La Polygamie Dans La Societe Traditionnelle

nuisent à l’égalité du statue entre ces époux : parmi elles la polygamie, ou le prix «  achat » de la mariée font de la femme une partenaire inférieure dans l’association conjugale. Priorité doit être donnée à l’éducation, une éducation générale libérant des femmes des préjugés qui les maintiennent dans une condition d’infériorité. C’est le seul moyen pour les femmes de retrouver le rôle qu’elles avaient dans les sociétés traditionnelles et qu’elles ont perdu lorsque l’instruction, dispensée aux seuls

* 1. LA FAMILLE - Définition - Types : traditionnelle nouveaux types famille monogame et polygame - Familles sans parenté - Le couple - Rites et célébrations - Problèmes - Comparaison entre cultures Nucléaire Élargie Monoparentale Homoparentale Le Concubinage Le Mariage Le PACS * 2. La famille Qu´est-ce que c´est ? * 3. Une famille est une  communauté  de personnes réunies par des liens de  parenté . Elle est dotée d'une personnalité juridique , d'un nom, d'un domicile et d'un patrimoine

Cheikh Abba Diémé Lamina Diop Adji Kébé Source: Recherche + internet Introduction Le mariage est un acte public, juridique et solennel par lequel un homme et une femme s’engagent l’un envers l’autre, devant et envers la société, pour fonder ensemble un foyer. Il offre aux époux, tant pendant leur vie de couple que le cas échéant au moment de sa dissolution, une protection de la loi. La notion de mariage recouvre plusieurs réalités : * Le mariage est à la fois un

MODERNE «Sous quelque aspect qu’on l’envisage elle apparaît comme une institution nécessaire et sacrée ; on a peine à concevoir une communauté sociale dans laquelle aucun groupement ne viendrait s’interposer entre l’individu et l’Etat ; une telle société ne serait viable ; c’est la famille qui par une première synthèse, non pas artificielle mais matérielle et bienfaisante, vient préparer la synthèse plus vaste que réalise le concept de la Nation ; elle est un élément de cohésion, une condition de

Parole aux Négresses, publié en 1978 par Awa THIAM a joué un rôle détonateur. De cette enquête menée par ses consœurs elle tire un certain nombre de conclusions en forme de condamnation à l'égard-des pratiques abusives (excision, mariage forcé, polygamie) qui font de la femme une mineure à vie, en quelque sorte, une colonisée au second degré. Il ne faudrait pas cependant oublier qu'il yavait quand même une timide démarche de certains romanciers qui tentaient de réhabiliter la femme. Il ya l'exemple

1 Génétique 2.2 Anatomie 2.2.1 Bassin 2.2.2 Seins 2.2.3 Vulve 2.2.4 Vagin 2.3 Sexualité 2.4 Grossesse 2.5 Allaitement 2.6 Santé 2.7 Sens 2.8 Psychomotricité 3 Société 3.1 Conditions générales 3.2 Définitions culturelles 3.3 Sociétés traditionnelles 3.4 Antiquité 3.4.1 Grèce 3.4.2 Rome 3.4.3 Perse 3.5 Sociétés industrielles 4 Religions 4.1 Religion chrétienne 4.1.1 Église catholique 4.1.2 Protestantisme 4.2 Islam 4.3 Judaïsme 4.4 Bouddhisme 4.5 Différences sociales 5 Conflit

mettent en cause. Tout cela conjugué expliquant leur rareté malgré leur caractère d'urgence et leur intérêt prioritaire. Comme chacun sait, le continent africain est essentiellement rural. Près de 90% de sa population survit d'une agriculture traditionnelle de subsistance, basée sur l'utilisation d'une technologie rudimentaire et sur le travail des familles. Les femmes qui, en Afrique, représentent plus de 50% de la population adulte, jouent un rôle prépondérant dans la production agricole. Elles

« Crise de la Famille, familles en crise. » L’anthropologue français, Claude Lévi-Strauss, défini la famille comme étant « une communauté d'individus réunis par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines » Elle suppose entre ses membres une obligation de solidarité morale et matérielle censée les protéger et favoriser leur développement social, physique et affectif. Du latin fama qui veut dire réputation, les membres d'une même famille portent le même nom et jouissent d'un

n'importe quel type de dérive, comme l'inceste, ou la polygamie. Mais ces points de vue ne sont pas pour autant partagés par tous les fervants catholiques, en effet, un vrai débat est né et le bilan est plus nuancé. En premier lieu, l'église a un positionnement plutôt clair : elle a manifesté son attachement aux principes « traditionnels » : « Protéger l’institution du mariage conçue comme l’alliance exclusive d’un homme et d’une femme et une société fondée sur la différence structurante des sexes.

pratiques sociales et économiques, c’est-à-dire qu’il doit savoir quels comportements, quelles volontés traduites en actes sont conformes aux bonnes mœurs. Les bonnes mœurs sont des habitudes de bonne vie, des usages ou des règles morales dont la société ne permet pas qu’il puisse être dérogé par la volonté des parties. Si un certain nombre de lois civiles et pénales françaises ont transposés des bonnes mœurs et sanctionnées certaines pratiques, telle la révocation des donations pour cause d’ingratitude