La Pitié Est Elle Une Vertue Ou Une Faiblesse

purger de son crime avant sa mort- d’abord en révélant la vérité et ensuite en accusant Oenone d’avoir conçu le mensonge immoral pendant la période de faiblesse de Phèdre : « C’est moi qui sur ce fils chaste et repsectueux/ Osai jeter un oeil profane, incestueux/ [...] La détestable Oenone a conduit tout le reste/ [...] La perfide, abusant de ma faiblesse extrême » (v. 1623-1629). Phèdre commence par appeler Oenone par son nom mais l’accuse d’être « détestable », et ensuite la nomme simplement « la

; ; La mission de l'homme supérieur est donc, selon lui, d"* combattre sans merci tout ce qui est < mauvais », de dis siper toutes les erreurs, de dénoncer toutes les valeurs lausses et surfaites, de se montrer impitoyable pour toutes les faiblesses, toutes les lâchetés, tous les : mensonges de association la civilisation e Je rêve, écrit-il, d'une (.Ihommes qui seraient entiers et absolus, qui ne garderaient aucun ménagement et se donneraient à eux-mêmes le

l’emploi d’un « vous » plutôt ambigu. Il s’agit dans la deuxième partie d’éclairer les valeurs, les objectifs, la mission que défend Horace. Dans son discours, le personnage met en avant ses propres valeurs v 3-4 : « La solide vertu dont je fais vanité/ N’admet point de faiblesse avec sa fermeté ; ». Le personnage se présente donc lui-même comme un héros courageux et vaillant. Ce sont donc les valeurs du héros qui sont mises en avant ici. Horace réalise un véritable éloge de lui-même. La question de

qui se trouve dans une situation de faiblesse et d'infériorité comme s'il n'était pas maître de sa vie. Cette infériorité le fait souffrir car il est alors dans l’incapacité de sauver Ellaroé. De même que la scène de séparation est une vraie souffrance pour Ziméo , nous retrouvons un oxymore « hurlements sourds » (l.480) . Cela évoquant la colère sans limite exprime sa douleur. Par ex «  mains furieuses » (l. 482). L'auteur utilise la persuasion en suscitant pitié et révolte chez le lecteur pour remettre

Sade, Justine ou les Malheurs de la vertu (1791) Dictionnaire de l’académie française de 1762 pour voir le vrai sens des termes employés par Sade. Introduction Présentation Paru en 1791, fin du XVIIIe, après la Révolution Française. L’ouvrage parait de façon anonyme. C’est la première publication de Sade ; il ne l’assume pas. La première publication assumée de Sade parait en 1795. La publication est écrite pendant qu’il est en prison, dans les années 1780. Cet ouvrage connait une première version

MOLIERE VIE o Jean baptiste poquelin nait dans une famille des artisans de la bourgeoise.il étudie chez les jesuistes et droit a orleans.il est acteur,dramaturge et directeur de la compagnie théâtrale,fondée en 1643:l’illustre théâtre.après un incarcération pour dettes,il va faire une tournée en province.Sa troupe joue aussi devant louis XIV qui lui accorde de jouer dans la salle de petit bourbon.il devient celebre grâce aux précieuses ridicules.Malgré le soutien du roi,la religion

tout les gens sur le navire. Dans la princesse de Clèves de Marie-Madeleine de la fayette, la valeur de la vertu y est exprimée. La princesse fait preuve d'une grande noblesse et d'une immense vertu. Alors qu'elle est veuve, elle se refuse à l'homme qu'elle aime. Une phrase de ce roman reste cependant très connue de la Mère de la princesse de Clèves, qui lui " faisait savoir [...] combien la vertu donnait d'éclat et délévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance". Puis pour finir

réaliste, extravagant, peu apprécié au 17è et 18 è siècle, Réalisme psychologique – Histoire, Princesses de clef Fin du siècle – Pessimisme, méfiance de l'homme, « Le cœur est un organe creux et plein d'ordures » - PASCAL. L'amour est perçu comme une faiblesse, une fatalités. Gencenisme – Mouvement religieux, politique. Problème de la liberté humaine. Grâce ou pas ? Libre arbitre ou pas ? Les querelles commencent en 1547, Consyl de trente qui affirme la place du Libre Arbitre. Baïus → Prédestinée (pas

Cinna : « O vertu sans exemple ! O clémence qui rend Votre pouvoir plus juste.. » Dans un contexte révolutionnaire, pour Gauvain dans Quatrevingt-treize de Victor Hugo, la clémence rend le pouvoir plus doux et permet de « conquérir les peuples à la république universelle », un pouvoir révolutionnaire ne se conçoit pas appuyé sur la Terreur car « les idées douces sont mal servies par les hommes incléments ». Mais la clémence peut apparaître aussi comme une marque de faiblesse. Dans La Reine

laisser abattre : c’est une marque de faiblesse. Le suivant monologue de Beauséant (p.115-117 que nous analyserons dans notre commentaire de texte) indique ensuite à l’étudiant la mission qu’il doit accomplir (p.116 : « Aimez-la [Delphine] si vous pouvez après, sinon servez-vous d’elle ») et comment l’accomplir. L’épisode montre la représentation typique de « l'infâme » monde parisien et le moyen par lequel on peut réussir dans cette société : « la fortune est la vertu ! » (p.118). La troisième partie