La Place Du Droit Naturel Dans Les Fondements Du Droit

naissance de la société a profondément modifié la nature de l’homme : il lui a fallu s’adapter aux autres, les accepter tels qu’ils sont, sortir de l’état de nature où il vivait seul et indépendant. Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : Pour Rousseau, l’homme a l’état de nature n’est pas violent et ne fait pas usage de sa force parce qu’il n’a pas de relations avec les autres. Il possède une certaine innocence, ce que Rousseau appelle la « bonté »

maturation des idées héritées principalement de la Renaissance et de la Réforme. Sommaire [masquer] 1 Révolution dans les sciences et programme de la philosophie des Lumières 1.1 Les précurseurs 1.2 Fondements de la pensée des Lumières 1.3 Religion naturelle et déisme 1.4 Critique de l’organisation sociale 1.5 Triomphe de Lumières 2 L’influence de la Philosophie des Lumières dans les changements politiques 2.1 Les Lumières, source de la Révolution

IV. Le Droit On appelle droit l'ensemble des règles et des lois qui organisent la vie des hommes en société. Ce droit n'est pas nécessairement écrit : toutes les sociétés ont un droit ; or, nombre de sociétés sont restées sans écriture. On appelle droit coutumier l'ensemble des lois et des règles qui se transmettent par la seule tradition. Au cours de l'Histoire, le droit a tout permis, tout justifié, la trahison, l'exploitation, la torture, le meurtre. Même si justicia en latin vient de jus

égalité des droits, égalité des chances et égalité des situations Les rapports entre justice sociale et inégalités Les différentes conceptions des inégalités Les relations entre égalité et équité         I. Idéal égalitaire et inégalités   1. Idéal égalitaire   Egalisation des conditions et égalité des chances Les sociétés modernes au sens de Tocqueville sont caractérisées par le processus d'égalisation des conditions c'est-à-dire marquées par une égalisation des droits individuels,

faudra alors attendre les penseurs des Lumières comme Spinoza ou Descartes pour amener le thème de la limitation du pouvoir.   Hugo Grossius :    Son œuvre majeure Le droit de la guerre et de la paix, Grossius la voit comme un traité de droit international. On pourrait estimer un sous-titre à cet ouvrage tel « le droit de la nature et des nations ». L’idée politique centrale de l’ouvrage est celle que l’homme est pas nature un animal rationnel et social.   Pour Grossius, l’Homme est naturellement

LA JUSTICE ET LE DROIT Paul Ricoeur faisait remarquer que le sens de la justice (et peut-être d’abord de l’injustice) est enraciné dans notre expérience d’enfant : tous, nous nous sommes indignés, étant enfants, devant des rétributions disproportionnées de la part des adultes ( éloges, punitions ), devant des promesses trahies, des partages inégaux ( le gâteau inégalement partagé entre frères et sœurs. L’idée de juste, pour l’adulte, poursuit-il, se manifeste à 3 points de vue différents :

Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, Flammarion, Amsterdam,1755. « Quelle est l'origine de l'inégalité parmi les hommes, et si elle est autorisée par la Loi naturelle ? » Dédicace Rousseau décrit la meilleure des sociétés humaines : Celle-ci présente tout d'abord une superficie réduite (aux facultés humaines) afin que tous se connaissent et que rien ne puisse être caché au public, que ce soient les vices ou les vertus. Ainsi

FICHE 1 LA NOTION D’ETAT 1/Conceptions de l’Etat : Extrait : Lénine, De l’Etat, 1919 : « …Très souvent, les tenants des doctrines religieuses (ce qui est tout naturel de leur part), et aussi des gens qui se croient affranchis de tout préjugé religieux, mêlent au problème particulier de l'Etat des questions de religion ; ils tentent d'édifier une théorie bien souvent complexe, s'appuyant sur une conception et une argumentation d'ordre

ETHIQUE : L’éthique (du grec ηθική [επιστήμη], « la science morale », de ήθος, « lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère » et du latin ethicus, la morale[1]) est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique appliquée

substitut à la guerre. On peut s’enrichir sans la guerre, grâce au commerce, Montesquieu, parlera de « doux commerce ». Selon eux la richesse vient des métaux précieux (or, argent). Pour les mercantilistes l’état doit contrôler le commerce, via les droits de douanes, les règlementations, et la fiscalité. Mais il peut y avoir une opposition entre l’état et la liberté de commerce. Les physiocrates (physiocratie : gouvernement de la nature), « laissez faire, laissez passer » de De Gournay. (voir page