La Nature Chez Les Romantiques

l’expression de la société ». Les principes du mouvement : Se libérer des règles classiques : l’écrivain romantique réclame la liberté de création. Il abandonne au théâtre la règle des trois unités. Il se concentre dans le roman sur le développement des états d’âme d’un héros inquiet, déchiré devant le monde moderne. Affirmer l’expression de l’émotion et du lyrisme : l’écrivain romantique exprime avant tout les passions du moi. Il revendique ainsi une parole authentique fondée sur le lyrisme.

L'amour L'amour romantique ne se réduit pas au cliché habituel. Il existe incontestablement une idéalisation de l'amour : « La réduction de l'univers à un seul être, la dilatation d'un seul être jusqu'à Dieu, voilà l'amour » (Hugo, Les Misérables). Cet amour passionnel s'oppose au mariage qui n'est qu'un arrangement froid et réfléchi excluant d'emblée l'exaltation des sentiments. Néanmoins, l'amour romantique est loin d'être idyllique : la violence de la passion

insiste sur l’expression des sentiments, et sur la recherche de l’harmonie entre l’homme et la nature (Confessions, Julie ou la nouvelle Héloïse) ; les personnages sont pris de mélancolie. Mme de Staël, elle, introduit le romantisme allemand en France, en prônant elle aussi une plus forte expression des sentiments et des sensations. Enfin, Châteaubriand crée le premier personnage de la littérature romantique française : René, héros angoissé sujet au désespoir et aux passions. C’est Victor Hugo qui

marqué d’un esprit fumeux, germanique s’opposant à la clarté de l’esprit français. Référons nous par exemple au pamphlet L’antiromantique en 1815, présentant le romantique comme une philosophie du flou, du vague... Ainsi s’est élaboré le concept de Romantisme, né d’une polémique critique. Une polémique critiqueCeux qui s’appellent romantiques se veulent en effet anticlassiques. Or le mot classique est lui-même ambigu : est « classique » ce qui s’enseigne « dans les classes », c’est le programme enseigné

de l’argent qui est toujours lié à la mort. B. Savoir  Pouvoir: - Au début, JT est le baas. Il sait tout et se souviens de tout. - Il perd ensuite son pouvoir quand les autres apprenent des hoses sur lui. - A la fin, il remet tout en ordre chez lui. Là il est toujours le maitre. - Tout les conflits dns l’histoires sont basés sur des renseignements. C. Silence (regard)  Parole: Thèmes importants dans tout le roman. JT comprend sa femme et sa belle soeur par le regard et leur parle

Victor Hugo (1802-1885) Hugo est un auteur romantique majeur. C’est une personne mélancolique, désabusée par la vie et la politique ce qui ne l’empêche pas d’être un homme révolté et un ferveur défenseur de la République, en dénonçant les injustices sociales et en critiquant ce qui s’oppose à la République. Il cherche aussi à renouveler les formes littéraires, au théâtre se crée donc le drame romantique. En 1827 Victor Hugo à d’ailleurs mené un combat majeur dans l’histoire de la littérature

rejoindre le ciel, « partir loin » pour dire qu’il veut en finir avec la vie. Il est donc au moment de faire un bilan de sa vie, il prend une distance par rapport a lui-même : « il » pour parler de lui. II) Un nouveau personnage : le personnage romantique. En proie à un nouveau sentiment : la mélancolie. Tout d’abord, il vit dans le passé, regrets, remords : utilisation du conditionnel passé : « tantôt, j’aurai voulu ». Il nous montre par l’utilisation de ce temps qu’il aurait voulu être différent

Voyons en quoi ce tableau est romantique. Intéressons nous d’abord au personnage qui contemple la nature, cela nous montre la petitesse de l’homme face à la mère nature, et que les hommes ne sont rien par rapport à elle. Maintenant regardons ce qui justifie le romantisme dans le côté technique du tableau ; on sait que l’on veut dramatiser par la clarté des dessins et des couleurs, ceci est tout a fait respecté chez Friedrich qui fait un dessin tout a fait clair et avec des couleurs qui sont perçante

mal du siècle qui animait les poètes romantiques du 19e. Baudelaire avec son poème Spleen arrive à trouver les mots qui traduisent le mal du siècle. Ce sentiment, comme la plupart des sentiments, est complexe et difficile à expliquer. Pourtant Baudelaire réussit à mettre des mots sur ses émotions. On découvre alors ce sentiment d’oppression, de désespoir, de solitude que ressentaient les poètes du 19e. Ainsi le lecteur peut mieux comprendre les poètes romantiques mais il peut également s’approprier

paysages rappellent les lieux romantiques, les thèmes romantiques. Nous avons un champ lexical de la couleur dans le poème d'A. Rimbaud «Les Ponts», «gris» lg 1 , «veste rouge» lg 7. Les auteurs se préoccupent ici d'un travail particulièrement soigné sur le langage ce qui est propre à justifier le statut de poèmes de ces textes. Tous, enfin, adoptent une progression comparable. Une rêverie du poète ( onirique chez A. Bertrand, hallucinatoire et visionnaire chez A. Rimbaud et à la croisée de