La Poudre aux yeux

grande partie, il fait surement allusion aux obus qui explosent comme il le dit de nouveau à la ligne 25 « plein les yeux, les oreilles, le nez, la bouche » . On voit que le bruit perturbe beaucoup l’auteur « le bruit est resté longtemps dans ma tête », « les bras et les jambes qui tremblaient » l27. Il y a aussi l’odeur, « la fumée qui piqua les yeux » l30, « l’odeur pointue de la poudre et du soufre » d’après lui une odeur atroce qui pourrait les empoisonner : « comme pour tuer les punaises et les

de mille et mille mouches blanches vivantes, froides comme des fleurs effeuillées, fondantes sur les lèvres, sur les yeux, retenues un moment aux cils, au duvet des joues… Nous avons gratté de nos dix pattes une neige intacte, friable, qui fuyait sous notre poids avec un crissement caressant de taffetas. Loin de tous les yeux,crissement caressant de taffetas. Loin de tous les yeux, nous avons galopé, aboyé, happé la neige au vol, goûté sa suavité de sorbet vanillé et poussiéreux… Assises maintenant

pesanteur ralentissait tellement nos pas, que nous n’arrivâmes au lieu de notre destination qu’une heure après le coucher du soleil. Nous étions harassés ; aussi, notre hôte, voyant les efforts que nous faisions pour comprimer nos bâillements et tenir les yeux ouverts, aussitôt que nous eûmes soupé, nous fit conduire chacun dans notre chambre. La mienne était vaste ; je sentis, en y entrant, comme un frisson de fièvre, car il me sembla que j’entrais dans un monde nouveau. En effet, l’on aurait pu se croire

il s'arrêta, et fixa stupidement le buisson, intrigué, baissant sa pioche.  C'est alors qu'un homme, à peu près la trentaine, l'air misérable, les cheveux mi-longs crasseux, d'énormes cernes sous ses petits yeux perçants, il tenait devant lui un arc, prêt à décocher une flèche entre les yeux de Herobrine. Ce dernier sursauta à la vue soudaine de ce misérable, manquant de lâcher sa pioche. L'homme dit alors d'une voix faible, en baissant son arc :  -Herobrine ? C'est bien toi ? Où sont les autres

terre brune, la terre déjà fécondée par les semences d'automne était devenue livide, endormie sous un grand drap de glace. Il faisait froid dans les chaumières coiffée d'un bonnet blanc ; et les pommiers ronds dans les cours semblaient fleuris, poudrés comme au joli mois de leur épanouissement. Ce jour-là, les gros nuages du nord, les nuages gris chargés de cette pluie mousseuse avaient disparu, et le ciel bleu se déployait au-dessus de la terre blanche sur qui le soleil levant jetait des reflets

Etoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l’herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements »… Le poète ne ment pas, il nous emmène dans une nouvelle dimension. Il ouvre et libère l’esprit du carcan des préjugés. Il joue avec les idées et les manipule. Victor Hugo dans « L’enfant » nous convainc qu’il faut consoler cet « enfant aux yeux bleus, un enfant

bretzel. Tout d'un coup son chien lui échappa. L'animal partie à la rencontre d'une chienne qui était avec sa maîtresse. Celle- ci mangeait un chipster. C'est à ce moment que leur regard se croisèrent où j'ai pu voir des étincelles brillaient dans leurs yeux. Ces deux être se sourirent, la femme rougie pendant que l'homme s'avancer vers elle d'un pas timide. Il y avait eût coups de foudre entre les deux être humains et leur animaux. Quelques minutes plus tard, ils partirent tous les quatre. Cette histoire

Motif d'entrée : - âge - incapacité de faire la moindre activité - initiative : Elle même, le médecin et sa famille Médecin traitant : Dr Dherbecourt Présentation physique : Taille : Poids : 51 kg IMC : Cheveux : court, Lunettes : Oui Yeux : Présentation psychologique : Présentation biologique : ATCD médicaux : - Ostéoporose = maladie qui réduit la densité et la masse de l'os définie le 08/03/11 - HTA quand pression artérielle trop élevée supr à 16/9,5 définie le 08/03/11

l’entendant geindre et tousser comme eux. Qu’avait été monsieur Vauquer ? Elle ne s’expliquait jamais sur le défunt. Comment avait-il perdu sa fortune ? Dans les malheurs, répondit-elle. Il s’était mal conduit envers elle, ne lui avait laissé que les yeux pour pleurer, cette maison pour vivre, et le droit de ne compatir à aucune infortune, parce que, disait-elle, elle avait souffert tout ce qu’il est possible de souffrir. » (Balzac, le Père Goriot) Balzac utilise dans cet extrait la focalisation

contour des yeux, car je commence à avoir des rides, de plus j'ai des poches assez marquées et des cernes foncées sous les yeux qui me gênent. En plus je suis invitée à un mariage fin avril et j’aimerais me faire maquiller. J’aime les maquillages assez vifs. D'accord. Nous prendrons le rendez-vous pour le maquillage par la suite. Mais tout d'abord afin de bien vous conseiller, j'ai besoin de vous poser quelques questions. Actuellement utilisez-vous une crème contour des yeux?