La Notion D Agression

devoirs de la vie collective [Cycle 3] / Annick Prime (MDI, 2006) Ce dossier a pour vocation de traiter des civilités et incivilités au quotidien. Les activités proposées portent sur l'ordre, les lois, les dégradations de matériel, la politesse, les agressions verbales, le bruit, l'honnêteté, le travail bien fait. L'Ecole agressée, réponses à la violence / Jean-Michel Dumay (Belfont, 1994) L'auteur, journaliste au Monde, décrit les réponses courageuses et encourageantes d'équipes d'enseignants motivés

d'abus de pouvoir de l'homme sur sa femme afin d'obtenir ce qu'il souhaite. L'intention de dominer se traduit par un comportement sous plusieurs formes. Les violences physique directe telles que bousculer, contact physique dans le but d'agresser, agression armée, tentative de meurtre ou meurtre, et les violences physiques indirecte intimidement en frappant un meuble ou une porte, lancer des projectiles ou briser les biens de la conjointe. Les violences psychologiques telles que le mépris, l'humiliation

jusqu’à la fin. La violence est évoquée selon le mécanisme classique de l’insécurité, de l’incompréhension et de la peur. (ex :épisode de la douane). Ces sentiments ont pour conséquence des réactions exagérées d’égoïsme, de lâcheté ou encore des agressions. Ce sont donc des comportements qui sont excessifs. * Mort et souffrance La mort est annoncée comme quelque chose qui révolte (bébé, mère, adolescent) La mort est évoquée par la disparition de personnes d’âges différentes, ce sont des morts

dans la tranchée, ce n’est pas en tant qu’individu privé qu’il est en conflit avec son vis-à-vis. En général, ils ne se connaissent tout simplement pas. C’est en tant qu’ils sont d’une cité, d’une nation. Aussi Rousseau récusait-il avec raison la notion de « guerre de chacun contre chacun » présente chez Hobbes. Il n’y a de combattant ou de guerrier que du groupe, de la société, de la cité. Si les hommes vivaient solitaires, il n’y aurait pas de guerre. Il y aurait tout au plus, c’est fortement probable

Perçu par les sens. Le monde sensible. 2) Susceptible d'éprouver des perceptions, des sensations. Avoir l'oreille sensible. 3) Facilement affecté par la moindre action ou agression de l'extérieur. Avoir la gorge sensible. 4) Qui est facilement ému, touché; émotif. Ame sensible. L' expérience peut jouer sur deux notions contradictoires: les sens et la raison. Mais si l'homme peut échapper à la raison pendant l'expérience, il ne peut en faire autant avec les sensations. En effet, toute expérience

Bergson justifie un tel comportement par "la nécessité pour une société de se défendre contre d'autres" c'est ce qui explique le regroupement d'individus. Pourtant, "pour se défendre" (terme important employé dans cet extrait), il faut qu'il y ait agression. Ainsi, le regroupement en société est avant tout la recherche de la survie et si elle est hiérarchisée c’est pour mener à bien la préservation des individus. Bergson souligne l’idée de séparation entre les hommes. On distingue ainsi deux types

l’ordinaire et qui marque la personne), ou des évènements de vie mineurs (les petits tracas quotidiens). Dantzer, en 2001 décrit le coping comme un « processus que l’individu interpose entre l’agression et lui-même afin de diminuer l’impact de cette agression sur son organisme ». La définition de LAZARUS et FOLKMAN, en 1984 : le coping correspond à l’ensemble des efforts cognitifs et comportementaux constamment changeant destinés à gérer les exigences internes et/ou externes qui sont évaluées comme

dans la tranchée, ce n’est pas en tant qu’individu privé qu’il est en conflit avec son vis-à-vis. En général, ils ne se connaissent tout simplement pas. C’est en tant qu’ils sont d’une cité, d’une nation. Aussi Rousseau récusait-il avec raison la notion de « guerre de chacun contre chacun » présente chez Hobbes. Il n’y a de combattant ou de guerrier que du groupe, de la société, de la cité. Si les hommes vivaient solitaires, il n’y aurait pas de guerre. Il y aurait tout au plus, c’est fortement probable

distinction entre laïcité et neutralité, de même qu'entre liberté de conscience et liberté d'opinion, démontre que la religion n'est réellement perçue et traitée ni comme un phénomène strictement privé ni comme un simple courant d'opinion parmi d'autres. La notion même de laïcité, telle qu'elle est comprise dans la société française, n'est donc pas dénuée d'ambiguïté. Jusqu'au début du xxe siècle, l'idée de laïcité représentait avant tout, en pratique, la volonté de réduire l'influence de l'Église catholique

cas, ces conflits ont pu être résolus grâce à des solutions réglées mais dans d’autres cas, ces conflits aboutissent à des conflits majeurs appelés « guerres ». On connaît l’histoire des guerres du monde, mais dans ce dossier on s’intéressera à la notion de « guerre juste » attribuée à beaucoup de ces guerres. Cette guerre est acceptée par la société car elle a des raisons morales. C’est le cas par exemple des guerres religieuses (les croisades), menées par l’église catholique pour lutter contre les