La Politique De La Vieillesse

ressources ainsi que l'accès aux besoins essentiels (éducation, eau, nourriture, hygiène) à tous les citoyens hors catastrophe, guerre ou calamité (qui relèvent elles de la sécurité civile). La sécurité sociale fait partie de la politique sociale, celle-ci étant intégrée dans la politique publique. Les administrations de sécurité sociale sont les organismes de droit privé, chargés d'une mission de service public. Les formes les plus précoces de sécurité sociale moderne se situent en Allemagne sous Bismarck

c'est les cotisations, lorsqu'il y a une politique se traduit tjrs par exonérations charges sociales, baisser les charges pour diminuer le financement de la sécu sociale (diminuer rentabilité individuelle) Le passage au 35H lorsqu'en en 98 (Aubry) a prévu passage au 35H, le gvt a appelé aux partenaires sociaux de déterminer branches par branches entreprises par ent de négocier On a baisser les rém de 11.4%, augmentation de la base horaire ou pas ? Politique d'éxonération de charges afin de rendre

en Suède est couverte par le système de santé. B° Les spécificités du système suédois 1° Une obsession de plein emploi La Suède a un des taux d’activité les plus élevés du monde développé. Dans les années 1950, elle adopte un système de politiques actives du marché du travail. Celles-ci voient le jour dans un contexte de pénurie de main d'œuvre et ont pour objectif de requalifier les travailleurs licenciés par les industries déclinantes. Ces collaborateurs devenus « inutiles » sont pris en

opposent les avis de Xénophon et Aristote exprimés dans deux œuvres : la «  Constitution des Lacédémoniens » pour le premier, «  Politique » pour le deuxième. Les critiques ou louanges qu’ils expriment portent sur deux principaux sujets : l’éphorat et la gérousie, deux instances politiques majeures existantes à Sparte. En s’exprimant d’ une manière contradictoire, Xénophon et Aristote participent, par leurs écrits, aux nombreux contentieux et conflits

régime de base est lui-même composé de 10 régimes et au troisième niveau chacun de ces 10 régimes se trouve lui même divisé en 5 branches : l'assurance maladie, la protection contre les accidents du travail et les maladies professionnelles, assurance vieillesse, allocations familiales et recouvrement des cotisations sociales (agence centrale des organismes de sécurité sociale). §1- LES 4 RÉGIMES DE PROTECTION SOCIALE : Le premier est le régime universel appelé régime de base. Il est à son tour divisé

domDouble inactif , nb actif diminue = le ratio se déséquilibre-Probablement plus nombreux et vont vivre plius longtemps Les plus de 85 ans ont triplé vivent mieux = maintient a domicile est une réalité Que 10% des +60 ans vont mal = faible donc la vieillesse n’est pas un état dégradant Cotisant : On remarque 20-59 pt diminue = problème pour cotiser Loi ASV : dev € de l’ensemble des services de maintien a domicile Donner un statut aux proches aidants Droit aux répits Nouvelle forme d’habitat = maintient

métiers, qui associaient les apprentis, les aides, les ouvriers et les maîtres en leur édictant des liens, souvent précis et impérieux, de solidarité face aux aléas de la maladie et des accidents. Pendant la période du protectorat, et fidèle à une politique qui a maintenu dans des structures institutionnelles autonomes le secteur moderne de l’économie d’une part, et les activités traditionnelles (premières industries créant un salariat urbain) d’autre part, l’administration du protectorat n’est intervenue

complété par une politique de plein emploi et un service national de santé qui assure gratuitement les soins à toute la population. L'Etat organise la garantie minimum prestations forfaitaires et identiques, definis par rapport au besoin et servies à tout les citoyens. Cadre général de la protection sociale ACTEUR | RISQUES COUVERTS | Sécurité sociale et régimes complémentaires | Maladie, maternité, invalidité et décès Accidents du w et maladies prof vieillesse famille

 La redistribution des revenues est une politique qui tend à diminuer les inégalités entres les ménages. Cette politique sert donc à lutter contre les inégalités économiques et sociales mais aussi de protéger la population contre les risques tels que la vieillesse, la maladie et le chômage. Elle est essentielle pour mettre en avant les progrès sociaux par rapport à la santé, et le niveau de vie. Mais le fonctionnement de cette politique et les dépenses liées à celle –ci sont malgré tout

en 1981 à 29,56 % en 2005.La structure des prestations est resté, pour sa part, relativement stable sur ces vingt dernières années. Ainsi, les prestations "vieillesse" et "santé" prédominent toujours et représentent les 3/4 des prestations sociales. Quelques tendances peuvent être néanmoins observées : La progression des prestations "vieillesse survie" (de 13 % du PIB en 2005), sous l’effet du vieillissement démographique, du développement des régimes complémentaires et de la montée en puissance des