La Parole Le Silence

Pouvoir et langage I Le langage au service du pouvoir. Pour amorcer : Ex CDG du bon usage du langage et du silence (68). A Athènes, les sophistes enseignent aux jeunes fortunés le bon usage de la parole. Parce qu’ils connaissent les tours et les tropes efficaces de la langue, ces derniers parviennent à obtenir l’attention et l’assentiment du peuple. Ex : Le pouvoir des fables, J de Lafontaine. Alors que l’orateur qui entretient l’Agora des affaires de la Cité n’obtient que le dédain, celui qui

couplets elle est douce et emplie de mélancolie alors qu'à son contraire le refrain lui est agressif, la voix est plus proche du cri que du chant, on sens la déchirure de l'instant, le chaos. Paroles Version originale Another head hangs slowly child is slowly taken, And the violence cause of silence, Who are we mistaken, But you see, it's not me it's not my family, In your head, in your head they are fighting , With their tanks, and their bombs, With their bombs and their guns, In

le déstabiliser. 1. Le Silence Dans ce chapitre, l’auteur s’exprime sur l’importance de maitriser le silence. Cette maitrise, particulièrement difficile, a de nombreux avantages. En effet, lorsque l’on garde le silence cela témoigne (parfois à tort) d’une harmonie avec soit même. Quand une question nous est posée, il est conseillé de garder un silence de plusieurs secondes ou voir jusqu’à ce que notre interlocuteur nous re-sollicite, utiliser le silence de cette façon permet d’assurer

voix, l'intonation…) mais aussi d'un ensemble de signes non verbaux qui ne relèvent pas de la parole (les gestes, la posture, le regard, les mimiques, les silences…). La communication non verbale, également dénommée « paralangage », contribue à donner un sens au message tout autant que la communication verbale. A. La communication verbale Elle est caractérisée par les messages exprimés par la parole, la voix, la tonalité. 1. Le langage Le langage permet aux acteurs d'une situation de communication

1Les participants 4.2Le cadre 4.3 L’objectif V) Les systèmes d’adresse 6.1 Les pronoms d’adresse 6.2 Les formes nominales d’adresse 6.3 Les formes mimo-gestuelles d’adresse VI) La gestion des tours de paroles, invariants et différences culturelles 7.1 La répartition des tours de parole 7.2 Les entorses aux règles et ratés VII) Le code switching VIII) Comparaison interculturelle IX) Conclusion I) Introduction L’approche choisie pour cette analyse se traitera dans une

regardait  le  ciel,  embrasé  par  un  soleil  d'août.  Les  cigales chantaient dans le champ au­dessous du rocher, quand elles se taisaient tout était silence autour de lui. Il voyait à ses pieds vingt lieues de pays. Quelque épervier parti des grandes roches au­dessous de sa tête était aperçu par  lui,  de  temps  à  autre,  décrivant  en  silence  ses  cercles  immenses.  L'œil  de  Julien  suivait  machinalement l'oiseau  de  proie.  Les  mouvements  tranquilles  et  puissants  le  frappaient, 

cette maladie est cette fatalité qui le fera mourir, il n’a plus d’espoir pour cette mort inéluctable à seulement 34 ans et ne sachant pas quand il va vraiment mourir mais il sait qu’elle sera imminente. Il y a un paradoxe car Louis choisit le silence que la parole même si dans le prologue il voulait annoncer sa maladie et sa mort. Louis ne parle pas de sa mort parce qu’il veut que sa famille continue à lui parler comme s'il n’allait pas mourir car quelqu’un qui va mourir on ne peut pas s’énerver dessus

pas de la provocation, c'est dans son être. e monde et les croyances de Marie sont réduits à néant par Meursault. Elle ne le comprend pas, il est bizarre. L'incommunicabilité conduit au silence, omniprésent dans le texte : « elle s'est tue et m'a regardé en silence ». C'est lui qui l'emporte sur la parole frappée d'inanité. Au début et à la fin, la demande en mariage est présente : « voulais me marier » / « voulait se marier ». Au fond, les réponses de Meursault n'ont rien changé à sa détermination

la fesse gauche, heureusement, qui a porté. LA DAME. – Ah oui ! KNOCK. – Vous aviez déjà consulté le docteur Parpalaid ? LA DAME. – Non, jamais. KNOCK. – Pourquoi ? LA DAME. – Il ne donnait pas de consultations gratuites. Un silence. KNOCK, la fait asseoir. – Vous vous rendez compte de votre état ? LA DAME. – Non. KNOCK, il s'assied en face d'elle. – Tant mieux. Vous avez envie de guérir, ou vous n'avez pas envie ? LA DAME. – J'ai envie. KNOCK. – J'aime mieux vous prévenir

LUMIÈRE ET LA PERTE DE LA PAROLE Le Temps Maçonnique est d’abord celui de l’Apprenti, le Temps où l’on demande la Lumière et où l’on perd simultanément la parole. « Confusius à dit, nous avons deux oreilles et une bouche, donc nous devons parler deux fois moins que nous devons écouter." Cette façon de procéder n'est pas une innovation en matière initiatique; en effet, Pythagore, avait créé une école initiatique à Cretone et il exigeait déjà, 500 ans avant notre ère, le silence de la part des Apprentis