La Passion Dans Andromaque

fruit symbolique du péché dans la Bible, est ici un symbole de discorde. C'est grâce à cette interprétation que l'on peut imaginer la suite de ce mythe. Cette passion fera couler beaucoup de sang et donnera lieu à la guerre de Troie. Hélène n'est ici plus considérée plus comme une femme, mais comme un simple objet qui déclenche les passions grâce (ou à cause ?) de son physique. Dans le « Jugement de Pâris », Hélène est vouée à une destiné que les dieux lui choisissent contre son gré. Hélène dans

d’épouser Agrippine et d’adopter Néron, fils qu’Agrippine a eu d’un précédent mariage. Néron a succédé à Claude. Il gouverne l’Empire avec sagesse au moment où débute la tragédie. Racine raconte l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, fiancée de Britannicus, le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son frère adoptif. Comme c’est le cas généralement chez Racine, Néron est poussé moins par la crainte d’être renversé par Britannicus

de leurs passions respectives. Nous disons que : « l’amour a ses raisons que la raison ignore ». Nous allons justement voir que la passion amoureuse peut bien souvent aveugler les passionnés au point d’en altérer leurs sens du discernement dans leurs actions. C’est notamment le cas, et nous allons le voir, d’Hermione et d’Oreste qui partagent chacun des sentiments forts et liés dans un sens, mais cependant non-réciproques. De là née la situation les rendant prisonniers de leurs passions respectives

seul jour, et qui s'avançant par degrés vers sa fin n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages ». C'est dans la préface de Phèdre, que l'auteur exprime l'autre versant de son esthétique théâtrale : selon lui, le rôle d'une tragédie est d'instruire et le principal enseignement qu'elle délivre est le pouvoir mortifère des passions : « Les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause ; et le vice y est peint partout

abondante, en regard des 33 pièces de corneille et des 34 pièces de Molière. Elle comprend 12 pièces, réparties en trois genres : * 9 tragédies profanes : la thébaïde ou les frères ennemis ( 20 juin 1664 ) ;Alexandre le Grand (4 décembre 1665 ) ; Andromaque( 17 novembre 1667) ; Britannicus (13 décembre 1669 ) ; Bérénice (novembre 1670 ) ; Bajazet (1672) ; Mithridate (1673) ; Iphigénie (août 1674) ; Phèdre (1er janvier 1677). * 2 tragédies sacrées : Esther en 1689 ; Athalie en 1691. Des poèmes

Jean Racine, auteur, dramaturge et poète francais. Il s’oriente rapidement vers le theâtre ou il y découvre une réel passion. Il écrit sa première pièce en 1660. Il devient connu pour la tristesse de ses pièces. Il est élu à l’académie Française en 1672 et fut abolie en 1674. Connu en particulier pour Andromaque, il fait parti des grands noms du classissimes en France. Comment Jean Racine crée t’il la tension dramatique de la scène ? A - Un jeu sentimental Jean Racine crée un jeu sentimentale

selon une modalité particulière ». Ce que nous appelons la « liberté » ne serait donc rien d’autre que notre ignorance des causes véritables qui nous déterminent. Car l’homme est d’abord esclave : soumis aux erreurs des sens et aux illusions de la passion, il s’agite de tous côtés, voyant quelquefois le meilleur, faisant souvent le pire. ● Mais comment convertir en liberté la servitude originelle de l’homme ? Par la connaissance, répond Spinoza. Pour accéder à la liberté, il me faut comprendre que

exemples nous pouvons citer Agamemnon de Eschyle, ou le tyran est Clytemnestre la femme de Agamemnon. On retrouve ensuite le tyran dans la tragédie classique (XVIIème siècle) avec Britannicus et Andromaque de Racine. Dans la tragédie grecque et classique les tyrans se ressemblent : ils tuent souvent par passion, par vengeance, la tragédie doit inspirer terreur et pitié. Plus tard dans le temps, on retrouve a nouveau l’image du tyran dans le théâtre moderne. C’est le renouveau du théâtre et on remarque

et comédies en français. Ce renouveau permet à des nouvelles classes de la pop à s'y intéresser : des représentations sont données à la cour. XVIIè siècle : l'âge d'or du théâtre Théâtre classique Reprise du théâtre antique : Phèdre et Andromaque de Racine, Antigone d'Anouilh. Corneille, L’Illusion comique → Valorisation du théâtre LES DIFFERENTS GENRE THEATRAUX : > La comédie → cherche à faire rire, elle corrige les mœurs par le rire. Elle a une fonction de critique sociale

tue avec sang-froid sa sœur Camille d’un coup d’épée. Les personnages sont quelques fois soumis à des passions qui les déchirent, comme nous le prouve Phèdre de Racine, où la femme de Thésée souffre physiquement de son attirance pour Hippolyte. Enfin, les différents protagonistes de l’histoire s’affrontent dans des scènes de conflits qui sont en général très violentes. Par exemple dans Andromaque de Racine, Hermione attaque verbalement Pyrrhus pour avoir manqué à ses paroles.