La Nuit des morts-vivants

ils s’agitent, ils exécutent, dans la nuit de l’inconscient, une immense danse macabre ». Macabre, car ce sont des fantômes, qui reviennent rappeler aux vivants le passé qui a été mais qui n’est plus, ce qui n’a pas été réglé de leur vivant et tente de revenir dans notre conscience. Les souvenirs conservés dans les obscures « profondeurs », en contraste avec la scène « illuminée », y sont selon Bergson à l’état de fantômes : cela signifie qu’ils sont « morts », écartés de l’action par notre conscience

Ce livre raconte l’histoire de Michael et de sa chienne Stella Artois. Ses parents perdent leur travail et doivent vendre leur maison et leur voiture. Ils décident de partir sur leur voilier pour faire le tour du monde et partent en 1988. Une nuit pendant la tempête, Stella tombe à l’eau et Michael tombe à son tour dans l’eau en essayant de la rattraper. Ils arrivent alors sur une plage et s’endorment. Lorsque Michael se réveille, il visite un peu la plage et il a peur car il ne trouve pas à boire

Harmodius a assassiné un tyran dans l'antiquité grecque (Athènes, VIème). C'est donc un personnage connu du public de l'époque. Il va donc s'agir d'un débat : faut-il tuer ou non le tyran (Napoléon III) ? "nuit" : image qui qualifie la période que Napoléon III impose au pays. Opposition entre "nuit" et "brille". On assiste à un complot. "C'est l'heure" : Ordre à Harmodius de tuer. "Rentrons" : Il ne veut pas. "J'ai froid" : Ces deux mots reviennent à chaque fois qu'est prononcé le mot "tyran". "Demeure" :

pâle livrée,  Et la porte sur tous n'est pas encor murée  Dans la nuit des caveaux. Il est des trépassés de diverse nature,  Aux uns la puanteur avec la pourriture,  Le palpable néant,  L'horreur et le dégoût, l'ombre profonde et noire,  Et le cercueil avide entrouvrant sa mâchoire  Comme un monstre béant. Aux autres, que l'on voit sans qu'on s'en épouvante  Passer et repasser dans la cité vivante  Sous leur linceul de chair,  L'invisible néant, la mort intérieure 

L'ensemble des panneaux raconte une histoire, a gauche la brume du matin on voit les soldats partir au front, au centre on voit la terrible bataille et ses morts, a droite on peut voir la nuit avec des flammes en arrière plans significatif des enfer.Enfin le prédelle (panneaux du bas) où l'on voit des soldats se reposer ou alors des soldats morts le question demeure. Le peintre nous montre une vision apocalypses et de désespoirs. Les couleurs utilisé sont ternes : le gris, le noirs pour les gravats

AUSCHWITZ, EMBLEME DE LA SHOAH Auschwitz-Birkenau, Google image SOMMAIRE I- Origines de la Shoah : la montée de l'antisémitisme A) Idéologie antisémite. B) Les premières mesures et persécutions. 1) Les lois de Nuremberg. 2) La « Nuit de Cristal ». C) l’organisation de la shoah II. Auschwitz à travers le témoignage le plus emblématique de la Shoah : celui de Primo Levi, Si c’est un homme. A) Rafles, déportations, ghetto de Varsovie B) Survivre dans le camp 1) la Sélection

sculptées ; labyrinthes d'édifices dressés côte à côte, pêle-mêle, palais, hospices, couvents, casernes, tous divers, tous portant leur destination écrite dans leur architecture ; marchés pleins de peuple et de bruit ; cimetières où les vivants se taisent comme les morts ; ici, le théâtre avec ses clinquants, sa fanfare et ses oripeaux ; là-bas, le vieux gibet permanent, dont la pierre est vermoulue, dont le fer est rouillé, avec quelque squelette qui craque au vent ; au centre, la grande cathédrale

pendant la Peste noire, les accouplements des vivants dans les cimetières des vivants, les charrettes de morts dans Londres épouvantée, et les nuits et les jours remplis, partout et toujours du cri interminable des hommes.[...] Et le docteur Rieux, qui regardait le golfe, pensait à ces bûchers dont parle Lucrèce et que les Athéniens frappés par la maladie élevaient devant la mer. On y portait les morts durant la nuit, mais la place manquait et les vivants se battaient à coups de torches pour y placer

2, deux « Hommages », à Wagner et Puvis de Chavannes, puis « Au seul souci de voyager », sur Vasco de Gama. Les trois « Tombeaux » ont un ton résolument funèbre, à la différence des « Hommages ». Le poème dédié à Puvis de Chavannes est composé du vivant du peintre : « Par avance ainsi tu vis / Ô solitaire Puvis / de Chavannes » ; celui qui rappelle la gloire de Vasco semble s’adresser moins proprement au navigateur que, comme le dit clairement le vers initial : « Au seul souci de voyager ». La métaphore

DUTOUR 3e B Théo ART ETAT ET POUVOIR : ART VIVANT STREET ART : LE MUR DE BERLIN – LA TRABANT DOSSIER N°2 OEUVRE PRINCIPALE LE MUR DE BERLIN CONTEXTE HISTORIQUE Dans la nuit du 12 au 13 août 1961, commença la construction du mur de Berlin. Les maçons sous la surveillance des soldats est-allemands ont d'abord entouré Berlin-Ouest de barbelés. Ensuite, ils commencèrent à remplacer cette barrière provisoire par un mur. Les maçons travaillèrent et