La Nature A Fait Les Homme Si égaux

affaire de la vie de Diderot, 17 volumes d’articles et 11 volumes de planches (dessins). La publication a été sujette à la censure religieuse car elle prétendait lutter contre toutes les formes de superstition. Elle se présente comme la somme des savoir de l’époque disponible pour toute honnête homme. Elle promeut l’humanisme, l’exercice de la raison, la foi dans le progrès et dans le bien fait de la connaissance. Dans l’article autorité politique, Diderot remet en cause l’autorité royale de droit

étudier, 1 à 5,Olympe de Gouges met en place les principes fondamentaux de la DDFC comme de la DDHC : égalité et liberté de la femme avec l’homme. Les articles suivants (6 à 10) portent un regard plus critique sur la réalité des choses et réclament l’égalité pour les femmes face à la Loi avec les hommes en passant en revue des situations injustes. Trois mouvements : - A.6: Injustice de réserver des emplois aux hommes. - A.7-9: Injustice de l’application de la loi entre l’homme et la femme. - A.10: Injustice

droit ? 1) les normes juridiques le droit c’est un ensemble de règles et de proncipes juridiques = règles juridiques , on peut les appeler règles de droits mais souvent on parle de norme juridique mais il y a d’autre règles qui ne sont pas des règles juridique ex: morale ou religieuse , il y a donc des norme juridique , des norme morale et des norme religieuse 2) la hiérarchie des normes les normes ce sont des commandement mais tout les commandement mais tout les commandement ne sont pas des norme

Social : « Je veux chercher si, dans l’ordre civil, il peut y avoir quelque règle d’administration légitime et sûre (...) ». Rousseau se demande donc à quelles conditions le pouvoir politique pourra être légitime, c’est-à-dire quel est le type de société dans lequel l’homme ne sera pas aliéné. Il prendra cependant constamment « l’intérêt » en compte voulant dire par là qu’il voudra décrire un pouvoir politique légitime et qui, en outre, correspondra aux intérêts de tout homme. Chapitre I (« Sujet de

A.Montesquieu (1689-1755) Le baron Charles de Montesquieu est un grand seigneur (noblesse de Rome). Il a exercé plusieurs fonctions prestigieuse : magistrat, conseiller du roi, membre de l’académie française, etc. Il a fait beaucoup de voyages. Il a constaté de grandes disparités de conditions sociales/de vie entre les populations pauvres et les puissantes (riche) Dans Lettres persanes (1721), il dénonce deux choses : l’absolutisme de droit divin et le fanatisme religieux. Elle s’inscrit dans la

d'atteindre la certitude, la vérité. -les informations données par les sens ne sont pas toujours conformes a la réalité. -l'hypothèse du trompeur. Peut-être il y a un dieu qui nous trompe a chaque fois qu'on est certain d'une chose. -l'hypothèse du rêve. La remise en question du réel de Bertrand Russel -la remise en question de notre contact avec le réel est bien plausible. -Si plusieurs personnes regardent la table au même moment, il n'y en aura pas deux qui verront exactement la

PhilosophieETIENNE DE LA BOÉTIE Né en 1530 en Dordogne, Etienne de la Boétie reçoit une éducation humaniste avant de faire des études de droit à l'université d'Orléans. A l'âge de 24 ans, il devient conseiller au Parlement de Bordeaux où il rencontre Michel de Montaigne dont il devient le grand ami. Etienne de la Boétie meurt prématurément en 1563, à 33 ans. Montaigne se charge alors de la publication de ses œuvres (traductions,

pour faire croire qu’ils ont vécu. " Rousseau etat de nature : tous les humains sont egaux...au meme niveaux, n'ont de droit sur aucun que sur eux-memes, et donc sont libres contrat social: a eu lieu systematiquement pour enlever cet etat de nature, et donc laisser lhomme sous la gouverne d'un autre. "Tout est bien sortant des main de la Nature, tout dégénère dans les mains de l'homme." "L'état de réflexion est un état contre nature, et l'homme qui médite est un animal dépravé." (Discours

Manuel, § 1,2,3 Le Manuel : non écrit par Epictète mais résultat des notes prises par Arrien. Pensée stoïcienneAtteindre le bonheur par une ascèse fondée sur la connaissance. Etre philosophe, c’est méditer pour nous transformer et nous aider à réaliser le bien. Quant au destin, il ne pose pas le problème de la liberté (pour les anciens, la liberté est d’abord un statut socio-politique). Pour les stoïciens, seul le sage est libre car il n’est pas prisonnier du désir, de la peur. Les autres

Quatrième partie : de l’influence qu’exercent les idées et les sentiments démocratiques sur la société politique Je remplirais mal l’objet de ce livre si, après avoir montré les idées et les sentiments que l’égalité suggère, je ne faisais voir, en terminant, quelle est l’influence générale que ces mêmes sentiments et ces mêmes idées peuvent exercer sur le gouvernement des sociétés humaines. Pour y réussir, je serai obligé de revenir souvent sur mes pas. Mais j’espère que le lecteur ne refusera