La Personnification Maupassant

possible. Les deux termes sont reliés par un outil comparatif (ex.: «Heureux qui comme Ulysse», Du Bellay). LA METAPHORE Elle remplace une réalité par une autre, créant un effet de suggestion (ex.: «Un serpent de fumée noire », Maupassant). LA PERSONNIFICATION Elle évoque une réalité non humaine (chose, idée, abstraite, animal), en lui prêtant des caractéristiques humaines : gestes, sentiments (ex.: «L'alambic gardait une mine sombre», Zola)... L'ALLEGORIE C'est la présentation d'une

la sculpture italiennes de la fin du XVIe siècle, ce mot s’applique aussi à un grand nombre d’œuvres littéraires de cette période, jusqu’à la moitié du XVIIe siècle environ. Procédés stylistiques privilégiés : l’hyperbole ; l’antithèse ; la personnification ; la métaphore ; Corneille fait parti du courant baroque. Le classicisme Le classicisme est un courant du 17ème siècle (1660-1690). Le terme latin «classicus» signifie qui est de premier rang, qui appartient à la classe supérieure des citoyens

Extrait 1 : Chapitre 2 Pierre et Jean, Maupassant (1888) Situation de l’extrait, Pierre vient d’apprendre la vérité. Il cherche un refuge, prend l’air pour retrouver de la lucidité, il se promène sur la jetée du port. Ce passage relève du point de vue interne. Problématiques, -Quels sont les moyens utilisés par le narrateur pour montrer que le paysage est perçu de manière interne et subjective ? - Comment le spectacle est-il interprété par Pierre ? Plan, I- Un spectacle nocturne : le

relever le champ lexical de la dureté, celui de la sauvagerie ou encore de la sinuosité, autant de termes qui dressent le la région le tableau d’un lieu où il ne fait pas bon vivre, où le quotidien est difficile. Les figures de styles telles les personnifications, anaphore, métaphore ou comparaisons semblent donner vie aux éléments assimilés à des sortes de monstres ou des créatures mystérieuses et surnaturelles dont il convient de se méfier, peut-être à l’image des habitants. L’atmosphère qui se dégage

Commentaire de l’incipit de Bel-Ami de Maupassant (1885) Rappel 1 : les questions à se poser à la lecture d’un récit a) Où ?    "Boulevard" et "la rue Notre Dame de Lorette" nous suggèrent que cette scène se passe à Paris. b) Quand ?   Cela se passe au début de l'été : "On était au 28 juin". c) De qui ?    Le personnage central est nommé dans la première phrase : "Georges DUROY est sorti du restaurant"    Il domine cette première page, il est le sujet de tous les verbes de chaque paragraphe

- Découvrir le vocabulaire du travail de l’écriture CORPUS :  Le naturalisme : constitution de la doctrine - Edmond et Jules de Goncourt, Préface de Germinie Lacerteux, 1864 - Zola, Le Roman expérimental, 1881 ; Littérature 2nde p. 347 - Maupassant, Préface de Pierre et Jean : « Le roman », 1888 ; Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse »

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La chevelure’’ (1884) nouvelle de MAUPASSANT (7 pages) pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 2) l’intérêt littéraire (page 3) l’intérêt documentaire (page 4) l’intérêt psychologique (page 4) l’intérêt philosophique

fange et vous accusez le miroir ! Accusez plutôt le grand chemin et plus encore l’inspecteur des routes qui laisse l’eau croupie”. Les réalistes cherchent à retranscrire la réalité telle qu’elle est. Comme Stendhal, Guy de Maupassant est un romancier réaliste du XIXeme. Il est célèbre tant pour ses romans réalistes ( Une vie , Pierre et Jean ) ou pour ses nouvelles parfois fantastiques ( Le Horla ). Il

Fiche-Synthèse La Nouvelle Fantastique Introduction La nouvelle fantastique est un texte bref de type narratif qui connaît un grand succès au XIXème siècle en France. Guy de Maupassant et Théophile Gautier sont des auteurs majeurs de nouvelles fantastiques. D’autres auteurs français sont connus pour leur écriture fantastique : Gérard de Nerval (Aurélia, XIXème siècle) ou Jacques Cazotte (Le diable amoureux, XVIIIème siècle). L’incipit fantastique La nouvelle

qu’on n’entend pas » * Personnification du vent → diffuse une peur * Gradation des interprétations * Hésitation entre registre discrètement comique ou fantastique 4.8. Perplexité * Phrases nominales brèves * Phrases interrompues * Phrases avec alternative Conclusion * Episode quasi cinématographique * Peur universelle * Style récit * Plane un mystère non-élucidé Ouverture : Ne pourrait-on interpréter ce que Maupassant définit dans La Peur comme