La Ponctuation Dans Les Texte Théatral

par Clotilde Meyer Petits Classiques Larousse - 1 – Ubu roi de Jarry Vers le Bac À l’écrit Sujet 1 Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation ; le théâtre, genre et registre ; démontrer, convaincre, persuader. TEXTE 1 : Albert Camus, Caligula, I, 8 TEXTE 2 : Alfred Jarry, Ubu roi, III, 2, de « apportez la caisse à Nobles » à « faire des lois maintenant ». TEXTE 3 : Jean Anouilh, Antigone a. Question préliminaire (sur 4 points) Après avoir lu tous les textes du corpus, vous répondrez à la

lecture instable Sur la lecture à haute voix Actes du Colloque Maurice Blanchot, direction Christophe Bident, Pierre Vilar Éditions Farrago, Automne 2003 Republié dans la Revue “Littérature”, Larousse, juillet 2005 : “Théâtre, un retour au texte ?” Thomas demeura à lire dans sa chambre. Il était assis, les mains jointes au-dessus de son front, les pouces appuyés contre la racine des cheveux, si absorbé qu'il ne faisait pas un mouvement lorsqu'on ouvrait la porte. Ceux qui entraient, voyant

monde contenues dans des textes littéraires de genres variés et dont la date de publication se situe entre 1789 et aujourd’hui. Éléments de la compétence ministérielle (dissertation explicative) · Reconnaître le traitement d’un thème dans un texte. · Situer le texte dans son contexte culturel et sociohistorique. · Dégager les rapports entre le réel, le langage et l’imaginaire. · Élaborer un plan de dissertation. · Rédiger une dissertation explicative d’au moins 800 mots.· Corriger et réviser le texte

théories excluant toute causalité surnaturelle. Au 18ème siècle, le mot s'emploie aussi en science pour désigner le caractère naturel de quelque chose, d'un phénomène. Peu à peu, ce terme tombe en désuétude jusqu'en 1857 où la Revue Moderne publie un texte du critique d'art Castagnary qualifiant la peinture de Courbet de naturaliste ; le sens en est ici : peintre traitant de la nature avec réalisme. Zola, au nom de la modernité rejette le romantisme " démodé comme un jargon que nous n'entendons

n'assume pas ce qu'il dit. - sa crainte : « cela m'est sorti un peu bien vite de la bouche ». Il a peur des représailles si Dom Juan apprend ce qu'il vient de dire. L'emploi de l'impératif « séparons-nous », « écoute » et de phrases saccadées par la ponctuation montre qu'il est précipité. - « je dirais hautement que tu aurais menti » : il ment, il se parjure (violer un serment) → c'est contre la morale => En cela Sganarelle apparaît comme l'exact opposé de Dom Juan car D.J. assume ce qu'il fait

PHEDRE de J. Racine Séquence prof Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe : le classicisme Magnard p 127, 136, 138 Perspectives : - faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au tragique ou au comique.  - faire percevoir les grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 -

et l’ordre habituel des choses, la logique du langage, des gestes et des comportements sont mis en cause par une rupture inattendue. La tonalité comique est une tonalité vivante qui traverse tous les genres littéraires et pas seulement le genre théâtral de la comédie. {text:bookmark} Le registre épique Le registre épique (ou héroïque), également appelé "tonalité épique", repose sur la réaction d'admiration du lecteur devant les exploits de héros surhumains. Utilisant le sublime et les procédés

de jouets (ses soldats ?) dès qu'il s'en lasse, les oubliant presque aussitôt. Une suite de caprices, comme une suite de pulsions incontrôlables. Les gestes, à part ceux indiqués par les quelques didascalies, doivent être imaginés. Au vu de la ponctuation expressive (nombreuses exclamatives) et du nombre de personnages présents dans la scène, on peut supposer qu'il y autant de bruits que de mouvements de foules brusques et violent ("il le prend avec le crochet et le passe dans le trou; on empile

pour restituer sa vision du monde. Il semble que les mots s’imposent comme une réalité vivante qu’il laisse venir, il évite les contraintes de la métrique et de la rhétorique pour qu’ils entrent en résonnance : * absence de ponctuation sauf point final bornant chaque texte, Eluard pense que c’est une façon de « restituer le caractère continu du flux poétique ». * le choix des vers libres : hétérométrie qui offre une grande souplesse et permet d’adapter les vers au rythme de la pensée et de rendre

adapté pour restituer sa vision du monde. Il semble que les mots s’imposent comme une réalité vivante qu’il laisse venir, il évite les contraintes de la métrique et de la rhétorique pour qu’ils entrent en résonnance : * absence de ponctuation sauf point final bornant chaque texte, Eluard pense que c’est une façon de « restituer le caractère continu du flux poétique ». * le choix des vers libres : hétérométrie qui offre une grande souplesse et permet d’adapter les vers au rythme de la pensée et de rendre