La Narrateur Participant

en 1880, lors de la publication de Boule de Suif. En effet Flaubert, qui mourra la même année, dit alors de cette nouvelle que c’est « un chef d’œuvre qui restera ». La reconnaissance du publicEn 1880, Maupassant accède enfin à la célébrité en participant à l’œuvre collective des Soirées de Médan, considérée comme le manifeste de l’école naturaliste. Il y publie la nouvelle Boule de Suif qui est un tel succès qu’elle lui ouvre les portes du métier de journaliste. Il signe alors de nombreux articles

huron il faut chercher loin. - « Les uns aux autres » : logique imparable du huron. Divergences et contradictions (à la fin du texte) Embarras général, ce qui prouve que ce n’est pas très sérieux (religion) III. Les interventions du narrateur = Quelle est la position de Voltaire ? Sous le texte = une intention 1/Un observateur extérieur Point de vue externe, car il relate les faits. Avec une naïveté apparente (l.23-33) La scène est relaté tel quel, avec un passage au présent

de l'Institution ecclésiastique d'Yvetot, selon le souhait de sa mère. C’est en ces lieux qu’il commence à versifier. Il finira par se faire renvoyer. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. À cette époque, il côtoie Louis Bouilhet et surtout Gustave Flaubert, dont il devient le disciple. En 1868 en vacances à Étretat, il sauve de la noyade le poète anglais décadent Charles Algernon Swinburne qui l'invite

et à plus d’onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons. » (l. 23-24) ➢ La Bruyère rompt ici avec l’ethos qui était le sien dans le reste des Caractères, à savoir celui de l’habitué de la cour. Ici, au contraire, il apparaît comme le narrateur incertain d’un récit de voyage : la cour est transposée dans un « ailleurs », comme le souligne l’emploi de l’article indéfini « une région », associé au pronom impersonnel « on » qui demeure vague. Le verbe « parler » introduit l’idée de la rumeur

qu’on appelle la situation d’énonciation. 3. La situation d’énonciation Tout acte d’énonciation s’accomplit dans une situation particulière, appelée situation d’énonciation. Cette situation est caractérisée par les éléments suivants : - les participants : Qui parle ? (l’énonciateur) À qui on parle ? (l’énonciataire) ? - le lieu et le moment de l’énonciation : Où se passe l’action ? Quand ? - l’attitude que l’énonciateur adopte par rapport au contenu de l’énoncé : Comment ? Les marques d’énonciation

écrite'' puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de «savoir tiré des livres», avant d'atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d'aujourd'hui: ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique ou activité participant à leur élaboration. La littérature a donc, depuis des siècles, connue plusieurs rôles différents. Nous allons nous intéresser plus particulièrement a l'arrivé du langage parlé comme mode de narration. Il est bien entendu impossible de parlé d'oralité

l’existence d’un travail de réécriture interne dont l’étude permet de pénétrer au cœur de son processus créatif auctorial. La récurrence de motifs, et plus particulièrement le retour de personnages, met en exergue deux pratiques intratextuelles participant à l’unité de son œuvre. En effet, alors que l’écriture-gigogne souligne le fait que chaque texte porte en lui un texte possible se posant comme la source d’inspiration d’œuvres ultérieures, l’écriture palimpseste renforce la cohérence des univers

opposition à celui qui la fait ». L’auditoire ne fait qu’absorber les paroles des personnages, il ne fait aucunement face à un échange entre l’acteur et lui même. Bien que parfois il se met à rire, Aussi, dans la prologue d’Antigone de Anouilh, le narrateur décrit et aide le spectateur à comprendre ce qu’il se passe dans la scène et va arriver dans la pièce : « Un décor neutre », « Ces personnages vont jouer l’histoire d’Antigone ». !! (Théâtre dans le théâtre ?) → La mise en abyme est un procédé

peinture qui transporte part tout ce qui vont mêler la description et sensation comme si la représentation du monde réel était indissociable de perception et de sensation. Quand le pensionner de la Maison Tellier reprendre le chemin de la gare, le narrateur dit « Une lumière folle emplissait les champs, une lumière miroitant aux yeux ; et les roues soulevaient deux sillons de poussière qui voltigeaient longtemps derrière la voiture sur la grand’route » (Page 55/50). La mimesis de l’œuvre était complet

une chose superbe ". Le verbe, neutre, prend un sens grandiose avec l'adjectif "superbe". La brièveté de la phrase et l'indétermination de " chose " laissent attendre les détails de cette vision. L'indéfini " on " renvoie à tous les participants : spectateurs, narrateur et juge, " l'œil à la mire ". Le couple du jockey et de son cheval aux " yeux sanglants " est sous le regard attentif de la foule qui elle-même deviendra spectacle de délire dans la seconde partie du texte. A la profusion des éléments