La Pensée Arabo Musulmane

au départ en Europe centrale et orientale : on les trouve en Allemagne, en Pologne, en Russie, en Ukraine. Il parle le Yiddish qui est une sorte de mélange entre l’Allemand et l’hébreu. * Les sépharades : ce sont les juifs de tout le monde arabo-musulman (Maroc, Algérie, Tunisie) et éventuellement d’autre région. Dans le cas français, il y a des juifs ashkénazes, ce sont les juifs alsaciens et dans les juifs sépharades se trouvaient plutôt dans la région de Bordeaux. Aujourd’hui à travers

Les grandes figures musulmanes : Ibn al-Nadim (Abu al-Faraj Muhammad ibn Ishaq ibn Muhammad ibn Ishaq), (mort le 17 septembre 995 ou 998) est un érudit et un bibliographe shiite, auteur du Kitab-al-Fihrist, un index complet, selon les mots de l'auteur lui-même, de tous les livres arabes de l'époque. Très peu de choses sont connues de sa vie, pas même l'origine de son surnom al-nadim, qui signifie le compagnon d'un personnage important, peut être même le calife. Il vécut principalement à Bagdad

s’est parfois établie entre les Juifs et leur environnement »5. P. 11 Texte canonique faisant partie des livres sacrés constitutifs de la Bible hébraïque. Il a été élevé au rang de récit mythologique. 5 P. 29 3 4 2 La judéophobie L’auteur pense que la judéophobie, la peur des Juifs, est un bon point de départ pour comprendre l’antisémitisme même si l’on sait pertinemment qu’il n’y a rien { craindre d’un peuple qui tout au long de l’histoire a paru faible et vulnérable. Les raisons de cette

Hollywood, tantôt les nourrissant, tantôt s’en nourrissant. Ceci explique la fluctuation de l’image de l’arabe/musulman en tant que « l’autre », au grès des moments historiques et la résurgence des stéréotypes lors des crises politiques, conflits ou ingérences américaines dans les affaires d’un pays tiers. Pourquoi les Américains ont-ils une vision stéréotypée des Arabes et des Musulmans ? En a –t-il toujours été ainsi ? Quels ont les facteurs à l’origine d’une telle perception ? De toute évidence

protectorat, il fut peu diffusé auprès de la population « indigène », du moins sous son aspect institutionnel. Le bilan global de l'œuvre française en matière d'enseignement est décevant. La scolarisation ne Toucha qu’un nombre infime d’enfants marocains musulmans. À la veille de l'Indépendance, le nombre de cadres marocains formés dans le système scolaire, mis en place par le Protectorat, était très restreint : 269 bacheliers seulement sur une population de 8 millions environ. Décisif dans l’avenir de l'enseignement

La question de la réforme globale du monde musulman se trouve posée, mais non résolue depuis plus d'un siècle et demi. Quelle que soit la tendance de tel ou tel auteur, tous sont d'accord sur le retard ou, plus exactement, la crise du monde musulman. Par Yadh Ben Achour (*) Ce dernier se trouve ankylosé par des siècles de passion dogmatique. Cela se manifeste en particulier par un attachement toujours ressuscité, au cours des siècles, à un certain nombre de positions théologiques et de doctrines

particulièrement intéressante dans le cas des cultures non-européennes, et son importance en tant que facteur entravant le changement économique est aujourd'hui largement reconnue comme le montre le regain d'intérêt pour la culture au sein de la pensée sociale contemporaine. Les aspects culturels de la mondialisation sont analysés en termes de conséquences telles que l’homogénéisation et l’hybridation, c'est-à-dire d’une part, l’uniformisation culturelle (souvent en fonction des modèles

savoir utilisée par les élites, et de l'influence qu'elle exerça dans le monde arabo-musulman, qui traduisit en arabe de nombreux traités grecs. C'est ainsi que certaines productions politiques et culturelles du monde grec ont eu un rôle majeur dans le développement de la civilisation occidentale. On. Estime souvent que les Grecs sont à l'origine d'une nouvelle manière d'appréhender le monde affranchissant la pensée des dogmes religieux et mettant l'homme au cœur de leurs réflexions. On les considère

Califes Abbassides commandèrent aux juristes des codes de jurisprudence afin de pouvoir faire appliquer de façon rigoureuse l’ordre islamique dans l’ensemble de la vie sociale de l’Empire. Cinq jurisconsultes vont élaborer des fiqh (codes de droit musulman) à partir de la charia ; la charia ou ensemble des préceptes et lois révélée par dieu au sein du Coran, jusqu’alors n’était considéré que comme un droit purement théorique sans application réelle, laissée à l’arbitraire des juges. Vont apparaître

yeux, c’est la préservation des intérêts américains : les Etats-Unis agissent comme ils l’entendent, en concertation, si possible, avec leurs alliés. Ils ne cherchent pas à exporter leurs idéaux. Bill Clinton, président démocrate (1993-2001), pense que les Etats-Unis doivent tenir leur place dans les affaires internationales mais en utilisant le moins possible la force militaire : il leur faut agir par le commerce, la diplomatie et la négociation. L’un comme l’autre rejettent l’isolationnisme