sinistre, et terrible est le souhait que la femme infidèle soit condamnée au remords éternel. Le poème est adressé à Jeanne Duval, «la Vénus noire», que le poète traite durement de «courtisane», mot qui était alors

malheurs trop bas, des drames trop mal embouchés, des catastrophes d'une terreur trop peu noble. Il nous est venu la curiosité de savoir si cette forme conventionnelle d'une littérature oubliée et d'une société disparue, la Tragédie, était définitivement morte; si, dans un pays sans caste et sans aristocratie légale, les misères des petits et des pauvres parleraient à l'intérêt, l'émotion, à la pitié, aussi haut que les misères des grands et des riches; si, en un mot, les larmes qu'on pleure en bas pourraient