La Pluie Par Queneau

bon sens rassis.Excusez-nous, puisque sommes transis,Envers le fils de la Vierge Marie,Que sa grâce ne soit pour nous tarie,Nous préservant de l'infernale foudre.Nous sommes morts, âme ne nous harie,Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !La pluie nous a débués et lavés,Et le soleil desséchés et noircis.Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,Et arraché la barbe et les sourcils.Jamais nul temps nous ne sommes assisPuis çà, puis là, comme le vent varie,A son plaisir sans cesser nous charrie,Plus

Tables des matières Introduction I. L’argot 1.1 L'argot moderne 1.2 Procédés de la formation des unités argotiques 1.3 Les fonctions de l'argot II. Queneau, la langue et le langage 2.1 Queneau et ses idées sur la langue 2.2 Le langage dans Zazie dans le métro III. L’analyse du vocabulaire dans le roman “Zazie dans le métro” 3.1 Le vocabulaire familier 3.2 L’abréviation de mots 3.3 L’argot 3.4 Les gros mots et le vocabulaire vulgaire 3.5 Les vocables des langues étrangères employés sans

ne le dis C’est Paris si tu veux Et savoir que demain Sera comme aujourd’hui C’est Paris merveilleux Mais la fin du voyage La fin de la chanson C’est Paris tout gris Dernier jour, dernière heure Première larme aussi Et c’est Paris la pluie Ces jardins remontés Qui n’ont plus leur parure Et c’est Paris l’ennui La gare où s’accomplit La dernière déchirure Et c’est Paris fini Loin des yeux loin du cœur Chassé du paradis Et c’est Paris chagrin Mais une lettre de toi Une lettre

multiplie les petits travaux puis, fait son service militaire où il rencontre Yves TANGUY et fait la connaissance de Marcel DUHAMRL. En 1925, il participe au mouvement surréaliste. Où il partage un logement « collectif » avec Marcel DUHAMEL, Raymond QUENEAU et Yves TANGUY. C'est là qu’il trouvera le terme de cadavre exquis pour définir le jeu littéraire auquel ses amis et lui se livrent. Il est toutefois trop indépendant d'esprit pour faire véritablement partie d'un groupe constitué, quel qu'il soit

se rend souvent au cinéma ainsi qu'au théâtre emmené par son père. Sa mère quant à elle, l'initie à la lecture. Il quitte l'école à 15 ans. A l'âge de 25 ans, il participe au mouvement surréaliste avec ses amis Marcel Duhamel, Yves Tanguy, Raymond Queneau. Le jeu littéraire auquel ses amis ainsi que lui-même se livre est le « cadavre exquis ». C'est un terme trouvé par lui-même. Entre 1935 et 1945, il écrit et se consacre à de nombreux scénarios, notamment pour Marcel Carné, Jean Renoir, Jean Grémillon

interprétables. La poésie surréaliste est souvent engagée ( le mouvement nait au lendemain de la première Guerre Mondiale ). Parmis les grandes figures de ce mouvement on remarque Louis Aragon, Philippe Soupault, Paul Eluard, Robert Desnos, Raymond Queneau, André Masson, ou encore Jacques Prévert. L'auteur: De son vrai nom Eugène Grindel, Paul Eluard nait en 1895. Il est envoyé au front en 1917, ce qui éveille en lui en engagement pacifique. Il participe au mouvement dadaïste avec Aragon et Breton

dans « Zone » où la rue est le centre du sujet. C’est également en raison de sa date de parution que « Les colchiques » est à cette place précise. Le dernier poème de cette anthologie s’intitule « Si tu t’imagines ». Il a été écrit par Raymond Queneau et est paru dans le recueil L’instant fatal. Il reprend de façon inédite et surprenante les poèmes « Ode à Cassandre » et « Quand vous serez bien vieille » de Pierre de Ronsard. En effet, ce poème est en vers libres, le poète emploie un vocabulaire

chantiez gratos, pauvre niaise Eh bien guinchez maintenant ! Moralité : Si tu veux vivre de chansons Avec moins de bas que de hauts N'oublie jamais cette leçon: Il vaut mieux être imprésario VERSION 3 La cimaise et la fraction Raymond Queneau La cimaise ayant chaponné Tout l'éternueur Se tuba fort dépurative Quand la bixacée fut verdie : Pas un sexué pétrographique morio De mouffette ou de verrat. Elle alla crocher frange Chez la fraction sa volcanique La processionnant de lui

vous haïssez Dieu. - Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? - J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages! Baudelaire: Petits poèmes en prose, I (1869) Raymond Queneau 1973 "Lipogramme en A, en E et en Z" Raymond Queneau [1903- 1976], « Lipogramme en A, en E et en Z », Oulipo, la littérature potentielle, © Éditions Gallimard, 1973. Ondoyons un poupon, dit Orgon, fils d’Ubu. Bouffons choux, bijoux, poux, puis du mou, du confit, buvons

la pluie est positive pour Giono, elle lave la civilisation, avant la création de nouvelle valeur, le personnage que rencontre Angelo et Pauline à la fin du roman ressemble étrangement à Giono, par sa misanthropie, et son amour de la pluie. p D’autre part la ville ayant été abandonné se remplie d’eau. 3 Le sud imaginaire qui est le lieu du récit ressemble par ses dangers et ses rencontres à la mer Egée de l’odyssée. Et comme tout roman est une Odyssée ou une Iliade selon le mot de Queneau on voit