La Nature Camus Peste

ont acquis une dimension littéraire indéniable, comme les Lettres de Mme de Sévigné, les Mémoires du cardinal de Retz ou celles de Saint-Simon, dans lesquels les portraits de personnes célèbres s’accompagnent souvent de réflexions plus larges sur la nature humaine. L’écrivain prend donc le risque, à trop s’approcher du reportage, de ne pas gagner sa place dans l’histoire littéraire. L’engagement politique, de même, éloigne quelquefois l’écrivain du but véritable de son œuvre et le voue alors à un oubli

*Arturo Perez Reverte une des aventures du Capitaine Alatriste PRESSE Lire la version on line du quotidien El Pais A l’entrée en 1ère : LETTRES : Prévost, Manon Lescaut Voltaire, L’ingénu Beaumarchais, Le mariage de Figaro Hugo, Ruy Blas Camus, La peste MATHEMATIQUES : Le mètre du monde, de Denis Guedj Les cheveux de Bérénice, de Denis Guedj En cherchant Majorana, d'Etienne Klein HISTOIRE GEOGRAPHIE : - « Les croix de bois » :R. Dorgelès - « A l’ouest, rien de nouveau » : Erich Maria

Il n'y eut jamais d'entreprise plus charitable que de soigner les souffrants. Les autres sciences sont nées de la « volonté  de savoir » ; la médecine sort tout droit de la volonté de servir : pitié envers les hommes, presque aussi vieille qu'eux. Le souci des autres lui compose une nature double, où l'élan de compassion se combine à l'étude objective du corps.  Quoique n'offrant entre eux nulle ressemblance, les deux éléments sont nécessairement mêlés. Sans l'habileté technique,  pas de bienfait concevable, la pitié ne suffisant pas à guérir

personnes. […] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle […] » Le duc de Nemours qui tombera amoureux d'elle, n'a d'ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d'œuvre de la nature ; ce qu'il avait de moins admirable, c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l'on

Le locuteur (souvent l'auteur mais pas toujours comme dans Cyrano de Bergerac) dévoile ses émotions intimes et personnelles sur des thèmes généraux de l'humaine condition comme l'amour, la nostalgie, la solitude, la fuite du temps, le rapport à la nature ou la mort. Tirant son nom de la lyre d’Orphée, héros et poète de la mythologie grecque, le registre lyrique correspond à l'expression des sentiments qu'ils soient heureux (joie, bonheur {text:soft-page-break} d'aimer, enthousiasme, exaltation de

Il n'y eut jamais d'entreprise plus charitable que de soigner les souffrants. Les autres sciences sont nées de la « volonté de savoir » ; la médecine sort tout droit de la volonté de servir : pitié envers les hommes, presque aussi vieille qu'eux. Le souci des autres lui compose une nature double, où l'élan de compassion se combine à l'étude objective du corps. Quoique n'offrant entre eux nulle ressemblance, les deux éléments sont nécessairement mêlés. Sans l'habileté technique, pas de bienfait concevable, la pitié ne suffisant pas à guérir

personnes. […] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle […] » Le duc de Nemours qui tombera amoureux d'elle, n'a d'ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d'œuvre de la nature ; ce qu'il avait de moins admirable, c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l'on

temps, lieu, action) * Exprime les passions du moi et texte fondé sur le lyrisme (expression de sa propre souffrance) * Réaliser le mélange des genres et des registres Les thèmes : * L’expérience de la solitude * La communion avec la nature * Les souffrances du peuple * Le lyrisme * La passion Auteurs : * Chateaubriand * René * Madame de Staël * De l’Allemagne * Benjamin Constant (Suisse) * Adolphe * Victor Hugo * Notre-Dame

personnes. […] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle […] » Le duc de Nemours qui tombera amoureux d'elle, n'a d'ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d'œuvre de la nature ; ce qu'il avait de moins admirable, c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l'on

« Moi », c’est un être révolté avec une sensibilité à fleur de peau et donc qui évoque ses sentiments. Chateaubriand-> de nombreuses œuvres autobiographiques. Musset-> romans autobiographiques. Mélancolie, désenchantement. Le héros préfère donc la nature à la société, elle emmène à la réflexion et de plus ce désenchantement conduit à un besoin d’évasion goût pour l’Orient et de plus un guide pour les autres hommes. Genres dominants: Poésie lyrique(=évoque leur sentiments mais la poésie devient alors