La Pensée De Beccaria

révolutionnée Chapitre 2: La royauté constitutionnelle Chapitre 3: La Republique révolutionnaire C'est une Rep qui existe en oubliant volontairement d'appliquer la C°. Cette Rep fonctionne jusqu'à la Terreur jusqu'au moment où certains rev ont pensé que Robespierre allait les faire guillotiner et ont donc décidé de faire guillotiner Robespierre. Ils ont continué le régime de la REP en modifiant ce régime. Chapitre 4: le régime du Directoire Sont instituées deux chambres. On a voulu se protéger

neutraliser celui qui nui, mais cela ne sert à rien de le « punir » alors que la criminel n'y peut rien, il est comparé à un malade. Et un malade se traite, on ne le punit pas. On cherche à décrire le criminel en fonction de critères anthropologiques. On pense notamment qu'il existe des criminels nés, des criminels aliénés, des criminels passionnels, … . Mais par delà les excès l'approche est révolutionnaire car on retrouve certaines de ces analyses encore aujourd'hui. Il faut regarder cette école avec recul

marqué par la vision d’un homme qu’on menait à l’échafaud (au XIXe siècle, les exécutions des condamnés à mort se faisaient publiquement) puis avoir aperçu, alors qu’il se promenait dans Paris, un bourreau qui préparait sa guillotine, sa première pensée étant pour le pauvre homme qui, au même moment, se tourmentait dans sa cellule, il se mit, le lendemain, à écrire et termina en trois semaines : ____________________________________________________________ _____________________________ “Le

Saint Augustin… thése reprise par l’Eglise catholique qui a repris cette idée de répression et l’a associé au péché. Elle a été reprise et laïcisé par Kan b. la thèse de l’utilitarisme ou de l’utilité sociale. ← Montesquieu, Bentham et Beccaria Cette thèse du l’utilitarisme est adoptée en réaction à la thèse de la rétribution. Ici, on se place du côté du délinquant mais également du côté de la société dans son ensemble et on estime que celui qui a commis une infraction doit subir une

détermination objective de l’infraction en ce qui concerne l’incrimination Toutes les considérations propres à l’auteur de l’infraction sont tenues pour indifférentes. Ce qui compte c’est l’acte et non son auteur. Cette approche a été exprimée par Beccaria. « La vraie mesure des crimes est le tort qu’ils font à la nation, non l’intention du coupable ». On accepte la responsabilité pénale d’un jeune enfant, d’un dément, ou d’une chose. On ne fait ici pas la différence entre un crime intentionnelle ou

suivante : c'est la branche du droit qui détermine les infractions, les sanctions que la Société impose à ceux qui commettent ces infractions et les mesures de prévention ainsi que les modalités de la répression des faits constitutifs d'infractions.  On pense souvent, à tort, que le Droit pénal est une branche du droit privé. S'il est vrai qu'il est un droit mixte, il appartient bien plus au Droit public qu'au droit privé. Cet aspect est important car il emporte un certain nombre de conséquences dont notamment

n’existe pas de différence de nature entre règles morales et règles de droit. Il dit que le droit est vivifié par une montée continue de la sève morale. 1. Première approche a. Différences ∂ Quant au domaine La morale réprouve les pensées intérieures, l’intention malveillante même quand il n’y a pas de passage à l’acte. Elle impose un certain nombre de vertus que le droit n’exige pas. Parfois la règle de droit dépasse celle de morale, par exemple en ce qui concerne le code la route

arbitraires. Liberté d'opinion, «  nul ne peut être inquiété pour ses opinions même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre publique établi par la loi » point délicat, polémique. Article 11 : liberté de communication des pensées. Liberté d'expression DIFFÉRENT DE liberté d'opinion. Particularité : liberté individuelle. Philosophie individualiste , faudra attendre XIX pour voir arriver notion de collectivité . On sort d'une société d'ordre, de groupes, le refus de liberté

loi pénale. Les anglais ont depuis longtemps un Habeas Corpus, une garantie du droit pénal. Montesquieu, au cours du XVIIIe siècle a diffusé très largement en France les idées anglaises. Il y a également des emprunts à l’esprit des Lumières : Beccaria, un milanais qui s’opposait à l’archaïsme et l’arbitraire de la justice. Ce que l’on met en place c’est le principe de la légalité des infractions et des peines : il n’y a que des infractions et des peines prévues par la loi. Ceci est dirigé contre

 Droit pénal général Bibliographie : Xavier Pain « Droit pénal général » Introduction Le droit pénal est la principale représentation populaire de a justice, du droit. Lorsque l’on parle du juge et de la justice on pense souvent au droit pénal. Cette idée s’explique car le droit pénal traite des interdits sociaux, des interdits fondamentaux destinés à assurer la paix sociale. Le droit pénal a une dimension spectaculaire (comme le procès d’assise). I) La présentation du droit pénal A) La définition