La Pauvreté Selon Kant

l’obligation ; la perfection, le développement le plus parfaitement harmonieux du potentiel humain. L’autorité à laquelle doit obéir la conduite humaine change selon les écoles de pensée : la volonté divine, les lois de la nature et les règles de la raison apparaissent tour à tour comme le fondement de la régulation morale. Pour la pensée religieuse, selon laquelle la volonté divine représente l’autorité suprême, les actions humaines doivent obéir aux commandements consignés dans les textes sacrés. Pour les

lui prescrivent. User de sa volonté est une forme d'effort, de force : c'est la capacité de s'en tenir à nos résolutions, parfois en dépit de nos envies. B. Le problème des déterminismes 1. Le fatalisme Fatalisme : Le fatalisme est la croyance selon laquelle tous les événements sont fixés à l'avance par le destin. Croire au destin, au fait que tous les événements sont écrits à l'avance, traduit le sentiment d'une absence totale de liberté. C'est une croyance que l'on retrouve en particulier dans

Les chiffres  sont  bouleversants : près de la moitié de  la population  mondiale vivent en dessous du seuil de la  pauvreté,  dans  des  conditions  tout  à  fait  déplorables.  Les  images  dont  nous  sommes  bombardés  à  tous  les  jours par les média  nous laissent déchirés de par le sentiment d’impuissance qu’elles nous laissent. Tellement  de souffrance  est causée par  les grands fléaux de  l’histoire humaine que sont la guerre, l’oppression politique,  la  persécution  religieuse,  le 

de la nature. Alors qu'il était une contrainte subie et la marque de l'esclavage, le travail devient moteur de notre libération.  4. Le travail fonde-t-il la propriété ? • Le champ appartient à celui qui l'a défriché et qui le laboure : c'est, selon Locke, le fondement même de la société civile. Je possède ce que je travaille, sans avoir pour cela besoin du consentement des autres ; mais comme je ne peux pas tout travailler, ma propriété est naturellement limitée : le droit naturel répartit donc

Critique : N'est-ce pas là confondre le beau et l'agréable?   La critique kantienne : Kant, dans sa Critique de la faculté de juger (Kritik der Urteilskraft), opère précisément la distinction entre le Beau et l'agréable (manuel Hatier : texte 3). Tous deux, nous dit Kant, le sentiment du Beau comme celui de l'agréable, relèvent de la faculté affective que Kant nomme faculté de plaisir ou de peine. Mais, dit Kant, l'agréable relève de mon affectivité individuelle. « L'agréable signifie pour tout homme

Schiller tente de nous montrer la réalité de l'esthétique et ses fonctions, tel un mode d'emploi du mouvement. Selon lui, l'âme pur et belle est le fruit de l'éducation esthétique et morale, où la liberté politique et morale est privilégiée. Schiller, dans ses recherches philosophiques, s'est aidé des oeuvre de Kant malgré que leur thèses respectives soient opposées. La beauté selon Kant se révèle non pas dans l'objet même mais dans sa représentation. Et pour Schiller, la « beaute est l'instinct tiers

présente comme un avantage, un atout. C'est en ce sens qu'elle contribue à faire notre liberté, on dispose d'un for inaliénable (on ne peut pas être dépossédé de ce qu'elle contient) mais elle se montre aussi comme un handicap car elle fait notre pauvreté, notre "misère". On ne peut pas se jouer à nous-mêmes la comédie même si on peut la jouer aux autres. "prendre conscience" c'est se rendre compte de, se rendre des comptes, être nécessairement confronté à l'évidence, à l'irrécusable. C'est pouvoir

monde, notamment par les douleurs que le personnages subit. Les douleurs physiques, qui sont misent en avant par la faim, le froid, les maladies ou encore les catastrophes naturelles. Les douleurs morales : par ce qu’inflige la guerre à un peuple, la pauvreté, le fanatisme religieux, la malhonnête des commerçants ou encore l’esclavage, justifié par des raisons économiques. Voltaire de cette manière nous décrit un monde où le mal est omniprésent. En France par l’injustice vis-à-vis du Huron ou dans le

une force de s'élever contre les valeurs, les idées préconçues, agir selon nos propres valeurs et pensées ? Si le faible est celui qui pardonne et qui aide les autres, vaut-il mieux être faible ou fort ? Pour bien répondre à cette question, nous allons aborder la philosophie de Nietzche qui a fait une vive critique des valeurs chrétiennes. Nietzche a dit qu'il existait non pas une morale, mais plusieurs morales. 2. Selon Nietzche, il y a deux morales, celles des faible et celle des forts.

XIXème siècle et a connu son essor au XXème siècle en lien avec le développement de l'État qui cherche à «gérer» le social. Comme discipline, elle est elle-même traversée par ces débats sur notre capacité ou incapacité d'action. Comme l'a suggéré Kant au XVIIIème siècle, pour être capable d'agir de manière autonome, il faut d'abord y croire. Ainsi, croire que nous ne pouvons rien faire peut mener à rien. D'où l'importance de ces débats qui traversent le temps et font toujours rage aujourd'hui