La Politique Dans Apologie De Socrate

GRECQUE PLATON Année scolaire 2010-2011 MR CORVISIER 1/14 SOMMAIRE I° UNE VIE PHILOSOPHIQUE 1) Sa naissance 2) Sa rencontre avec Socrate 3) Ses voyages II° LES DIALOGUE PLATONICIEN 1) Période de jeunesse 2) Période de transition 3) Période de maturité III° LES APPORTS CONCEPTUELS 1) La théorie des idées 2) Le bien 3) L'opinion 4) La justice et politique 5) La vertu 6) REMINICENCE ET CONNAISSANCE 7) La dialectique 8) L'éducation IV° L'ACADEMIE 1) Fondation 2) Description V° INFLUENCES

juger toutes les parties de cet art 3.3 La poésie n’est pas un effet de l’art mais de l’inspiration divine 3.4 Ion tente de se défendre 3.4.1 Selon Ion, seule la récitation serait résultat de l’inspiration divine, pas l’interprétation 3.4.2 Selon Socrate, le rhapsode n’est jamais le plus savant pour juger et commenter un texte 3.5 L’ultime objection burlesque d’Ion : le rhapsode et le général d’armée partagent le même art 4 Portée philosophique 5 Citations 6 Références 7 Éditions 8 Traductions

aboutie, qui revendique en quelque sorte un caractère non fini, et qui rend compte de l’état actuel d’une pensée que le lecteur est invité à suivre dans ses détours et ses méandres. - Utopie : récit allégorique qui met en oeuvre une réflexion politique au sens large, une interrogation sur la société. - Contre-utopie : mêmes caractéristiques narratives que l'utopie, le monde qui est représenté est un monde totalitaire : un petit groupe d’hommes impose sa loi à la masse, ou bien des principes

lintolrance (refus de toute autre vrit, de se remettre en cause -pourquoi le faire si lon a raison -) Le philosophe ne prtend pas possder la vrit (cf. tymol. philosophie il est mme souvent le seul prendre conscience de son ignorance. Exemple Socrate, patron des philosophes, disait, en se comparant un homme prtendument savant A lotit prendre. je suis plus savant que lui. En effet, il se peut que ni lun ni lautre d( nous fi( ,sache rien d(- bon,- seulement t, lui croit quil sait, bien quil ne

obligation de payer ses impôts, etc. Autant de lois qui semblent entraver ce que l'opinion commune appelle « la liberté ». De même, l'Histoire offre de nombreux exemples de tyrannies et totalitarismes qui ont confisqué la liberté politique de leurs citoyens. Pourtant, la liberté politique peut-elle se concevoir sans l'existence d'un Etat pour la protéger ? L'institution étatique n'aurait-elle pas pour rôle de la défendre plutôt que de l'opprimer ? L'Etat, garant des libertés individuelles Rousseau

LA JUSTICE OU DE L'INJUSTICE SELON SOCRATE IV. EVALUATION ET INTERET V. Evaluation VI. Intérêt CONCLUSION Lexique Sources Observations INTRODUCTION De toutes les figures si éminentes qui ont su marquer allègrement l’Histoire de la philosophie de la Grèce Antique, s’inscrit en droite ligne Socrate. Ce dernier à sans doute influencé ses successeurs immédiats : Platon et Aristote partisans de la rhétorique et artisans du bon sens. Socrate qui nait vers 470 avant Jésus-Christ

Biographie Socrate est né en 469 av J.C. à Athènes. Il était le fils de Sophronisque et de Phénarété, un ouvrier-sculpteur et une sage-femme. Ce sont là des métiers humbles. Humble Socrate le restera toute sa vie, à la guerre où il sera un simple soldat, comme dans son métier d’accoucheur des esprits, où aucun signe extérieur ne le distinguera du sophiste le plus ordinaire. Bien qu’il n’ait pas laissé d’écrits et que le succès n'ait pas été un souci pour lui, il s’est imposé dans l’histoire comme

et impure. Socrate : Toute volonté recherche le bien et le mal ne peut être qu’indirecte. Tout homme cherche ce qui est bon et ce qui y contribue même si on le fait par des voies détournées. Personne ne cherche ce qui est mauvais, nul n’est méchant volontairement, nul ne veut le mal car une telle volonté ne peut être autant réfléchie et une volonté réfléchie ne peut être que celle du bien. Nous sommes éperdument amoureux du bonheur et nous cherchons forcement le bien. Socrate refuse l’idée qu’il

garantir sa pureté : la séparation des pouvoirs qui la met à l’abri des contraintes politiques, l’incorruptibilité des juges rémunérés non par les justiciables eux-mêmes mais par l’Etat, l’obligation de débats contradictoires qui donnent la parole de manière équilibrée aux deux parties opposées dans un procès. Chacun de ces garde-fous a pour vocation de protéger les juges de leurs propres faiblesses : les ambitions politiques, financières, les affinités personnelles. Les principes mêmes du fonctionnement

thème majeur auquel les philosophes s’attardent vigoureusement. Le Socrate de Platon l’a fait dans l’Alcibiade ; tout comme le Socrate de Xénophon l’a fait dans les Mémorables. Alors, c’est ce genre de conception qu’il nous faut évaluer. Ainsi, on peut se demander – puisque Xénophon et Platon ont tenté de définir ce qu’est la connaissance de soi – est–ce que les conceptions de la connaissance de soi du Socrate de Platon et du Socrate de Xénophon sont abordées de la même manière dans les deux œuvres