La Nationalisation Et La Privatisation

niveau de la banque de France par la nationalisation et l'utilisation de celle-ci comme rouage de la politique économique et monétaire des pouvoirs publics. B-Les systèmes monétaires et financiers français en voir de délibération de l'emprise des pouvoirs publiques. A partir des années 80, on assiste à un mouvement d'internationalisation et de libéralisation des économies en faveur de la doctrine monétariste. Dès 1986, il y a en France une vague de privatisation des banques à la fin de la planification

évidence la nécessité de la réorganiser et d'instaurer de nouvelles règles pour l'ensemble de l'industrie pétrolière et pétrochimique. Cependant, cette réorganisation n'a pas dépassé jusqu’ici certaines limites, c'est-à-dire n'a abouti ni à la privatisation pure et simple, dans le sens limité du terme (vente des actifs publics), ni à l'entrée en force des capitaux internationaux, ni à la garantie de l’approvisionnement énergétique du puissant voisin du nord dans le cadre de l’ALENA. Les ruptures avec

existe différentes catégories de politiques sectorielles Politiques sectorielles Directes Indirectes L’État se substitue au secteur privé L’État oriente la production du secteur privé 102 Politiques sectorielles directes Nationalisations (ou privatisations) L’État se substitue au secteur privé en créant des entreprises publiques ou en nationalisant des entreprises privées Elles ne sont pas soumises à une exigence de rentabilité immédiate Elles peuvent répondre à des objectifs extra-économiques

en France, passent par l’Etat. Elle est prélevée par l’Etat sous forme d’impôts et, es ensuite redistribuée. Avec l’arrivée du gouvernement socialiste, avec l’arrivée de Mitterrand au pouvoir en 1981, il y a eu en France une grande vague de nationalisation mais on s’est vite rendu compte qu’il fallait donner plus de poids au rôle de l’Etat. Dans la théorie keynésienne, plus il y a d’entreprises nationalisées, plus on peut facilement maitriser cette activité et agir sur la conjoncture de l’activité

Etats Généraux de l’industrie… signent-ils le retour des politiques structurelles ? I) Qu’est-ce qu’une politique structurelle A – Nationalisations et privatisations La nationalisation est le transfert de propriété du capital d’une entreprise privée à l’Etat dans le but d’en modifier la logique de fonctionnement. La privatisation est l’opération de transfert du capital d’une entreprise publique à des actionnaires privés. B – Les politiques industrielles Les politiques industrielles

entreprises publiques Entreprise dont le capital est détenu au moins pour moitié par l’Etat. Elles exercent une activité marchande, sous contrôle public. Nationalisations. Après guerre (mines, edfgdf, banques dont banque de France,Air France) et 1982, nationalisations d’entreprises industrielles, banques et institutions financières. Privatisations. 1986 Chirac (St Gobain…) 13 milliards d’euros, 1993 Balladur 26 milliards d’euros, 1997 Jospin. L’Etat redistributeur Assure la redistribution des

un poids du rôle de l’Etat dans l’éco. Entre les GM et crise de 1929, Etat civil doit lutter contre récession. Après 2 GM, rôle de l’Etat est important pour reconstruire le pays. Réel Etat providence (plan Marshall en 1949) Grande vague de nationalisation : -1946 : Banque de France -1948 : secteur des transports. La part des dépenses publique du PIB a explosé. France en 1890 : 14,3% et en 2000 : 51,4% donc, grande augmentation. Cela est dû à la déformation de la structure de ces dépenses.

dépréciait. http://www.ina.fr/video/I05178427 • Les réformes de structure et l'aide américaine   De 1944 à 1946, les nationalisations ont concerné les secteurs clés de l'économie : le crédit (Banque de France et principales banques de dépôt ), l'énergie ( charbon, gaz et électricité ), le transport aérien (Air France ), et l'automobile avec la nationalisation de Renault. Une planification indicative et prévisionnelle de l'économie a été inaugurée avec le plan Monnet ( 1947-1952 ) qui

| |l’investissement ; |- Les déficits publics se creusent : 3,2 % du PIB en 1983 ; | | |majoritaires à l’Assemblée nationale. Le gouvernement veut | |- nationalisation d’industries et de banques pour relancer l’investissement ; |- L’inflation est forte (13 % en 1981 puis 9,7 % en 1983 contre 3| | |« changer la vie ». Pierre Mauroy est nommé 1er ministre. | |- dévaluation du franc (octobre

pour produire des biens et des services destinés à être vendu sur un marché Nationalisation : décision politique qui conduit à l’appropriation par l’état d’une ou de plusieurs entreprises. La nationalisation peut être opérée par : - confiscation du capital (cas de Renault sanctionné à la Libération pour fait de collaboration) - rachat par l’état des titres possédés par les actionnaires Privatisation : opération qui consiste à revendre à des actionnaires privés des entreprises