La Pensée Politique Moderne

principe s’impose peu à peu, car le régime du mythe ne suffit plus à expliquer ce que l’hô ne comprend pas: Le Logos (= Parole, discours, argumentation, calcul,… Par extension : La raison) Pensée devient rationnelle dans 2domaines : 1. 1.      La connaissance de l’univers 2. 2.      La pratique politique 1. Emergence du logos dans la connaissance de l’univers. On explique l’origine du monde et la complexité de la vie par des récits fabuleux (mythos). Philosophes du 6èmeS avt J-C : passage

en 1874. Femme de lettres vivant de sa plume, elle s'est engagée dans la vie politique et sociale de son siècle, et reste un emblème de la lutte pour la liberté de penser et surtout d'exister. Personnage complexe, elle incarne à la fois le féminisme à une époque où les moeurs préconisent l'autorité de l'homme sur sa compagne, et le socialisme, à travers ses romans dans lesquels elle fait entendre ses convictions politiques et sociales. George Sand, c'est donc un écrivain engagé mais aussi une personnalité

 MANENT,Pierre:Le regard politique,Baroque Books and Arts,2013,Bucarest Le livre se présente sous la forme d’un dialogue entre Bénédicte Delorme Montini,spécialiste en sciences politiques et Pierre Manent,directeur des études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales,un penseur bien connu dans la sphère des sciences sociales.Il répond avec finesse aux questions fondamentales pour le monde de nos jours,dans un discours avec nombreuses références aux oeuvres de grands esprits,mais qui

d'une libération d'agressivité, ni d'une révolte contre l'autorité, mais de la volonté de détruire l'ordre social, d'un refus absolu qui n'a pas trouvé d'autre moyen de s'exprimer. Le dernier chapitre s'intitule « Vers une pensée de l'inachèvement ». L'au teur montre cette pensée en germe chez Marx, Kierkegaard, Nietzsche, Hei degger, mais aussi, plus près de nous, dans les sciences humaines, et propose une anthropologie « dialectique » et « synthétique » centrée sur l'étude de l'entrée dans la

Introduction Religion et politique ont longtemps été pensées comme indissociables, que ce soit sous la forme d'une théologie civile dans l'Antiquité gréco-romaine ou sous celle de l'augustinisme politique dans le Moyen Âge chrétien : immanentes l'une à l'autre ou dans un rapport de subordination, les sphères politique et religieuse semblaient inextricablement nouées. C'est pourtant ce lien étroit que la philosophie moderne a petit à petit défait, en commençant par jeter les bases théoriques d'un

Max Weber (1864-1920) I] La pensée de l’auteur : 1) La sociologie « compréhensive » : La sociologie wébérienne relève d’une sociologie individualiste méthodologique. La sociologie de Weber se donne pour objectif d’interpréter l’action sociale dans son déroulement et dans ses effets. Par action sociale, il faut entendre tout comportement humain motivé par la signification que leur donne leur auteur. La sociologie de Weber cherche ainsi à restituer le sens que les individus

Sommaire Introduction 2 I. Ricardo, premier grand théoricien de l’économie moderne 3 Ses débuts 3 Théories 3 La supériorité du libre échange 4 II. John Stuart Mill, défendeur d’une nouvelle société 6 Ses débuts 6 Son parcours 6 D’un point de vue économique 6 D’un point de vue moral 7 III. Claude Frédéric Bastiat, économiste, politique et polémiste libéral 7 Ses débuts 7 Sa pensée 8 Son influence aujourd’hui 9 IV. Malthus, économiste pessimiste 9 Présentation de

de différencier l’État de son environnement afin de faire apparaître sa réalité institutionnelle : dualité entre l’État et la société civile. L’émergence de la notion de « société civile » se fait au XVIIIème siècle, dans une articulation avec la pensée de l’État et de son pouvoir suprême et le lieu dans lequel celui-ci s'exerce. En droit international, il s'agit de différencier les acteurs de la société internationale : qui peut contracter des traités ? En ce qui concerne le droit constitutionnel

significative se fit sentir avec les enseignements de Saint Thomas d’Aquin qui ont inauguré les théories modernes du droit naturel : certes institué et voulu par Dieu, le droit naturel s’appréhende tout de même par la raison humaine, en dehors de toute révélation. Le droit naturel évolua ensuite en une seconde phase individualiste avec Locke : c’est l’individu qui est la source de toute action, l’agent moral qui pense, perçoit, choisit et agit. A partir du XIXe siècle, sous l’influence tant du positivisme, de

et d'Aubigné, le XVIe siècle s'étend jusqu'à 1620 et même 1630. Dans cette confusion féconde et puissante, où ce qui naît se mêle avec ce qui finit, quelques faits généraux se laissent distinguer. Dans la littérature, comme ailleurs, les passions politiques et religieuses s'amortissent; l'amour de la paix, de l'ordre, de l'unité, impose la monarchie absolue. Un grand courant de libertinage, philosophique et mondain, apparaît, et, en face, un fort mouvement de renaissance catholique, qui trouve d'illustres