La Parure Opposition

Axe 2 :Education extraordinaire, spéciale -dresse portrait psychologique mère vertu, gloire, beauté -caractérise l'éducation stricte basé sur la vertu, maitrise de soi Axe 3 : Enseignement vertu -par figure style : danger amour (gradation, opposition, entre bienfait passion et malheur) -vertu (qualité indispensable à la cour) : annonce difficulté à en avoir (antithèse) Conclusion : Mme de Lafayette dresse ici le portrait psychologique et physique de la princesse de cléve ( héro) ( beauté

que l’abbé, « contre son intention sans doute, dit Jacob, avait justement été jusqu’à l’ajustement ». La religion même veut que l’on observe une propreté modeste sur soi, afin de ne choquer les yeux de personnes. Mais ces personnages vont jusqu’à la parure. Madame de Ferval avait de beaux bras et de belles mains sous du linge uni qui faisait qu’on les remarquait mieux là dessous car cela les rendent plus sensible. Sa cornette toute simple et son visage peu orné ne sont pas les conséquences d’une pudeur

troupeaux à la recherche de pâturages. Elles avaient des activités économiques semblables : élevage, commerce, chasse ou pêche, parfois un peu d'artisanat et de culture. Il en était de même pour leurs coutumes, leur alimentation, leurs vêtements, leurs parures, leurs fêtes et leurs jeux (poésie, chants, musique, danse). Elles donnaient une instruction rudimentaire à leurs enfants, grâce à des maîtres (taleb) qui leur apprenait à lire le Coran et à écrire. Elles pratiquaient la même religion, l'islam, et

d’ajustement n’est fait que pour cacher des défauts, et que le vrai triomphe de la beauté est de briller par elle-même (...) Je ne la louerais jamais tant que quand elle serait le plus simplement mise (...) J’ai aussi remarqué que les plus pompeuses parures annonçaient le plus souvent de laides femmes20 ». Il croit également « qu'avec l’amour et l’amitié naissent les dissensions, l’inimitié, la haine ». Il affirme : « La préférence qu’on accorde, on veut l’obtenir ; l’amour doit être réciproque. Pour

les deux besoin de quelque chose, de parures (...) je leur ai donné ma vie, elles ne me donneront pas une heure aujourd'hui! » III] Le réalisme en peinture a) Trois peintres fondamentaux Avant d'entrer dans le vocabulaire littéraire, le « réalisme » a d'abord désigné l'art du peintre Gustave Courbet, « chef de fil de l'école du laid » selon ses adversaires, parcequ'il puisait ses sujets dans l'humanité ordinaire. Ce mouvement se développe en opposition au Néoclassicisme (beauté idéale, inspiré

donnée de la curiosité et même de l’impatience de le voir. Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisaient au Louvre. Lorsqu’elle arriva, l’on admira sa beauté et sa parure. Le bal commença ; et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu’un qui entrait et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser ; et, pendant qu’elle cherchait des yeux

virtus sacramenti. Cette double incorporation est symboliquement signifiée dans l’exégèse de l’autel (le corporal est assimilé au linceul du Christ), du calice et de la patène, (assimilés au sépulcre du Seigneur). L’Église est ensuite définie par opposition aux marges que représentent les hérésies. c) Saintes personnes et saints lieux Pour Raban Maur, seules importent les pierres vivantes que sont les fidèles. La sainteté du lieu de culte est donc celle des personnes, vivantes ou mortes, qui l’occupent

permettant de discerner le vrai du faux. Existe-t-il un critère universel de vérité, un signe qui permet de reconnaitre infailliblement le vrai ? Pour Platon, la vérité se trouve dans le monde des Idées, monde immuable des modèles, du Vrai, en opposition avec le monde des apparences en perpétuelles devenir. La vérité a besoin de permanence : ce qui est vrai doit l’être toujours. Elle est transcendantale, absolue ou n’est pas. La vérité absolue ne fait plus partie du vocabulaire des scientifiques

Les femmes ne doivent pas regarder les hommes en se croisant sur les chemins. Les hommes les ignorent. Les femmes ne peuvent hériter ni transmettre la terre. Chez les Baruya ce sont les hommes qui ont le beau sexe, ils sont mis en valeur par des parures, les femmes sont vêtues de façon terne. Les hommes et les femmes ont des chemins distincts, ceux des hommes en haut, ceux des femmes en bas. Les villages sont codés de la même façon : grandes et robustes maisons d'hommes en haut, au milieu maisons

gouverné par son sens moral. Il ne doit pas céder à l'orgueil, à l'ambition, aux intrigues. C'est donc un idéal social, un modèle qui guide les actions et les paroles des nobles du XVIIe siècle. Il est modéré en tout (EX : Philinte par opposition à Alceste dans Le Misanthrope de Molière) et il suit l'idéal latin de la mediocritas = le juste milieu, l'équilibre, y compris dans la richesse : « Je ne veux être, si je le puis, ni malheureux, ni heureux ; je me jette et me réfugie