La Névrose Traumatique

l’intégrité de l’être, les séparations dramatiques, les mères fusionnelles castratrices, les pères absents, les enfants parentalisés ou martyres, les enfants sans limite, les secret de famille… D’après Gaboriau et Lebleux « une accumulation d’évènements traumatiques restés en l’état de trauma » provoque une fragilisation. Les personnalités dépendantes semblent s’exprimer par un besoin excessif de protection, d’aide et d’encouragement. L’intégration des facteurs historiques, biographiques d’apprentissage

les différences entre le développement normal et le développement pathologique, il est nécessaire de garder les différents paramètres en tête afin de trouver la source d’un désordre éventuel. 6) Principaux troubles de la personnalité: 1) Les névroses: Définition Affection psychique perturbant peu la personnalité et la vie sociale et donc le sujet est conscient. Origine (psychanalyse vs behaviorisme) BÉHAVIORISTES : Pour eux, ce sont des conduites inadaptées qui viennent de prédispositions et

selon lui la possibilité d'une mobilisation remarquable dans les thérapies conjointes. Il défend la thèse, avec beaucoup d'autres, qu'il y a une phénoménologie clinique particulière de cette période. Kreisler parle de son côté de résurgence de la névrose infantile de la mère, Fraiberg du fait que le bébé joue le rôle de catalyseur pour cette résurgence chez la mère. On peut aussi penser aux hypothèses de Monique Bydlowski sur la transparence psychique chez la mère pendant la dernière période de la

primaire (forme calme, traitée ci-dessus) de l'autisme secondaire (forme agitée) et des psychoses autistiques (psychose symbiotique et forme intermédiaire). • L'autisme secondaire Le comportement de l’enfant est normal jusqu'à ce qu'un évènement traumatique survienne. Il devient alors instable, sans se permettre de répit, avec beaucoup d'agressivité (à l'inverse des autistes primaires), de stéréotypies, de tournoiements. • les psychoses autistiques 1. Les psychoses symbiotiques : Dans les

-Freud va proposer une théorie des pulsions dualiste (avec deux grands groupes des pulsions). Il distingue les pulsions sexuelles assimilées à la q° du désir des pulsions d’autoconservation (=pulsions du moi) assimilées aux besoins. Pour Freud la névrose dont souffre le sujet ne résulte pas uniquement d’un conflit conscient / inconscient mais d’un conflit entre  exigences pulsionnelles.  Selon Freud, dans la vie psychique il y a des conflits d’intérêts. Dans la vie psychique il y a des pulsions

l’anorexie, la boulimie, la tension, la tachycardie, etc. Anne, une femme d’environ quarante ans, rentre chez elle, seule, comme tous les soirs, avec des sacs plastiques contenant quelques achats pour son dîner. Abandonnée par son amant, elle ressasse ses névroses, ses mauvais souvenirs d’enfance, de famille, l’ennui de sa vie quotidienne, la gêne, le désespoir… C’est pour cela qu’elle parle seule, qu’elle s’adresse à elle-même, pour conjurer la solitude et la malchance qui s’acharne sur elle. L’auteur sait

5.1. Les obsessions 11 5.2. Les compulsions 14 6. Modèles explicatifs du TOC 25 6.1. Les précurseurs 17 6.1.1. Théorie de la psychasthénie et des obsessions de Janet (1903) 16 6.1.2. La névrose obsessionnelle de Freud (1908, 1929) 17 6.2. Les théories comportementalistes 18 6.2.1. La théorie de Mowrer (1960) 18 6.2.2. La théorie de Beech (1974) 18 6.3. Les théories cognitives 21

n’est peut-être pas prêt à écouter le conscient • Faire noter ses rêves au client • Les rêves sont dictés par notre inconscient • Chacun a en lui les ressources pour progresser • Se former à la psychopathologie pour reconnaître les symptômes o Névroses : on en a tous o Psychoses : cela se voit vite chez le client • Toujours vérifier l’écologie de l’objectif • Se faire un réseau de psychothérapeutes, psychanalyste, psychiatre… • Mal au genoux=mal au « je, nous », =problèmes de relation avec

sur le parent ni de compter pour lui. L’enfant tente de s’organiser pour survivre face au modèle de rapport de force qui lui est offert en évitant d’exprimer ses émotions et ses besoins. Des dysfonctionnements organiques (biologiques, génétiques, traumatiques…) peuvent jouer un rôle majeur dans la genèse de troubles du comportement. Ces dysfonctionnements rendent d’autant plus nécessaire un soutien adapté à la gestion des interactions. 2 Emotions et troubles du comportement Toute relation est

: « Notre conception était dualiste depuis le début, elle l’est encore davantage aujourd’hui ». La généralité de cette déclaration autorise tout élargissement spéculatif. Alors qu’il pressentait des découvertes importantes dans la psychologie des névroses, Freud écrivait le 2 avril 1896 à son ami et confident W. Fliess : « Je n’ai aspiré dans mes années de jeunesse qu’aux connaissances philosophiques et maintenant je suis sur le point de réaliser ce vœu en passant de la médecine à la psychologie.