La Multinationalisation Des Firmes Et L Emploi

les secteurs où ils possédaient des avantages comparatifs par des politiques d’Industrialisation par Substitution d’Importation. Une fois compétitifs, ces pays ont pratiqué des stratégies de "remontée de filière", profitant des investissements des firmes multinationales. On a pu alors parler de "miracle asiatique" pour qualifier les taux de croissance observés. Il faut toutefois nuancer cet optimisme, ces économies 5 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL 11/12/2013 restant très dépendantes

configuration, les firmes multinationales deviennent les principaux acteurs de la mondialisation. (Une firme multinationale est une firme possédant ou contrôlant des entreprises implantées dans plusieurs pays et en mesure d’élaborer une stratégie qui s’appuie sur les différences socio-économiques de ces pays.) L’impératif de la compétitivité (capacité à faire face à la concurrence) est au cœur de la logique économique de la configuration multinationale, parce que la concurrence entre les firmes s’intensifie

|3. Travail et emploi. | |3. Travail et emploi. |-Dans la perspective keynésienne, le plein emploi dépend de l’évolution de la demande effective (anticipée par | |-Pour les classiques, l’offre globale et la demande

manières de juger et d’évaluer, les mêmes modes de consommation. On est en présence de la pensée unique, le libéralisme n’a plus d’adversaire. • Les effets socio-culturels Les principaux facteurs de la multinationalisation et ses effets : Le commerce international est réalisé principalement par les firmes. Celles-ci peuvent s’implanter à l’étranger afin de mieux contrôler leurs marchés extérieurs et/ou leurs sources d’approvisionnement. Ainsi, elles peuvent établir des succursales de vente, mais aussi

indexés sur les gains de productivités (mode de régulation monopoliste privée). Les entreprises augmentent régulièrement leur niveau de production ce qui se traduit par une croissance de la demande de travail, processus menant à une situation de plein emploi des facteurs de production. 1) L’ère de l’entreprise « ronde » L’entreprise grandit que ce soit en terme de production, d’effectifs ou encore d’établissements et/ou de filiales. Cette augmentation résulte également du processus d’internalisation

dans l’Hexagone. En effet, près de 16 % des effectifs du secteur marchand sont aujourd’hui employés en France par des sociétés étrangères. Les investissements étrangers réalisés en France ont comme principale origine l’Europe occidentale (65 % des emplois). Pays par pays, les États-Unis demeurent le premier investisseur en France, devant l’Allemagne, la Grande-Bretagne et la Suède. Les États-Unis sont restés en 2007 la première destination des IDE, avec 193 milliards de dollars, soit une progression

l’internationalisation (p.13) a. 1ère Etape : le développement des exportations (p.13) b. 2ème Etape : la mise en place d’un réseau de distribution à l’étranger (p.14) c. 3ème Etape : la multinationalisation (p.15) 2. Le problème du choix (p.16) a. Quel pays choisir ? (p.16) b. Quel produit choisir ? (p.17) III. Facteurs avantageux de l’internationalisation et ses inconvénients pour les

où c'est le moins cher et vendre là où il y a du pouvoir d'achat. Dans le cas du Japon, de la Corée et de Taiwan, cette stratégie a permis une hausse particulièrement rapide du niveau de vie de la population. La délocalisation a d’abord touché les firmes multinationales qui, dans un objectif de grosse production, ont délocalisées pour réduire les coûts et s’approcher de certains marchés étrangers prometteurs. Puis la délocalisation s’est démocratisée. Au début des années 60, celles-ci se sont développées

le leur, soit par un investissement ex-nihilo c'est-à-dire qu’ils créent une entreprise totalement nouvelle, soit par une prise de participation c'est-à-dire qu’ils deviennent en partie propriétaires de l’entreprise. Les IDE sont le moyen pour les firmes d'internationaliser leur processus de production. C'est donc par les IDE que se réalise la « mondialisation productive ». La décision d'investir à  l'étranger est généralement motivée par la recherche d'une fiscalité avantageuse, la qualité des infrastructures

des goûts des consommateurs Section 2 : critique du modèle néoclassique de spécialisation Hypothèses irréalistes :  Les pays n’ont pas la même qualité de sol  Le travail d’un homme n’est pas toujours équivaut au travail d’un autre  Multinationalisation des firmes et internationalisation de la production et des capitaux  Existence de mouvements migratoire de main d’œuvre  Les pays de la CPP sont trop idylliques (homogénéité)  Le modèle HOS ne tient pas compte d’une évolution historique de longue