La Politique De Désinflation Compétitive En France

Sujet N°1 : Économie Générale La lutte contre l'inflation doit-elle toujours être une priorité en matière de politique économique ? Depuis le début des années 90, l'inflation est maîtrisée en France, avec un taux moyen inférieur à 2% par an. Les autorités publiques doivent désormais éviter son retour et non plus baisser la hausse des prix comme ce fut le cas dans les années 80. Pourtant, en 2008, le spectre de l'inflation s'agite de nouveau avec un taux au 3è trimestre de 3.9%. Cette tendance

non marchande (services publics) et d'opérations marchandes (entreprises publiques). L'État redistributeur : il prélève des impôts et les transfère vers d'autres agents économiques. L'État interventionniste : il réglemente l'économie et mène des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, fiscales. L'État providence : il agit sur la société civile dans la plupart des domaines d'activités socioculturelles, familiales, de santé, d'éducation, etc. 12 - Les critiques faites à la régulation par

POLITIQUE CONJONCTURELLE Une politique conjoncturelle est destinée à agir sur la « conjoncture économique », c’est à dire sur le rythme de la croissance économique. Elle est dite restrictive lorsqu’elle cherche à la ralentir la croissance et expansive lorsqu’elle cherche à l’augmenter. Elle agit soit avec des outils monétaires, soit avec des outils budgétaires POLITIQUE MONETAIRE R E S T R I C T I V E HAUSSE DES TAUX D’INTERETS POLITIQUE BUDGETAIRE BAISSE DES DEPENSE PUBLIQUES ET/OU HAUSSE

hausse”. B/ La déflation La déflation est caractérisée par une baisse du niveau général des prix qui va entrainer une récession ou une dépression. C/ La désinflation La désinflation est une stratégie visant à réduire le taux d’inflation au niveau du/des principaux pays concurrents du pays qui engage cette stratégie de désinflation compétitive. D/ La mesure d’inflation Le niveau général des prix est en général mesuré par un indice de prix à la consommation et en Europe on l’appelle IPCH (indice

Exposé : La politique de relance par soutien de la demande est-elle encore efficace ? Problématique : Du fait de la mondialisation et des agents économiques rationnels, une politique de relance, n’aurait aujourd’hui plus les effets escomptés sur la France. Définitions & introduction: (Orlane) La politique de relance a pour but de dynamiser l’économie en produisant plus : la hausse du PIB entraîne la croissance. Elle a aussi pour but de réduire le chômage. Il existe deux types de politique de relance

et les profits (qui alimentent l’épargne et donc l’autofinancement) ; - c’est un sujet qui demande un peu de culture d’histoire économique pour insister sur la date charnière que représente 1983 dans le partage de la valeur ajoutée et le choix de politique économique qui l’explique. Ainsi, le sujet demande d’examiner une relation causale entre le partage de la valeur ajoutée (entre salaires et profits) et l’investissement. Ceci exclut a priori un plan de type dialectique : il ne s’agit pas de se demander

proche du plein emploi. Un tour de force réalisé au détriment de la sécurité de l'emploi à l'européenne, mais dont on devrait probablement s'inspirer en partie pour sortir de la crise. Problématique : Le plein emploi en France est il possible ? I) Le plein emploi possible en France oui car ? a) Accroître la productivité tout en réduisant son coût. Au regard de la faible productivité des actifs inemployés, une première action devrait porter sur le coût de travail afin de revenir au calcul entre

vingtaine d’années, mais pas d’effondrement de la prod (contrairement aux années 30). Cette longue dépression n’a pas touché de manière égale tous les secteurs économiques. Cette période suit la période 1840-1870, phase A de Kondratieff. 40-70 : La France a multiplié sa prod par 2. Crise largement oubliée. Pour autant très durement ressentie par les contemporains de l’époque. A l’époque, on portait un regard différent sur ce qu’est un crise. Auparavant, ce qui comptait pour les agents : question

tivité [pic] 06.04.06 La France est-elle compétitive ? L'intégralité du débat avec Eric Heyer, directeur adjoint du département Analyse et prévision de l'OFCE , mercredi 12 avril 2006. Nb : Au niveau européen la France est le 2e exportateur, derrière l'Allemagne mais loin devant le Royaume-Uni et l'Espagne, que l'on présente comme des modèles. Ce critère est-il pertinent pour mesurer la bonne santé économique d'un pays ? Eric Heyer : Effectivement, c'est l'un des critères de la bonne performance

niveau du taux d'intérêt, et donc au choix de la politique monétaire. En France, la Banque centrale européenne a choisi de défendre la stabilité des prix par une politique monétaire restrictive visant à réduire la création monétaire au risque d'affaiblir la croissance. Au contraire, aux États-Unis, la Banque fédérale (FED) a pour but premier le soutien de l'activité afin de promouvoir la croissance, et les objectifs d'emploi maximum grâce à une politique monétaire expansive. Cependant, ces deux choix