La Nuit des morts-vivants

dans la nuit du 3 décembre 1984. Elle est la conséquence de l'explosion d'une usine d'une filiale de la firme américaine Union Carbide produisant des pesticides et qui a dégagé 40 tonnes d'isocyanate de méthyle (CH3-N=C=O) dans l'atmosphère de la ville. Cet accident industriel tua officiellement 3 828 personnes, ce bilan ayant été revu en 1989 à 3 598 morts puis à 7 575 en 19951. Il fit en fait entre 20 0001 et 25 000 morts selon les associations de victimes2. Il y aurait eu 3 500 morts la première

entrer. Ils entrent dans le pays des morts cest tout gris noir et il y a le fleuve des âmes. C'est tous les morts nés et ceux qui ont été arraché a la vie alors que plein de choses étaient prévus. Pippo nest pas la. Ya des cavaliers de la mort qui empeche les ombre de partir. Il doit ensuite traverser un buisson avecdes bouts de viande, c'est les bouts vivants des mort qui restent accroché. Ya un bruit, il sapproche et ya des milliers dombre. Cest la spirale des morts. Quand ellews arrivent au centre

ses sentiments vis-à-vis de la mer, à la fois tendres et admiratifs, évoquant son enfance, et l'associant à la beauté, à la joie et à l'amour. Il s’adresse à la mer comme un interlocuteur, et l’interpelle directement, ce qui lui permet de la rendre vivante. Pourtant, héler la mer n’est pas la seule manière que les poètes ont imaginé pour lui donner figure humaine et exprimer à travers elle les sentiments qu’ils éprouvent en la contemplant, comme on peut l'observer avec les poèmes Oceano nox de Victor

opposition ( "les vivants naissent à partir des morts", donc l'âme existe après la mort), 2) par réminiscence ( "notre âme existe avant même d'arriver dans un corps", elle a appris dans un temps antérieur, où elle n'était pas dans une forme humaine et elle peut s'en souvenir), 3) par affinité ( "l'âme ressemble au divin", or ce qui est divin est immortel ; d'autre part, après la mort, l'âme va à son semblable, le divin, l'immortel, le sensé), 4) par harmonie (un corps n'est vivant que par le mélange

mai 1808, à Madrid, la foule manifeste pour le retour du roi espagnol Ferdinand VII. Les Madrilènes affrontent les cavaliers mamelouks (soldats ralliés à Napoléon durant la campagne d'Égypte) envoyés contre eux par le général français Murat. Dans la nuit et dans la journée suivante du 3 mai, les troupes de Murat se livrent à une féroce répression : de nombreux Madrilènes, pris les armes à la main, sont fusillés après un jugement sommaire. 1er plan à droite : les soldats français (peloton

il se réveille dans un cimetière plongé dans les ténèbres dont les tombes sont ouvertes, les ombres de morts se réveillent, l’église vacille et les sons sont discordants. À ce lugubre tableau s’ajoute le désespoir des morts lorsque le Christ leur annonce la non-existence de Dieu, c’est-à-dire l’absence de tout salut. Le récit du poète met le lecteur mal à l’aise lorsqu’il évoque les enfants morts, il devient pathétique avec les lamentations des disparus. Jean-Paul évoque « des mondes qui se broyaient

blanche. On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau. Hier la grande armée, et maintenant troupeau. On ne distinguait plus les ailes ni le centre : 10 Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés On voyait des clairons à leur poste gelés Restés debout, en selle et muets, blancs de givre, Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre. 15 Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons

yeux des villageois, tandis que Sleepy Hollow regorge de magie. En effet, tous les habitants de Sleepy Hollow croient à la résurrection tandis que New York se base sur des faits médicaux et scientifiques. -La forêt de Sleepy Hollow et son arbre aux morts qui d'après la découverte d'Ichabod contient les têtes des victimes de Lady Van Tassel tranchées par le cavalier. Cette forêt annonce la mort car tous les arbres qui la composent sont sans vie et la lumière du jour n'y apparaît pas ou peu. -Le monde

suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié: -« Ah ! que n'ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai

La guerre ? Louis-Ferdinand Céline s’est engagé en 1914. Dans Voyage au bout de la nuit, roman de 1932, il raconte les expériences de Ferdinand Bardamu, un autre lui-même. Au tout début du livre, il s’engage sur un coup de tête après une discussion avec un copain. Il est tout de suite confronté à l’Horreur. C’est là que se situe l’extrait que nous allons étudier. Il s’agit d’un monologue intérieur ; le lecteur entend le héros parler de façon très familière. Bardamu donne son opinion sur la guerre