La Nature Camus Peste

personnages, visions de l'homme et du monde. Textes :  Texte A : Victor Hugo, , Le Dernier jour d'un condamné, 1829. Texte B : Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839. Texte C : Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, 1845. Texte D : Albert Camus, L'Etranger, 1942.  Texte A : Victor Hugo, , Le Dernier jour d'un condamné, 1829. [Il s'agit de l'incipit du roman.]    Bicêtre1.    Condamné à mort !   Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours

et ceux des autres (L’Étranger de Camus), voire de connaître notre identité, d’explorer les tourments de l’amour (Le Rouge et le Noir de Stendhal, Madame Bovary de Flaubert) comme les rapports familiaux (Le Père Goriot de Balzac). Le personnage permet de comprendre ceux qui sont différents de nous : les autres milieux (la mine dans Germinal de Zola), les autres pays (Le Désert de Clezio). Le personnage offre une réflexion philosophique sur la vie (La Peste de Camus). Zola affirme ainsi : « toute l’opération

romantisme : à la fin du XVIII ème, l’émergence d’une conception nouvelle de la nature fait écho à la recherche du bonheur : prédominance est donnée à la sensibilité mais celle-ci ne se limite pas à l’épanchement du sentiment ; elle exprime aussi une relation nouvelle de l’homme au monde, qui s’enracine dans la philosophie sensualiste. Le thème du jardin exprime cette approche nouvelle : il manifeste le lien entre l’âme sensible, la nature, et la sagesse. Rousseau, avec La Nouvelle Héloïse (roman épistolaire)

Troisième rencontre de Germain et Margueritte. Germain et Margueritte comptent leurs oiseaux. Margueritte fait découvrir à Germain « La Peste » d´A. Camus. Margueritte lit « La Peste » à Germain. A la lecture de « La Peste », Germain se souvient du suicide du père d’un voisin. Margueritte offre le livre de Camus « La Peste » à Germain. Germain cite « La Peste » dans une conversation au bistrot « Chez Francine ». La mère de Germain. La caravane et le potager. Rencontre de la mère de Germain

roman par l’affirmation que le roman est consacré à « l’homme individuel saisi dans sa difficulté d’habiter le monde. » Mais dire que le roman représente l’homme aux prises avec les difficultés de la condition humaine suffit-il à rendre compte de la nature de ce genre littéraire ? Sans doute, même dans ses créations les moins recherchées, offre-il une telle peinture, mais n’est-il pas, d’abord, une oeuvre d’art ? 1. Le roman représente l’homme individuel saisi dans sa difficulté d’habiter le monde

dénonciation des injustices (cf. les philosophes des Lumières). Les valeurs humanitaires : la liberté, la lutte contre le racisme, la défense de la négritude (cf. Césaire, Senghor, Glissant) ; des émigrés (cf. Tahar Ben Jelloun); pour l'humanité (cf. Camus) ... Le féminisme (cf. George Sand, f Tristan, L. Michel et l'écriture féminine des années 1970). Les problèmes politiques et économiques : libéralisme, socialisme, marxisme, communisme, démocratie... (cf. Sarte, Aragon). XVIIIe Montesquieu

vaudrait à la rigueur parler de produit de cette société que de reflet, terme impropre dans ce cas. 3. Des personnages sans société ? Dans certains romans, il n’y a pas de société ; le personnage ne peut donc la refléter. Exemples : La Chute, de Camus (long mono-dialogue, mais pas de société en arrière-fond) ; Le Solitaire de Ionesco, « Je » est un être purement « extra-social ». 4. Les « dangers » des personnages reflets de la société Le principe selon lequel le personnage doit être significatif

l’auteur porte sur le paysage est à l’image de celui qu’il porte pour la femme aimée. Le personnage montre son amour pour la nature, ce qui reflète son amour pour Laure de Berny. D’ailleurs, le vocabulaire employé pour décrire le paysage est le même que celui employé pour décrire un être aimé. Le champ lexical de la sensualité est très présent. La description de la nature permet de dévoiler le paysage psychique du personnage. Comme on vient de le voir, la description n’est pas gratuite dans le roman

inconstance ; Beaumarchais,Le Mariage de Figaro ; Laclos,Les Liaisons dangeureuses… * XIXème siècle : * Le romantisme(les trois premiers quarts du siècle) : exprime le moi solitaire et souffrant, exalte les passions, se projette dans le miroir de la Nature et cherche l’infini et le divin… Ex : Chateaubriand,Mémoires d’outre-tombe ; Hugo,Hermani ; Musset,Lorenzaccio ; Nerval,Les Filles du feu ; Vigny,Les Destinées… * Le réalisme(1830 – 1860) : reproduit sans la modifier la réalité quotidienne

“L’Étranger” Albert Camus I. Présentation du livre L’auteur de « L’Étranger » est Albert Camus. Il écrit cette œuvre en 1942 et elle fait partie de la collection « folio plus classiques ». C’est un roman écrit en première personne, en particulier l’écrivain utilise le passé composé dans la narration, tandis que pour les dialogues est utilisé un présent de l’indicatif. Le titre « L’Étranger » fait penser à une personne provenante d’un pays différent, dont on parle dans le livre. Après la lecture