La Part des ténèbres

tranchées ; tel un peintre, Charles Baudelaire dispose des touches vives qui parfois contrastent fortement entre elles ; c’est le cas, par exemple du noir : celui « éclatant » des » ténèbres de sa peau », « tranchant vivement » d’une part sur « le ton clair et rose » de sa robe de soie et du « rouge » de son ombrelle et d’autre part sur tous les bleus suggérés de la mer qui « miroite » et de « l’immense azur ». La masse du pesant chignon qu’on imagine crépu se teinte également du même bleu. Le texte de Baudelaire

BLAGUE : Une vieille dame trouve au fond de son grenier une lampe magique. Un bon génie en sort : - Tu m'as délivré des ténèbres. Fais trois vœux, et ils seront exaucés. La femme demande la jeunesse. Pouf : elle a de nouveau 20 ans. Puis elle demande la beauté. Pouf : elle redevient belle. Enfin, elle demande que son chat devienne un Prince charmant. Pouf le chat se transforme en superbe prince, et dit : C'est maintenant que tu vas regretter de m'avoir fait castrer ! Tel père tel

intitulée « Je suis né un jour bleu » ; ce témoignage explique comment l’auteur est sorti de ces ténèbres. Nous l'avons intégré à la production finale. Pour ma part, j’ai voulu travailler sur l’œuvre littérale « Moi, l’enfant autiste » de Sean Barron et Judy Barron, pour comprendre ce récit à deux voix ; d'une part, celle d’une mère qui veut comprendre le sentiment autodestructeur de son enfant et, d'autre part, celle d’un petit garçon qui a miraculeusement échappé aux affres de l’autisme. Nous nous

courte phrase qui sera ensuite martelée est précédée de quatre quatrains dans lequel notre poète témoigne de sa solitude avant la rencontre de Dominique. Par le jeu de l'assonance en "i", voyelle courte, fermée, aiguë, un son plaintif, Eluard nous fait part de la banalité, de l'automatisme de son existence depuis la mort de Nusch. Aucune profondeur dans sa réflexion, dans sa prosodie, aucun échange, aucune communication. Le présent est dépourvu d'intérêt, il est à la dérive, se laissant aller. Son seul

des Contemplations qui paraissent en 1856 : « Qu'est-ce que les Contemplations ? — Les mémoires d'une âme » [109]. Apothéose lyrique, marquée par l'exil à Guernesey et la mort (cf. Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui tente de percer les secrets des desseins divins. Mais, dans le même

de Bram stoker (1897). Inspiré d’un prince de Transylvanie du XV siècle. Archétype du vampire il inspira de nombreux films. FW Murneau Nosferatu , le vampire 1922. T Browning Dracula, 1931. T Fisher Le Cauchemar de Dracula 1958. Dracula prince des ténèbres (1966). » L’immortalité a depuis toujours été une source d’inspiration pour l’homme. Le mythe fantastique de Dracula le prouve et s’impose à travers les siècles sans prendre une ride. Légende animée par des chroniques populaires nourries

tranchées ; tel un peintre, Charles Baudelaire dispose des touches vives qui parfois contrastent fortement entre elles ; c’est le cas, par exemple du noir : celui « éclatant » des » ténèbres de sa peau », « tranchant vivement » d’une part sur « le ton clair et rose » de sa robe de soie et du « rouge » de son ombrelle et d’autre part sur tous les bleus suggérés de la mer qui « miroite » et de « l’immense azur ». La masse du pesant chignon qu’on imagine crépu se teinte également du même bleu. Le texte de Baudelaire

fleur fanée me parvient, l’amère odeur de nos affres. Tombés dans ce piège implacable, la liqueur pourpre sur nos cœurs et sur nos corps, je ressens l’addiction lointaine, l’appel des Profondeurs. Quel somptueux désastre. Une journée passée entre ténèbres et amertume, parce que je pense toujours à toi. Toi, enfant de la souffrance, tes larmes assèchent nos torrents lacrymaux, et tes sourires fanent nos fleurs autrefois si éclatantes de beauté. Somptueux était ton visage, illuminé par un bonheur désormais

situation a caractère spirituel (philosophique). Avant c’était « Observe-les », mais contemple met en place la disposition de l’âme de Baudelaire, en effet ce n’est pas seulement regarder mais c’est aussi méditer, on a donc une prise de conscience de la part de Baudelaire. On voit que Baudelaire est soucieux de marquer comment la réalité aide l’homme à marquer qu’il existe ( Thème retrouvé dans « Les Fenêtres » et « Les Septs Veillards ») où l’on voit un homme entré en dialogue avec son âme. Ceci est

généralement linéaire de la vie de Linn, mère de deux filles qui semble vouée à une vie de domesticité heureuse. Mais, sous l’impulsion de sa passion pour la danse, elle quitte son mari et ses enfants pour reprendre sa carrière de danseuse. Instruments des ténèbres, par contre, représente un retour à une construction et une intrigue plus complexes. Dans ce roman, Huston trace deux histoires alternées de deux femmes. Nadia, écrivaine américaine, recrée la vie de Barbe, jeune Française du 17e siècle, tout en