La Nuit des morts-vivants

suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : – « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m’as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d’amour, ce monstre rabougri, Je ferai

côtés des cadavres moisis en décomposition. Il y avait des dépouilles qu’on n’avait pas le temps de retirer ni d’ensevelir, et qu’on piétine en passant, à moitié détruits par les pieds des soldats qui se hâtent, en file. N’est-ce point macabre ? Ces morts qu’on expose de la sorte comme de pauvres choses. . Je suis écœuré, nimbé d’horreur. Sans parler des rats et de la pluie. On vit avec la mort et rien d’autre ne pourra plus jamais me choquer autant que le spectacle des tranchées.Durant cette guerre

Extrait Acte V La noce Saragosse Une terrasse du Palais d'Aragon. Il Fait nuit. On entend des fanfares éloignées. Scène 6 Doña Sol, Hernani, don Ruy Gomez Doña Sol, à don Ruy Gomez Il vaudrait mieux pour vous aller aux tigres même Arracher leurs petits, qu’à moi celui que j’aime. Savez-vous ce que c’est que Doña Sol ? Longtemps, Par pitié pour votre âge et pour vos soixante ans, J’ai fait la fille douce, innocente et timide Mais voyez-vous cet œil de pleurs de rage humide 

Titre de l'article : « L'ambiguïté fondamentale du Styx, vivant fleuve des morts » Type de publication : Article d'un cahier Figura Volume de la publication : 34 Date de parution : 2013 Résumé : Même s'il s'agit d'un cours d'eau appartenant à la tradition gréco-romaine antique, rares sont ceux qui, de nos jours, n'ont jamais entendu parler d'un lieu nommé Styx. Le Styx est essentiellement un fleuve des enfers grecs, l'Hadès, que les âmes des morts traversent à bord de

n’est qu’un instant qui s’est transformé en spectre, en abstraction fantomatique et qui revient hanter la vitalité d’un instant présent. Le passé est un instant mort qui revient hanter l’instant présent. En ce sens, le passé est la somme des instants morts qui subsistent comme des spectres, comme des fantômes et viennent « troubler la paix d’un instant ultérieur », d’un instant présent. Ici, Nietzsche souligne implicitement que la paix ne se peut trouver qu’au sein de l’instant présent. Aussi, le passé

pendant la Peste noire, les accouplements des vivants dans les cimetières des vivants, les charrettes de morts dans Londres épouvantée, et les nuits et les jours remplis, partout et toujours du cri interminable des hommes.[...] Et le docteur Rieux, qui regardait le golfe, pensait à ces bûchers dont parle Lucrèce et que les Athéniens frappés par la maladie élevaient devant la mer. On y portait les morts durant la nuit, mais la place manquait et les vivants se battaient à coups de torches pour y placer

les personnes atteintes se transforment en vampire en quête de sang. Robert Neville a perdu sa femme et sa fille. Depuis il vit seul chez lui. Neville est le dernier humain vivant dans son quartier de Los Angeles à défaut d’en savoir plus.  Dans ce nouveau monde, il va essayer de survivre. Son quotidien est très routinier. La nuit, il se cloître chez lui, pendant que les vampires assaillent sa maison. Il essaie de dormir malgré les bruits et la présence de ces créatures qui furent jadis ces voisins

1266, Phèdre utilise à trois reprises une ponctuation affective avec des exclamatives. Phèdre, ici, reparle de son «époux» Thésée à qui elle veut demander de l’aide, elle l’«implore». Cependant, Phèdre, qui vient d’apprendre que son mari est encore vivant, éprouve encore une grande passion pour Hippolyte mais aussi un sentiment de honte. Ce sentiment est renforcé par la répétition de «moi» qui traduit une certaine insistance chez Phèdre. Des hyperboles montrent qu’elle se sent très coupable : «Chaque

Celui-ci pourrait représenter le seul signe de vie parmi ce chaos. 3.) Ensuite, sur le panneau de droite, des corps inertes figurent au premier plan. Un homme blanc, dématérialisé ressort de ce volet : il peut être considérer comme le seul homme vivant de la scène, malgré sa ressemblance à un fantôme. Il traîne avec lui un corps ensanglanté, s’échappant des formes rouges qui se trouvent derrière eux. Le regard fixe, n’émettant aucune émotion, il cherche à sortir de ce tableau. 4.) Dans la prédelle

Saddam Hussein déclara la guerre contre le Koweït. Les beaux-frères furent morts au combat. Ses sœurs revinrent à la maison avec leurs bébés et pour avoir assez d’argent le père vendit quelques meubles. Il n’y avait plus rien à manger dans la ville à cause de la guerre. Plein de gens allaient vivre à la campagne. Un paquet de nourriture était distribué chaque mois par le gouvernement (farine, huile, thé et sucre). La nuit, ils ont peur qu’on vienne leur voler. Les 2 bébés de sa sœur moururent à cause