La Personnification Maupassant

répond vraiment à la question posée : se demander constamment si on est bien dans le sujet, ici le sens du titre. - un devoir d’argumentation s’accompagne toujours d’exemples précis qui prouvent les arguments. Ici, vous pouviez citer le texte de Maupassant puisque vous l’avez avec le n° de la ligne entre parenthèses après la citation. - les citations du texte doivent toujours être correctement insérées dans votre phrase. - le développement doit être construit en paragraphes logiques. b) forme

littéraire Maupassant : extrait de « Une vie » Une vie est le premier roman de Guy de Maupassant, il fut publié pour la première fois en 1883. Ce roman raconte les différents événements de la vie de Jeanne. Ce passage est un extrait du chapitre un, il nous montre Jeanne songeant un soir à sa fenêtre. Dans une ambiance nocturne qui prête aux rêves, la nature se mélange aux songes de la jeune fille qui perçoit chaque détail de ce qui l’entoure. Tout au long du texte, Maupassant nous décrit

réalité le plus fidèlement possible, sans embellir quoi que ce soit. Le naturalisme va se démarquer consciencieusement du réalisme puisque celui-ci se veut didactique, il a donc une fonction d'enseignement car les auteurs naturalistes, tels que Maupassant, Goncourt ou Zola, vont effectuer une besogne d'enquêteur voir même de scientifique en étudiant les milieux sur lesquels ils comptent écrire, comme par exemple les textures des vêtements dans Au Bonheur des Dames, ou les minerais dans Germinal,

de fumée noire » Maupassant. Allégorie : elle représente de façon imagée par des éléments descriptis ou narratifs les divers aspects d’une idée qu’elle rends moins abstraite. Exemple : La mort est représentée par un squelette tenant une faux. La justice est représentée par une balance et un glaive. Personnification : elle représente une abstraction, un animal ou un objet sous la forme d’une personne. La majuscule suffit souvent à marquer la personnification. Exemple : « Tu

Bovary. Personnage féminin romanesque réaliste au XIXème siècle (axe ou grande partie). De même pour le personnage masculin. * Y a-t-il une ironie du narrateur vis-à-vis de la jeune femme ? Ton froid ? Ton objectif ? (Penser à Bel Ami de Maupassant) * Vieille Fille : Une femme qui n’a jamais connu et ne connaîtra jamais l’amour. * Mode de narration, focalisation (scène de rupture) * I. a) Technique d’écriture effet b) Personnage masculin c) Personnage féminin *

La chevelure de Guy de Maupassant a été publiée pour la première fois en France dans la revue Gill Blas le 13 mai 1884. Ce récit, appartenant au courant du réalisme, est une nouvelle fantastique dans laquelle un individu raconte a travers de son journal intime son obsession pour la chevelure d’une femme. Elle fait également partie du nouveau courant fantastique ou on accentue la folie, en effet, dans l’extrait on peut remarquer que le personnage principal entretient une relation étrange avec

nouvelle « Une Vendetta » Tout d’abord, la « Nouvelle » « Une Vendetta » est un récit anti-romanesque où la réalité est représentée dans toute sa cruauté, sans embellir les personnages ni les événements, pour rester dans le réel. Premièrement, Maupassant décrit chaque personnage, lieu et événement tel qu’ils sont, même si cela donne une perspective différente des choses. En effet, il débute par décrire une réalité sociale inférieure, où la population vit dans de petites maisons, regroupées en un

vêtements de soie » (Flaubert, Madame Bovary). | Métaphore | Elle introduit également une analogie entre deux réalités, mais sans avoir recours à un mot comparant. | « Elle écoutait monter cette marée d’hommes » (Hugo, Les Misérables). | Personnification | Elle consiste à prêter à un objet inanimé les caractéristiques d’une personne animée. | « L’alambic, avec ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux, gardait une mine sombre » (Zola, L’Assommoir). | 2. Les figures

sans terme de | | |comparaison. | | |Exemple : Un gros serpent de fumée noire. (Guy de Maupassant) | | |Un gros serpent | | |de

roman s’inscrit dans la thématique des relations d’adultères. On peut ainsi citer Madame Bovary (1857) et L’éducation sentimentale (1869) de Flaubert ou La Femme de trente ans (1842) de Balzac. Pour cette scène de la découverte de l'adultère, Maupassant utilise une approche originale. Au début du texte, on a le point de vue du Comte et le discours indirect libre (« Que pouvait-on craindre par cette tempête ? ») puis le point de vue externe : le lecteur assiste à une scène racontée par un témoin