La Nef Des Sorcières

complètement déserte. Les derniers rayons du jour envoyaient à peine, à travers les vitres, de sombres et incertaines lueurs. La lampe perpétuelle laissait battre sa lueur toujours mourante au-devant du maître-autel. Pas un bruit n'indiquait dans la nef la présence d'un être humain. Le patron était pourtant bien sûr d'avoir vu entrer la jeune fille, et si la jeune fille était entrée, ce devait être sur les traces de celui qu'elle suivait. Le patron avait déjà parcouru l'un des bas-côtés, visitant de

diabolique. Pas question d’un coup tordu. Il fallait s’y résigner. Un imperceptible friselis courut parmi les saints titulaires des différentes chapelles latérales. Sur qui cela tomberait-il ? D’un air indifférent, le fatal personnage parcourut la nef centrale à pas lents, comme un chasseur dans le bois, le fusil au creux du bras, prêt à tirer. Il s’agenouilla si rapidement et d’une façon si inopinée devant la troisième chapelle, à droite, que saint Jérôme qui la présidait fut pris par surprise

plantées là, et les réflecteurs, qui jetaient toute la lumière sur le puits, éclairaient vivement les rampes de fer, les leviers des signaux et des verrous, les madriers des guides, où glissaient les deux cages. Le reste, la vaste salle, pareille à une nef d’église, se noyait, peuplée de grandes ombres flottantes. Seule, la lampisterie flambait au - 27 - fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait comme une étoile près de s’éteindre. L’extraction venait d’être reprise ;

réflecteurs, qui jetaient toute la lumière sur le puits, éclairaient vivement les rampes de fer, les leviers des signaux et des verrous, les madriers des guides, où glissaient les I, III 13 Germinal deux cages. Le reste, la vaste salle, pareille à une nef d'église, se noyait, peuplée de grandes ombres flottantes. Seule, la lampisterie flambait au fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait comme une étoile près de s'éteindre. L'extraction venait d'être reprise; et, sur les

plantées là, et les réflecteurs, qui jetaient toute la lumière sur le puits, éclairaient vivement les rampes de fer, les leviers des signaux et des verrous, les madriers des guides, où glissaient les deux cages. Le reste, la vaste salle, pareille à une nef d’église, se noyait, peuplée de grandes ombres flottantes. Seule, la lampisterie flambait au fond, tandis que, dans le bureau du receveur, une maigre lampe mettait comme une étoile près de s’éteindre. L’extraction venait d’être reprise ; et, sur les

du roi dans les deux premiers actes : « son pavillon202 », « camp des Philistins203 », « vostre Armee voisine204 ». Dans le troisième acte l’action se situe devant la maison de la sorcière à Endor, mais La Taille fait en sorte que ce lieu soit près du camp : « On m’a, Sire adverty qu’icy pres est encor’/ Une Dame sorcière au lieu qu’on dit 200 201 Jacques Scherrer, La dramaturgie classique en France, op. cit, p. 110. René Bray, La Formation de la doctrine classique en France, Nizet, 1983, p.225

en victoire parce qu’elle écoutait les voix qui s’adressaient à elle… Meena s’interrompit, gênée par les larmes qui, spontanément, lui étaient montées aux yeux. — Jusqu’à ce qu’elle soit capturée par l’ennemi, abandonnée par le roi et brûlée comme sorcière, conclutelle, des sanglots dans la voix. Le sourire de Lucien avait été amusé jusqu’à ce que Meena se mette à pleurer. Alors, sa bouche tressaillit, il avança, et… elle se retrouva soudain serrée contre lui, son visage enfoui dans son torse. — Vous

encore peur en France au XVIIème siècle, Rousseau et les Romantiques ne sont pas encore passés par là ! La forêt est ainsi le monde de l'aventure, du danger : on y rencontre des animaux sauvages, des loups, des brigands, des charbonniers et des sorcières, figures inquiétantes dans l'imaginaire collectif. Dans les Contes de l'enfance et du foyer des frères Grimm, comme l'a observé J.M. Gilllig, la Forêt occupe un rôle bien plus important que chez Perrault qui a tendance à rationaliser en réduisant

passé 1h je croi sur ma tete a la fin elle me dit : Nanou : < J`ai fiini va t'voire t'es trop belle > Je mattend au pire , donc je vais voire dans le miroire et la CAAAAAATAAAAAAASTROOOOOOOOPHE ! ondirais une sorcière : Moi : < Allé nanou donne moi ton capeau de sorcière et let'Go on va fair Halowine > elle rigolé mdrr ! Pi j'allais pour effacé tousa parsque j'avais peur que quel'qun me vois mdrrrrrrrr cètait horrible wallah elle m'avais maquiller comme les gotique , et les cheveu

trois mille fidèles. Ce soir, toutefois, la grande nef était déserte. Le révérend Colin Galloway Ŕ doyen de la cathédrale Ŕ semblait sans âge. Tout voûté et fripé, il portait une simple soutane noire. D’un mouvement de tête, il leur fit signe d’entrer. Langdon et Katherine suivirent le vieillard en silence dans la vaste allée centrale. Arrivé à la croisée du transept, le doyen leur 347 fit traverser le jubé, la barrière symbolique séparant la nef du chœur liturgique. Une odeur d’encens flottait dans